
vendredi 25 septembre 2009
jeudi 24 septembre 2009
6ème-3ème on a rien à se dire ?
Quand les adultes ont 2 ou 3 ans d’écart, on considère qu’ils ont le même âge, alors pourquoi au collège l’écart entre les 6ème et 3ème paraît si grand ?
Antoine : « Pour moi, si il y a beaucoup de conflits entre les plus grands et les 6ème c’est que les 3ème font revivre aux 6ème ce qu’ils ont vécu quand ils étaient plus petits »
Pierre : « Ce n’est pas vrai, il y a beaucoup de 3ème qui sont gentils et qui nous aident »
Victor : « Depuis le CM2, il y a des rumeurs sur les 3ème : ils sont méchants, ils rackettent… les sixièmes ont des clichés dans la tête sur les 4e-3e, genre, c’est « des gros méchants ». Quant aux 3ème, ils pensent que les 6ème sont des boulets, qu’ils ne sont pas intéressants, alors ils ne cherchent pas à connaître les petits »
Antoine : « C’est vrai que c’est pas facile de jouer ensemble, ils nous prennent pour des petits, ils n’ont pas envie. A l’école primaire, on jouait tous ensemble, mais il y avait des cours séparées : une pour les CM2-CM1 et l’autre pour les plus jeunes »
Jacques : « Il y a des collèges, où il y a l’apartheid entre générations, il y a des cours séparées : une pour les 6e-5e et l’autre pour les 4e-3e »
Maud : « Parfois, c’est les 6ème qui cherchent les 3ème »
Antoine : « Les sixièmes qui embêtent les troisièmes, ont l’impression de valoir les grands en faisant ça, c’est une manière de changer de grade »
Fabien : « Ils font ça par défi »
Mais n’y a-t-il pas plus de rivalité entre les 6e-5e plutôt qu’entre les 6ème et les 3e ?
Victor : « C’est à cause des rapports physiques, surtout chez les garçons : face aux 6e, les 5e veulent se prouver qu’ils sont grands, face aux 3e, y a pas photo, ils sont plus petits, ils n’entrent pas en concurrence »
Et au lycée ?
Arthur (lycéen) : « Au lycée, c’est différent, les différences sont moins marquées, car on a plus de maturité, et peut-être que physiquement ça se voit moins ; il y a bien des terminales qui se la pètent mais ce sont ceux qui se la pétaient déjà en seconde »
Camille (lycéenne) : « à 15 ans c’est l’âge de la maturité, on sait plus qui on est, on est plus ouvert, et le collège ça semble très loin …»
Fabien : « la maturité ça dépend de l’âge, à onze ans on ne sait pas toujours comment être, on cherche sa personnalité, on peut être plus influençable »
Et la puberté ?
Le collège est le lieu de transition, le passage entre l’enfance et l’adulte.
Victor : « Oui, la puberté ça change les rapports entre les collégiens, certains deviennent prétentieux, ils veulent faire plus vieux »
Maxence : « Par exemple, en 6e, on peut avoir envie de jouer au loup, ou à la guerre, mais on n’ose pas toujours le faire »
Jacques « C’est vrai que les jeux qui font appel à l’imaginaire sont mal vus en grandissant où l’imaginaire est plus caché, ou déplacé, comme dans le plaisir qu’on peut avoir à jouer au jeux vidéos »
Alors qu’est qu’on peut faire ensemble ?
Antoine : « On peut profiter des activités du foyer pour mêler les âges : à l’orchestre, au café philo, à la chorale »
Fabien : « À l’UNSS, les plus grands aident à entraîner les plus petits »
Maxence : « La journée de la presse, avec les troisièmes qui viennent aider dans les classes, c’est un moyen de rencontre »
« On pourrait imaginer un tutorat 6e/3e pour l’accompagnement éducatif »
Maud « On pourrait faire une fête, genre bal de promo qui mêlerait les générations »
« La journée d’accueil des 6ème pourrait être faite par des troisième ».
On le voit, il y a la volonté de rapprocher : d'ailleurs, la présence de secondes au débat montre bien que l'on sait souvent se retourner vers ceux qui nous suivent : pour leur tendre la main ou simplement pour faire un bout de route avec eux.
Antoine : « Pour moi, si il y a beaucoup de conflits entre les plus grands et les 6ème c’est que les 3ème font revivre aux 6ème ce qu’ils ont vécu quand ils étaient plus petits »
Pierre : « Ce n’est pas vrai, il y a beaucoup de 3ème qui sont gentils et qui nous aident »
Victor : « Depuis le CM2, il y a des rumeurs sur les 3ème : ils sont méchants, ils rackettent… les sixièmes ont des clichés dans la tête sur les 4e-3e, genre, c’est « des gros méchants ». Quant aux 3ème, ils pensent que les 6ème sont des boulets, qu’ils ne sont pas intéressants, alors ils ne cherchent pas à connaître les petits »
Antoine : « C’est vrai que c’est pas facile de jouer ensemble, ils nous prennent pour des petits, ils n’ont pas envie. A l’école primaire, on jouait tous ensemble, mais il y avait des cours séparées : une pour les CM2-CM1 et l’autre pour les plus jeunes »
Jacques : « Il y a des collèges, où il y a l’apartheid entre générations, il y a des cours séparées : une pour les 6e-5e et l’autre pour les 4e-3e »
Maud : « Parfois, c’est les 6ème qui cherchent les 3ème »
Antoine : « Les sixièmes qui embêtent les troisièmes, ont l’impression de valoir les grands en faisant ça, c’est une manière de changer de grade »
Fabien : « Ils font ça par défi »
Mais n’y a-t-il pas plus de rivalité entre les 6e-5e plutôt qu’entre les 6ème et les 3e ?
Victor : « C’est à cause des rapports physiques, surtout chez les garçons : face aux 6e, les 5e veulent se prouver qu’ils sont grands, face aux 3e, y a pas photo, ils sont plus petits, ils n’entrent pas en concurrence »
Et au lycée ?
Arthur (lycéen) : « Au lycée, c’est différent, les différences sont moins marquées, car on a plus de maturité, et peut-être que physiquement ça se voit moins ; il y a bien des terminales qui se la pètent mais ce sont ceux qui se la pétaient déjà en seconde »
Camille (lycéenne) : « à 15 ans c’est l’âge de la maturité, on sait plus qui on est, on est plus ouvert, et le collège ça semble très loin …»
Fabien : « la maturité ça dépend de l’âge, à onze ans on ne sait pas toujours comment être, on cherche sa personnalité, on peut être plus influençable »
Et la puberté ?
Le collège est le lieu de transition, le passage entre l’enfance et l’adulte.
Victor : « Oui, la puberté ça change les rapports entre les collégiens, certains deviennent prétentieux, ils veulent faire plus vieux »
Maxence : « Par exemple, en 6e, on peut avoir envie de jouer au loup, ou à la guerre, mais on n’ose pas toujours le faire »
Jacques « C’est vrai que les jeux qui font appel à l’imaginaire sont mal vus en grandissant où l’imaginaire est plus caché, ou déplacé, comme dans le plaisir qu’on peut avoir à jouer au jeux vidéos »
Alors qu’est qu’on peut faire ensemble ?
Antoine : « On peut profiter des activités du foyer pour mêler les âges : à l’orchestre, au café philo, à la chorale »
Fabien : « À l’UNSS, les plus grands aident à entraîner les plus petits »
Maxence : « La journée de la presse, avec les troisièmes qui viennent aider dans les classes, c’est un moyen de rencontre »
« On pourrait imaginer un tutorat 6e/3e pour l’accompagnement éducatif »
Maud « On pourrait faire une fête, genre bal de promo qui mêlerait les générations »
« La journée d’accueil des 6ème pourrait être faite par des troisième ».
On le voit, il y a la volonté de rapprocher : d'ailleurs, la présence de secondes au débat montre bien que l'on sait souvent se retourner vers ceux qui nous suivent : pour leur tendre la main ou simplement pour faire un bout de route avec eux.
mardi 22 septembre 2009
lundi 21 septembre 2009
dimanche 20 septembre 2009
Compte rendu du café philo : parents, ados face aux jeux vidéo.
Quelques interventions recueillies lors du débat sur le jeu vidéo dans la famille : comment réagir face au Geek ou au no-life ?
Antoine : « Je pense que gâcher sa vie sur un jeu vidéo c’est con, c’est mieux d’aller dehors »
Alors le jeu nous détourne de l’essentiel ?
Maxence : « On joue aux jeux vidéos quand on s’ennuie »
Antoine : « J’ai le droit d’y jouer le mardi, le vendredi et le samedi, c’est mes parents qui ont fixé des limites, c’est vrai que sinon, il y a beaucoup de tentation »
Fabien : « Avant je jouais 1h30 par jour, aujourd’hui, mon ordi est cassé, ça me manque »
Son petit frère, pourtant, est content, il profite de son grand frère…
Pourquoi on joue ?
Rayanne : « Les no-life sont déçus par la vie réelle : dans les jeux en ligne, ils sont souvent meilleurs, ils ont des rôles plus importants »
Pierre-Louis : « Dans le jeu on se sent meilleur »
Maud : « Si on gaspille tout ce temps pour être meilleur dans un jeu pourquoi ne pas se donner dans la vie réelle les moyens de devenir meilleur ? »
Théodore : « Dans le virtuel, on peut faire certaines choses qu’on ne pas faire dans la vie réelle, comme conduire des voitures à 14 ans et en plus à 250 km/h »
Bérénice : « C’est toujours mieux, d’essayer d’être soi-même, même si c’est souvent plus difficile »
Est-ce mal de jouer ?
Antoine : « Je me suis lancé un défi : ne plus jouer avec ma DS pendant un an »
Et quand on lui demande pourquoi, il avoue qu’il se sent coupable quand il joue aux jeux vidéos, Théodore lui aussi se sent coupable surtout quand il fait beau dehors.
Pour Chloé, « On ne doit pas se sentir coupable de jouer, ça fait partie de notre génération. Quand on n’arrive pas à arrêter, c’est aux parents de fixer des limites »
Les jeux et leur coût
De plus, jouer aux jeux coute cher, « entre 30 et 80 € pour un jeu », nous rappelle Rayanne.
Baptiste : « Quand on achete un jeu cher, on y joue aussi beaucoup pour le rentabiliser »
Fabien : « On peut s’abonner par téléphone sans que les parents s’en rendent compte sur leur facture : sur le site de Dofus, il y a marqué que l’abonnement n’apparait pas sous le nom Dofus sur la facture."
Alexandre : « Avant je jouais plus de 6h, ça coutait 27€ par mois, plus les expansions, mais mes parents ne veulent plus que je joue car les jeux plantaient mon ordi »
Alors que doivent faire les parents ?
Antoine « les parents ne doivent pas accepter de payer un abonnement aux jeux »
Certains prônent des solutions plus radicales : supprimer l’ordinateur mais d’autres sont plutôt partisans d’une négociation : « Les parents doivent faire des pactes avec leur enfant en expliquant leur craintes et les limites »
Si Pierre-Louis rappelle que : « dans Word of war craft, il y a un contrôle parental, qui te permet de jouer que certaines heures », Alexandre lui est certain que « beaucoup de parents ne savent pas que ça existe ».
Alors ? Accro ? Reconnus ? incompris ?
Alexandre : « Dans les jeux, il y a une compétition entre la communauté des joueurs, on peut faire parti des GG, les good gamers »
Annëlle : « Il vaut mieux chercher la reconnaissance des gens qu’on connait que des connaissances virtuelles »
Pierre-Louis : « On peut se faire des vrais amis en jouant »
Fabien : « Les jeux qui rendent le plus accro, c’est les jeux de rôle où on est quelqu’un d’autre, où on a des quêtes à réaliser… »
Anaëlle : « C’est vrai que les consoles comme la Wii, c’est plus convivial »
Antoine : « Mais les fabricants de console inventent des jeux comme Cérébral Academy pour faire croire aux parents que c’est éducatif, mais on peut rester très longtemps à jouer sur la wii ! »
Filles et garçons même attitude face aux jeux ?
Les filles présentes au débat ne comprennent pas toujours l’engouement des garçons face aux jeux vidéos, même si les garçons leur affirment qu’il y a beaucoup de filles qui jouent à ces jeux même si elles sont moins nombreuses. Pour Baptiste « Les filles sont moins sur les jeux parce qu’elles ont d’autres centres d’intérêt, pas forcément plus captivants »
Cette séance du café-philo n’aura sans doute pas apporté de solutions toutes faites à ceux qui, côté adulte, voient cet engouement comme un problème. Il se sera cependant ouvert quelques pistes : peut-être peut-on réfléchir à ce lien fait de nombreuses fois entre ennui et abus de jeu ; il faut aussi entendre cet appel à la responsabilité des parents formulé par des ados qui disent volontiers que ce n’est pas à eux de fixer des limites… Et ne pas oublier que le jeu, quelque forme qu’il prenne, a un rôle à jouer dans la construction de l’individu…
vendredi 18 septembre 2009
Au feu les pompiers : le collège en grande pompe...
mardi 15 septembre 2009
lundi 14 septembre 2009
Donne ton avis sur sur une sélection de livre... bientôt au CDI
vendredi 19 juin 2009
Défi lecture au verger suite
jeudi 18 juin 2009
Défi lecture au verger
vendredi 5 juin 2009
Exposition au CDI de travaux réalisées par les élèves de 5ème en IDD
Palmarès du 20e Prix des Incorruptibles dans la catégorie 3e-2de
Pour eux, en 2éme position, ils avaient élu : Le complexe de l’ornithorynque de Jo Hoestlandt qui raconte l'histoire d'une lycéenne, Carla qui est intriguée par le beau voisin d’en face, qu’elle baptise Philémon. Il s’appelle en fait Pierre et est apprenti photographe. Dans la classe de Carla, il y a aussi Rose, en fauteuil roulant …
En 3ème position ils ont élu : Chevalier B. de Martine Pouchain
En 4ème position ils ont élu : L’enfant de Guernica de Guy Jimenes .
Ce roman historique raconte l'histoire d'Emilio qui est encore enfant quand,en 1937, la ville de Guernica est bombardée par les franquistes. Ce jour-là, il se trouve sur le marché avec toute sa famille. Malheureusement, il est le seul survivant...
De nombreuses années plus tard, sa fille, Isaura, devient bénévole à dans une association pour la réhabilitation de la Mémoire Historique. Avec des archéologues, elle doit exhumer les corps des victimes du régime de Franco entassés dans une fosse commune.
Isaura s'interroge beaucoup sur le passé de son père car celui-ci est étrangement muet sur tout ce qui concerne sa vie avant son mariage. Elle fait beaucoup d'hypothèses mais elle est bien loin d'imaginer la vérité...
En 4ème position ils ont élu : Anges de Berlin de Sylvie Deshors
jeudi 4 juin 2009
mardi 26 mai 2009
Le suplément du concours graines de reporters est sorti !
Ce matin, avec la Nouvelle République, oh, surprise notre article est enfin publié... Qu'il est beau ! !
Pour les gagnants, c'est dans une semaine qu'ils vont chanter : "Oh ! Mon bateau, hohohoho !!!" sur le Belem.
Notre page c'est la même, sauf qu'au montage, la Nouvelle République a rajouté une photo de spiruline... Sauf qu'ils ont placé la photo avant le titre... Une erreur de montagne car on a l'impression que l'image est associé à la brève sur les "prouts" des vaches ! Il aurait fallu mettre le titre "la bonne bactérie", la photo, puis le texte. Ainsi, la cogne avec la photo du billet d'humeur aurait pu être évitée et la photo de la spiruline aurait été mieux intégrer à l'article.

Pour les gagnants, c'est dans une semaine qu'ils vont chanter : "Oh ! Mon bateau, hohohoho !!!" sur le Belem.

vendredi 15 mai 2009
Report du café philo au 29 mai
Le café philo sur le corps est reporté au vendredi 29 mai. Désolé pour les fidèles... Mais ça nous laisse à tous, le temps de cogiter.
mercredi 13 mai 2009
lundi 11 mai 2009
dimanche 3 mai 2009
Un site sur la mode, encore à la mode !

Allez jeter un p'tit coup d'œil sur le site de M. Lavenac qui travaillait encore au CDI, l'année dernière.
Il a travaillé, il y a un an, avec des élèves sur les jeunes de Descartes et leur look. Ensuite il a publié une brochure reliée, disponible au CDI. Aujourd'hui, elle est consultable sur le net. Voici, l'adresse.
http://www.wix.com/tempo4/
Merci Francis !
vendredi 24 avril 2009
Concours graines de reporters 2009, le club presse victorieux (grand prix de la Caisse d'Epargne)
jeudi 23 avril 2009
Compte rendu du café philo sur l'immigration clandestine
L'actualité est malheureusement riche d'exemples dramatiques des difficultés liées à l'immigration clandestine : dernièrement, la police italienne a découvert 24 enfants afghans âgés de 10 à 15 ans et vivant sans parents dans les égouts d'une gare à Rome. Autre affaire dramatique au Pakistan : on a découvert une soixantaine de cadavres dans le conteneur d'un camion en provenance d'Afghanistan...
Il y a quelques jours des militants qui aident les clandestins sont allés se constituer prisonniers volontaires pour manifester contre le "délit de solidarité". En France, depuis 6 ans , le centre de Sangate qui accueillait les clandestins est fermé, mais le problème est-il résolu ? Aujourd'hui, on s'attaque aux personnes qui aident des clandestins : pourquoi ce durcissement envers des populations en souffrance ?
Pour Victor, "ceux qui aident les clandestins aujourd'hui sont hors-la-loi, comme ceux qui ont aidé les juifs pendant la guerre, mais pourtant ces gens là sont appelés "les justes".
Pourquoi, des gens immigrent au péril de leur vie, comme les Afghans ?
Pierre rappelle que"là-bas, il y a la guerre, la misère et la pauvreté" et Marion dit "qu'ils n'ont plus rien à perdre". Pour Elisa,"c'est horrible de laisser des gens dans une telle situation".
Victor informe "qu' en Afghanistan, il y a eu plusieurs guerres, qu'elles durent depuis longtemps. Aujourd'hui il y a les talibans au pouvoir qui veulent contrôler la vie des gens"
Doit-on ouvrir nos frontières ?
Marion : "On en a envie, mais on ne peut pas laisser entrer trop de gens"
Félicie : "Il faut les laisser rentrer, car ils ont les mêmes droits que nous"
Pierre : "C'est bien, mais si on laisse rentrer tout le monde, il y aura trop de monde"
Victor : "Oui, on devrait ouvrir la porte et partager ce qu'on a, par exemple dans des pays d' Afrique, il y a des guerres, de la misère, le sida. Parfois, les gens sont obligés de manger des galettes de terre. Même, si chez nous c'est la crise, ce n'est pas les mêmes difficultés. Moi, je pense qu'on ne doit pas les laisser crever"
Blandine : "Nous aussi, parfois, on part ailleurs à l'étranger. On devrait pouvoir vivre où on veut."
Maxence : "Mais il peuvent apporter des troubles, voler par exemple."
Victor : "Bien souvent, ce sont eux les victimes. La devise de la France c'est "liberté, égalité, fraternité" et on a oublié la fraternité, on ne doit pas fermer les yeux et les laisser derrière la porte."
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