Je serai au festival Jeunes Talents, avec un groupe de la 3ème journaliste et M. Arfeuillère donc pas de café philo... Prochain café philo vendredi 4 novembre.
jeudi 20 octobre 2011
Mort d’un parent : compte rendu du café philo
Pour ce café philo, on n’a pas posé de questions, on ne
savait pas comment entamer le débat sur ce sujet. On reviendra donc sur le lien parent
enfant, sur la notion d’orphelin.
Qu’est-ce que ça représente ? Comment c’est vécu à l’école ? Comment
surmonte-t-on cette épreuve ? Un élève décide de témoigner.
Nathanaël : «ça
fait 6 ans que j’ai perdu ma mère. Pendant 2 ans, après la mort de notre mère,
mes frères et moi, on ne voyait presque plus mon père. On vivait chez nos
grands-parents, c’était dur parce qu’on avait perdu notre mère et un peu aussi
notre père. A l’école, beaucoup ne comprenaient pas trop ce qui s’était passé,
parce que j’étais petit, en maternelle, et mes copains ne savaient pas ce que
c’était un suicide, même si on en avait parlé dans le journal.
Aujourd’hui j’ai eu envie d’en parler parce que ça me fait du bien de
raconter ».
Cédric : « Moi,
j’ai un ami, où la mort d’un parent s’est mal passée, car sa grande sœur lui a
reproché la mort de son père, même si son père était mort d’accident ».
Jacques : «
On peut ressentir de la culpabilité quand un parent meurt.. »
Qu’est ce qu’il
manque quand un parent meurt ?
Garçon 3ème : « C’est moins convivial, il nous manque quelque chose, on se sent
un peu différent ».
Xavier : « Les
relations avec le parent qui reste changent ».
Nathanaël : « Mon
père est devenu plus affectueux depuis la mort de ma mère. Avant, il faisait la
loi à la maison, maintenant il s’est adouci, il est moins dur ».
Karen : « Après,
ça rend la vie plus précieuse, tout peut arriver, on prend conscience que tout
peut s’arrêter du jour au lendemain. On prend conscience de la réalité de la
mort, alors on fait peut-être plus attention aux autres».
Nathanaël : « Après
la mort de ma mère, dès que mon père partait, j’avais toujours peur qu’il lui
arrive quelque chose. Je ne le quittais plus, je me sentais responsable de
lui. J’avais peur qu’il se suicide aussi ».
Fille 6ème : « On doit sentir l’absence, et on ne pense qu’à elle ».
Marielle : « On
est triste, on ne parle pas, on se sent seul ».
Karen : « ça
oblige l’enfant à quitter le monde de l’enfance plus vite, ça le fait murir, il
peut affronter la vie plus facilement car il relativise ».
Nathanaël : « Mon
grand frère qui a 15 ans, depuis que ma
mère est morte, il est plus agressif, il en veut à tout le monde. Mais il en
veut surtout à mon père à cause de ses histoires de vin, il le rend responsable de la mort de
ma mère ».
Cédric : « Certains
enfants, cherchent à combler ce manque en cherchant quelque chose ou quelqu’un
pour remplacer le parent disparu ».
Marielle : « Quand
on traverse des épreuves terribles, on est plus fort ».
Charline : « ça
peut aussi apprendre la peur, peur que ses enfants meurent quand on deviendra
parents, ou nous rendre toujours angoissés par la mort ».
Eva : « Au
début, ça affaiblit, mais avec le temps on devient plus fort. Ça permet de
relativiser nos problèmes d’ados ».
Nathanaël : « Quand
j’entends quelqu’un qui dit que sa mère le fait « chier », qu’il a
envie de la tuer, moi, je m’en vais, je ne veux pas entendre ça. Moi, je n’ai
jamais choisi ce qui est arrivé à ma mère ».
Quand un camarade
dont un des parents est mort revient à l’école…
Garçon 5ème : « ne
pas lui rappeler sans arrêt ce qui s’est passé, lui faire penser à autre
chose ».
Nathanaël : « Moi
j’aime bien qu’on en parle, mais frère lui ne supporte pas, il ne supporte pas
les photos d’elle ».
Fille 5ème : « Il faut l’aider à accepter »
Fille 6ème : « Il faut lui dire qu’il soit fort ».
Garçon : « Il
faut lui parler que s’il nous le demande. On peut le soutenir dans d’autres
domaines l’école ou être juste présent pour lui ».
Nathanaël : « quand
ma mère est morte, mes maîtresses de maternelle n’arrêtaient pas de me prendre
dans leur bras, de me faire des câlins. Mais moi, j’en avais marre, je voulais
penser à autre chose ».
Comment gérer le
souvenir de la personne disparue ?
Garçon 3ème : « Le souvenir c’est trop dur, il vaut mieux essayer d’oublier la
personne ».
Marielle : «Ce
n’est pas la même réaction si c’est une fille ou un garçon ou en fonction de
son âge. Les petits ont besoin de plus de souvenirs, car ils ont vécu moins de
choses avec elle ou ils ne se souviennent pas bien ».
Garçon 6ème : « il faut garder des souvenirs, Nathanaël garde toujours la bague et la chaine de sa
mère ».
Eva : «On n’oublie
rien, on apprend à vivre avec ».
Est-ce que nos
habitudes de deuil nous aident à accepter la mort ?
Nathanaël : «
Le jour de sa mort, ou à son anniversaire, on va tous au cimetière toute la
famille, c’est bien (sauf ma belle-mère, bien-sûr) ».
Karen : « On
peut choisir de ne pas aller à l’enterrement de ses parents, parce que c’est
trop dur ».
Dans la famille
comment le reste de la famille en parle ?
Garçon 6ème : « Il ne faut pas trop en parler, sinon ça rend triste toute la
famille ».
Garçon 4ème : « Si, on doit en parler ça fait du bien de se souvenir d’un moment
heureux avec la personne partie. Ça permet à la famille de rester soudée ».
Va : « Dans
sa famille, on doit dire ce que l’on ressent ».
« Prendre
la place » de la personne disparue
Sarah : «Les
enfants ne veulent pas qu’on remplace la personne disparue, alors ça peut créer
du conflit ».
Garçon : «
Ce n’est pas très bien de remplacer la personne disparue ».
Nathanaël : « Au
départ je voulais que mon père reste seul, puis comme j’avais peur pour lui, je
voulais absolument une belle-mère. Mais après j’ai été déçu ».
Karen : « C’est
bien que le père retrouve quelqu’un, ça l’aide. Ce n’est pas facile pour celui
qui reste de refaire sa vie. Il ne cherche pas à remplacer la personne décédée
mais il cherche à aimer différemment pour se sentir plus fort aussi pour élever
ses enfants ».
Marielle : «
L’objectif c’est de retrouver du bonheur. C’est important pour toute la
famille ».
Garçon 6ème : « Pour moi ça reste une sorte d’infidélité, je ne trouve pas ça
bien ».
Garçon 5ème : « ça dépend de la belle-mère, si
elle ne cherche pas à remplacer la mère et quelle est gentille ».
Karen : « Les
enfants n’ont pas trop envie qu’une femme remplace leur mère, mais au bout d’un
moment ils peuvent apprendre à vivre avec leur belle-mère ».
Et si les 2 parents
meurent ?
Marielle : « si
mes parents meurent tous les 2, je ne sais pas trop ce qui m’arriverait parce
que je n’ai pas de parrain et de marraine ».
Garçon 6ème : « Il vaut mieux aller chez ses grands-parents plutôt que d’aller
dans un orphelinat ou avec des gens qu’on ne connait pas ».
La manière dont on
regarde ses parents ?
Marielle : « Même
si on se dispute souvent avec notre
mère, si elle meurt on se souvient que des bons moments, on oublie les mauvais
moments ».
Jeanne : « Si notre mère meurt, on peut regretter d’avoir été plus complice
avec notre père et ne pas avoir passé assez de temps avec elle. Du coup, après
on peut en vouloir aussi à notre père ».
Anouck : « On
peut devenir aussi plus complice avec son père si avant on ne l’était
pas ».
Le souvenir d’un mort
est-ce la réalité de la personne ?
Karen : « Quand
les gens meurent, que ce soit nos parents ou autres, on améliore toujours son
image, on se souvient surtout de ses qualités ».
Garçon 3ème
: « Ce n’est pas bien de dire du mal d’un mort. Il ne peut pas se
défendre ».
Voilà, bien des pistes ont été ouvertes et si on ne prétend pas avoir
fait le tour du problème, ce café-philo restera un des plus émouvants tant
l’écoute était de qualité, tant le respect de l’autre semblait présider aux
échanges.
jeudi 13 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
dimanche 9 octobre 2011
L'homoparentalité en question : compte rendu du café philo
L’homoparentalité concerne aujourd’hui plus de 200000 foyers qui vivent une réalité familiale qui n’est pas reconnue par la loi : les enfants de couples homosexuels sont, au mieux, considérés comme des enfants de famille monoparentales. Pourquoi ne pas reconnaître le couple homoparental comme légitime pour élever les enfants : la question a été posée pour ce 3ème café philo de l’année.
Garçon, 6e : « J’ai une tante qui est lesbienne, elle et sa copine ont des enfants et dans ma famille c’est bien accepté. Il en a une que les petits appellent « Maman » et l’autre c’est « Mama ». C’est vrai que ça peut paraître bizarre, mais ils sont heureux ».
Garçon 6e : « C’est difficile pourtant car un enfant a besoin à a fois d’une présence masculine et d’une présence masculine ».
Et dans les familles monoparentales, n’y-a-t-il pas le même problème?
« Ça dépend si les parents sont divorcés ou pas, s’ils sont divorcés ils peuvent voir toujours les 2 parents. Et si c’est une famille monoparentale, l’enfant sait qu’un jour il a eu un papa ou une maman ».
Eva : « Il y a des choses que la mère ne pourra pas apprendre à son fils comme le bricolage et il y a des choses qu’un père ne peut pas apprendre à sa fille comme le maquillage par exemple ».
Badr : « La mère apporte plus de douceur et le père est dur ».
Karen : « ça doit être à l’école le plus dur pour l’enfant parce qu’il doit assumer les regards extérieurs. Comme par exemple pour remplir les papiers d’inscription : il y a une case pour le père et la mère… ».
Badr : « Comme les enfants d’homosexuels sont moins nombreux, ils se font mal regarder, s’ils étaient plus nombreux ça se passerait mieux ».
Aujourd’hui l’homosexualité est mieux acceptée dans la vie publique, cependant l’homophonie existe encore. La vision de l’homosexualité varie en fonction des époques et des cultures.
Fille, 6ème : « Dans un couple homosexuels, il y a toujours un plus féminin et l’autre plus masculin. Alors ça s’équilibre ».
C’est quoi une éducation féminine et une éducation masculine ?
Karen : « Une femme en général, c’est plus tendre et sa fille peut la prendre comme modèle surtout quand elle est petite. Avec son père, ça se passe mieux à l’adolescence, quand la fille part en rébellion contre sa mère, elle se rapproche de son père ».
Garçon, 6ème : « On dit qu’une femme c’est plus tendre. Moi, ma belle-mère elle n’arrête pas de crier tout le temps ».
Fille, 6ème : « Moi, j‘ai une belle-mère depuis un an et bien elle est moins proche de moi que de son enfant. Quand on n’est pas les vrais enfants on est moins proches ».
Garçon, 6ème : « Moi, mon père est devenu beaucoup plus tendre depuis le décès de ma mère, pour compenser ».
Quand on est un couple homosexuel, vaut-il mieux avoir un garçon ou une fille ?
Fille 6ème : « Les homosexuels hommes préfèrent avoir une fille, puisse qu’ils sont plus féminins et moins machos».
Et quand il y a changement de modèle ?
Fille 6ème : « Mes parents ont un ami homosexuel qui avant était avec une femme et avait des enfants mais il ne se sentait pas bien, il voulait être « normal », mais ça le rendait malheureux, alors il s’est mis avec un mec. Seulement à l’école, les autres enfants se moquent d’eux ».
Eva : « Si notre mari nous quitte pour un homme ça doit être terrible car on doit se sentir impuissante, on ne peut plus rien faire ».
Karen : «En plus si on y réfléchir après coup, ça doit être traumatisant de penser qu’il pensait aux hommes quand il était avec nous ».
Adopter un enfant pour un couple d’homosexuel est très compliqué, alors d’où vient ce désir d’enfant ? Pourquoi se compliquer la vie ?
Eva : « Ils veulent des enfants, pour être comme les autres. Pour se reconnaître comme un vrai couple ».
Karen : « C’est pour partager, et pour avoir une descendance ».
Garçon, 6ème : « Pour faire de la vie à la maison ».
Karen : « On a des enfants pour donner de l’amour ».
Garçon, 6ème : « Pour donner autre chose à sa vie. Avoir l’occasion de faire des activités avec ses enfants ».
Que veut-on transmettre à ses enfants ?
Fille, 6ème : « On veut transmettre ses gènes, son histoire, ses jouets, toutes les choses qui nous tiennent à cœur ».
mardi 4 octobre 2011
jeudi 29 septembre 2011
mardi 27 septembre 2011
jeudi 22 septembre 2011
lundi 19 septembre 2011
Vidéo de Lhomé : amoureux d'un ange
http://www.youtube.com/watch?v=ddmaGbB6BO0&feature=relatedhttp://www.youtube.com/watch?v=ddmaGbB6BO0&feature=related
dimanche 18 septembre 2011
Lhomé au café philo : atelier slam et débat
Extraits :
"Je m'appelle Julien Laba, mon nom de scène, c'est Lhomé. Je suis slameur depuis 3ans et rapeur depuis 10 ans. Avant je faisais partie d'un groupe de rap, Slave farm, avec qui j'ai fait 3 albums et plusieurs tournées."
"Ecouter de la musique c'est important, parce que la musique appartient à notre culture. Il faut être ouvert et curieux parce que si vous ne mangez que ce qui passe à la télé, vous allez passer à coté de beaucoup de choses. Il faut savoir être curieux, et écouter encore et toujours".
"L'inventeur du slam, c'est Marc Smith, un ouvier du Bâtiment qui adorait la poésie mais qui déplorait son manque d'énergie et chercher un moyen de la faire connaitre, parce que la poésie ne devaient pas être réservée aux grosses têtes. Il a donc imaginé une joute entre poétes qui se passerait dans un bar. Slam signifie "claquer", c'est un sport de poésie. La seule règle du slam, c'est être a capella, c'est à dire sans l'accompagnement d'un instrument musical"
Exercice de rime : "La rime n'est qu'un élèment du texte, ce que est important, c'est le sens. Pourquoi j'écris, qu'est ce que j'ai à dire ?".
Pour moi dire un texte de rap, c'est comme un match de boxe alors que le slam, c'est plus une caresse".
lundi 12 septembre 2011
mercredi 22 juin 2011
Bilan du café philo sur la photographie
On prend tous des photos, avec nos portables et avec le progrès technique (comme le numérique), on peut même en prendre de façon illimitée. Mais la photographie, ce n’est pas seulement une technique, c’est aussi un art. Quel sens ça peut avoir de prendre des photographies pour d’autres raisons que la conservation des souvenirs ou la conservation d’images de soi ? La photographie a-t-elle vocation de représenter le réel, peut-elle d’ailleurs représenter le réel ?
Pourquoi prend-t-on des photos ?
Marion : « Pour garder des souvenirs des gens et ou des paysages qu’on aime. »
Florentin : « C’est pour se remémorer les sentiments qu’on avait devant les yeux ».
Xavier : « Parfois il y a des photos mal faites : sourires trop artificiels, on ferme les yeux… ».
Victor : « La photo nous procure un sentiment seulement pour soi-même, comme par exemple quand on connait les gens sur la photo ou elle nous rappelle un contexte particulier ; c’est quelque chose d’intime ».
Ophélie : « Parfois, la photo ment, parce que c’est une mise en scène, on triche avec la vérité ». Marie : « j’ai en tête une photo floue qu’on a prise en voyage scolaire, mais elle est magnifique car elle retranscrit un moment où on rigolait. Elle est floue mais elle est plus vraie que nature. Elle représente la joie et la complicité du groupe».
Qu’est ce qui fait une bonne photo ?
Marie : « Ce qui attire le photographe, c’est un moment précis. Elle décompose le mouvement ».
Paola : « Parfois elle nous révèle une réalité qu’on ne connait pas ».
Séverine : «ça fige un moment unique qui ne se reproduira pas ». « Il n’y a pas vraiment de règle, il faut que la photo touche. Parfois, on voit des images bien réalisées avec de belles proportions, mais qui laissent froid».
Antoine : « Dans mes cours de combat, mon prof a utilisé une photo pour nous montrer un mouvement que le réel ne permettait pas de montrer».
Victor : «Il ya un photographe, [Muybridge] célèbre pour ses décompositions photographiques du mouvement et grâce à ses photos, il a pu prouver que le cheval au galop voit ses jambes se décoller du sol ».
Jacques : « La photographie peut donc révéler une vérité scientifique ».
La photo de famille peut-elle être une photo d’art ?
Maxence : « Non, c’est personnel, ça ne concerne que la famille ».
Marie : « Au départ ce n’est pas une photo d’art, mais ça peut le devenir ».
C’est quoi une œuvre d’art ?
Victor : « C’est quelque chose de nouveau, d’inédit ».
Florentin : « Une œuvre d’art c’est l’expression d’un sentiment. Une œuvre d’art nous met en mouvement… »
Marie : « Une photo de famille ça peut nous rappeler le passé, faire parler l’époque. C’est indiscret mais ça peut nous apprendre des choses ».
Qu’est ce qui est magique dans la photographie ?
Ophélie : « La photographie fixe un instant qui ne se reproduira plus, sur une photo on est un peu éternel ».
Florentin : « La photographie existe dans notre regard, on la regarde avec ce qu’on a dans la tête ».
Jacques : « Le grand photographe, nous piège dans son histoire, on récrée du réel ».
Pourquoi prend-t-on des photos ?
Marion : « Pour garder des souvenirs des gens et ou des paysages qu’on aime. »
Florentin : « C’est pour se remémorer les sentiments qu’on avait devant les yeux ».
Xavier : « Parfois il y a des photos mal faites : sourires trop artificiels, on ferme les yeux… ».
Victor : « La photo nous procure un sentiment seulement pour soi-même, comme par exemple quand on connait les gens sur la photo ou elle nous rappelle un contexte particulier ; c’est quelque chose d’intime ».
Ophélie : « Parfois, la photo ment, parce que c’est une mise en scène, on triche avec la vérité ». Marie : « j’ai en tête une photo floue qu’on a prise en voyage scolaire, mais elle est magnifique car elle retranscrit un moment où on rigolait. Elle est floue mais elle est plus vraie que nature. Elle représente la joie et la complicité du groupe».
Qu’est ce qui fait une bonne photo ?
Marie : « Ce qui attire le photographe, c’est un moment précis. Elle décompose le mouvement ».
Paola : « Parfois elle nous révèle une réalité qu’on ne connait pas ».
Séverine : «ça fige un moment unique qui ne se reproduira pas ». « Il n’y a pas vraiment de règle, il faut que la photo touche. Parfois, on voit des images bien réalisées avec de belles proportions, mais qui laissent froid».
Antoine : « Dans mes cours de combat, mon prof a utilisé une photo pour nous montrer un mouvement que le réel ne permettait pas de montrer».
Victor : «Il ya un photographe, [Muybridge] célèbre pour ses décompositions photographiques du mouvement et grâce à ses photos, il a pu prouver que le cheval au galop voit ses jambes se décoller du sol ».
Jacques : « La photographie peut donc révéler une vérité scientifique ».
La photo de famille peut-elle être une photo d’art ?
Maxence : « Non, c’est personnel, ça ne concerne que la famille ».
Marie : « Au départ ce n’est pas une photo d’art, mais ça peut le devenir ».
C’est quoi une œuvre d’art ?
Victor : « C’est quelque chose de nouveau, d’inédit ».
Florentin : « Une œuvre d’art c’est l’expression d’un sentiment. Une œuvre d’art nous met en mouvement… »
Marie : « Une photo de famille ça peut nous rappeler le passé, faire parler l’époque. C’est indiscret mais ça peut nous apprendre des choses ».
Qu’est ce qui est magique dans la photographie ?
Ophélie : « La photographie fixe un instant qui ne se reproduira plus, sur une photo on est un peu éternel ».
Florentin : « La photographie existe dans notre regard, on la regarde avec ce qu’on a dans la tête ».
Jacques : « Le grand photographe, nous piège dans son histoire, on récrée du réel ».
vendredi 17 juin 2011
Facebook active la reconnaissance faciale par défaut sur les comptes des utilisateurs
C'est nouveau Facebook a émis en place un système de reconnaissance faciale ! Le réseau social utilise cette technologie pour identifier ses membres sur les photos de vos comptes. Ensuite, il incite les amis des personnes identifiées à les marquer sur ces photos.
Les problèmes concrets que cela pose pour la CNIL
"Potentiellement, vous pouvez imaginer un moteur de recherche avec des noms: vous tapez votre nom, et on ne trouve plus simplement les commentaires que vous avez laissés sur un forum, etc., mais une photo de vous en CM2, pas taguée mais chargée par l’un de vos amis et qui a été analysée, et sur laquelle on vous reconnaît. N’importe quelle image de vous, que vous connaissiez son existence ou pas, pourrait devenir accessible à tous. C’est le droit à l’oubli qui est en jeu." Propos recueillis par Charlotte Pudlowski pour 20 minutes.fr
Alors si vous voulez vous protéger voici la procédure :
Les problèmes concrets que cela pose pour la CNIL
"Potentiellement, vous pouvez imaginer un moteur de recherche avec des noms: vous tapez votre nom, et on ne trouve plus simplement les commentaires que vous avez laissés sur un forum, etc., mais une photo de vous en CM2, pas taguée mais chargée par l’un de vos amis et qui a été analysée, et sur laquelle on vous reconnaît. N’importe quelle image de vous, que vous connaissiez son existence ou pas, pourrait devenir accessible à tous. C’est le droit à l’oubli qui est en jeu." Propos recueillis par Charlotte Pudlowski pour 20 minutes.fr
Alors si vous voulez vous protéger voici la procédure :
- Il faut aller sur son compte
- Paramètres de confidentialité
- Personnaliser les paramètres
- Ce que les autres partagent
- Suggérer à mes amis les photos où j'apparais
- et cliquer sur Modifier les paramètres
dimanche 12 juin 2011
samedi 11 juin 2011
Compte rendu du café philo avec PAP ADAM'S (Ouedraogo Adama)

Ouédraogo Adama est un artiste peintre et sculpteur du Burkina Faso. Il est à Châtellerault pour un projet de fresque sur la plaine d’Ozon à Châtellerault. « Au village, si vous demandez Ouédraogo, personne ne saura qui c’est, mais si vous dites Pap Adam’s, les gens vont vous dire où je suis ». C’est donc le pseudo de cet artiste Burkinabais que nous utiliserons dans ce compte-rendu. Sa visite au café-philo a été rendu possible grâce à khalid Esbaï qui a profité de la résidence de l’artiste dans notre ville pour établir ce contact.
Que viens-tu faire à Châtellerault ?
Je viens ici dans le cadre de la coopération culturelle entre la ville de Kawa et la ville de Châtellerault. Le quartier d’Ozon est en rénovation : je vais laisser quelque chose, c’est comme un cadeau de ma part, il n’y a rien d’économique là-dedans. Je suis ici pour l’échange, découvrir ce qu’il y a ici, pas pour vendre. Chez moi, je peins et je sculpte, donc je vais réaliser ici, une œuvre qui mélange à la fois peinture et sculpture.
Chez moi, on a un marché tous les 3 jours, c’est un lieu de vie très important où se rencontrent les commerçants, les cultivateurs, les villageois… Il y a un adage au Burkina « Si il y a longtemps que tu n’as pas vu un ami, il faut aller au marché ». J’ai pris sur place ce que j’ai vu et j’ai mélangé ce que j’ai vu à ce que je connais de chez moi. Mais il faudra attendre l’année prochaine avant de pouvoir voir l’œuvre terminée. J’ai réalisé une maquette, la structure va être réalisée et je reviendrai quand la structure sera terminée pour faire la peinture, l’an prochain.
Gratuité de l’œuvre ? L’artiste doit-il travailler gratuitement ?
Annaïck : « Oui, il peut travailler gratuitement mais pas tout le temps ».
Maxence : « Artiste c’est un métier comme un autre, il doit être payé ».
Cloé : « Une œuvre d’art ne devrait pas servir à gagner de l’argent ».
Pap Adam’s : « L’art c’est compliqué, c’est un métier ingrat. Si vous voulez être artiste pour être riche, vous ne deviendrez jamais artiste ». Artiste ça ne paye pas. Moi, en venant ici, je suis venu chercher quelque chose de nouveau. Au Burkina quand on est artiste musicien, cinéaste, écrivain, nous avons les mêmes problèmes. Si quelqu’un peut aider, tu peux t’en sortir. Mais un plasticien en Afrique n’a rien pour l’aider. Dans les musées, il y a des masques … mais pour les artistes plasticiens actuels, il n’y a rien. Peut-être qu’en faisant une œuvre à Châtellerault, quelqu’un voudra acheter mes œuvres ?
Pourquoi je suis artiste ?
« Je ne suis pas né avec, c’est à force de faire que je suis devenu artiste. Je vais vous raconter une histoire. Quand, j’étais petit je ne voulais pas aller à l’école, j’ai redoublé, j’ai changé d’école. Pour moi, c’était fatiguant d’aller à l’école : je devais faire 3 km à pied et comme je rentrais pour manger chez moi, ça me faisait 12 km par jour. Ce qui m’intéressait, c’étaient les oiseaux, les fourmis et les papillons. J’aime la liberté, c’est ce qui me fait plaisir. Un jour au CM2, j’ai eu un maître qui était lui-même artiste, il nous faisait faire du dessin, de la poterie. Il m’avait dit : « Ce qui est dans ta tête c’est de l’art mais l’art ne te fera pas un métier ». Je ne voulais pas parler, je ne voulais pas écrire, je voulais dessiner ».
« J’ai eu la chance de faire une 2ème rencontre avec un ami de mon père qui avait fait l’école des arts à la Sorbonne à Paris. Mon père lui a montré un dessin et il a dit que j’étais un artiste. Il m’a amené chez lui … Quand je lui montrais des dessins parfois il criait, il m’insultait mais quand il ne disait rien c’est que ça lui plaisait. C’est comme ça que je suis devenu artiste je crois. »
Utilité de l’art ? Quand on fait ce choix, pourquoi on le fait ?
Marion : «Par passion »
Pierre : « Pour délivrer ses idées »
Manon : « Pour s’exprimer »
Marie : « Par exemple, Picasso a peint Guernica pour donner son avis sur la guerre d’Espagne ».
Victor : « Il a essayé de faire passer ce qu’il a vu, l’horreur des massacres. Mais l’art il faut s’en méfier aussi par exemple Staline ou Hitler l’ont utilisé pour manipuler les gens. L’art peut séduire et ça peut être dangereux si les idées ne sont pas nobles ».
Manon : « Blansky en faisant sont œuvre sur le mur entre la Palestine et l’Israël, veut donner son avis sur l’absurdité des combats ».
Annaïck : « Quand on fait une œuvre d’art et qu’elle est vue par tout le monde, ça fait un langage universel que tout le monde peut comprendre quelle que soit sa langue».
Pap Adam’s : « Le poids du monde en moi, il faut que ça sorte ».
Annaïck : « c’est comme s’il avait plein de vision, l’art est pour lui un remède pour se sentir mieux ».
Pap Adam’s : « Je suis un artiste pas un politicien. Quand je vois quelque chose qui me plait, je dessine, quand je vois quelque chose qui ne me plait pas, je dessine. Je suis libre. Surtout, j’ai la totalité du monde en moi. C’est là, ça se presse, il faut que ça sorte. Quand j’ai fini, je me sens comme soulagé ».
Quel est le rôle de l’artiste dans la société :
Pap Adam’s : « Il apporte des références, c’est un historien. L’artiste fait voir une opinion, il écrit l’histoire. Sans lui, on perd du témoignages, des formes, des moments de la vie ».
Victor : « Parfois l’artiste dénonce la société dans laquelle il vit. L’œuvre peut parfois conduire les gens à agir en les faisant réfléchir ».
Avec un artiste occidental, utilise- t-on le même langage ?
Jacques Raynaud : « Ce sont les conditions de productions qui changent et l’histoire du développement culturel du pays. La culture, c’est aussi comment l’Homme se dépatouille avec son environnement. Quel rapport il entretient avec les matériaux locaux… Là-bas, les artistes connaissent des problèmes de matériel : peinture et pinceaux de mauvaise qualité…."
vendredi 10 juin 2011
mercredi 8 juin 2011
Exposition une histoire, une photo du 7 juin au 24 juin

"Fourmi au milieu des géants. Je suis tout petit, juste un enfant. Mais quand je se serais grand, je serais comme eux, prêt à me battre pour vivre en paix. Je veux libérer mon peuple de la guerre. Je sais que ça ne sera pas facile, mais je surmonterais tous les obstacles pour leur ressembler, pour être comme eux. Etre courageux. Des sacs à porter et des regards à ignorer, je gagnerai la bataille que je me suis fixée. Je les admire, et tout seul, j’arriverais à leur ressembler."
Emma Jean Jean, 6ème 5

mardi 7 juin 2011
jeudi 2 juin 2011
mercredi 1 juin 2011
vendredi 27 mai 2011
jeudi 26 mai 2011
mercredi 18 mai 2011
Remise de prix : meilleure une et meilleur journal collégien. T2K était là !
Tâche 2 k'encre a été représenté par Xavier et Apolline. Ils ont présenté une parodie de la chanson de Gainsbourg, Elisa !
Hé p’tit gars, hé p’tit gars, hé p’tit gars d’nne-moi tes papiers
Hé p’tit gars, hé p’tit gars, hé p’tit gars cherche-moi des idées
Mêmes les plus débiles, et les plus farfelues
Dans la jungle de mon actu, p’tit gars
Hé nana, hé nana, hé nana écris moi des lignes
Hé nana, hé nana, hé nana n’oublies pas le timing
Fais-moi quelques jeux de mots et des impertinences
Tu n’a qu’1 an ou 2 ans d’expérience
Hé p’tit gars, hé p’tit gars, hé p’tit gars, les adultes on s’en fout
Hé nana, hé nana, hé nana rien que toi, moi, nous
Tes 12 ans, tes 13 ans, si tu crois que cela
Me tourmente, ah non vraiment Nana
Hé p’tit gars, hé p’tit gars, hé p’tit gars, cherche-moi des scoops
Hé p’tit gars, hé p’tit gars, hé p’tit gars, et pas d’entourloupe
Pas de copier-coller, mais des idées timbrées
Pour faire bouger les ados fac’ bookés
lundi 9 mai 2011
dimanche 8 mai 2011
dimanche 1 mai 2011
Danse pour le groupe de 12 élèves
Petite aide pour vous entrainer (bonne chance)
Au début de la musique les garçons et les filles vont se placer en courant.
Filles/garçons se font face, paume contre paume. Les garçons avancent, les filles reculent. (Comptez une fois huit, puis jusqu’à 5) et de 6 à 8 le garçon fait tourner la fille. Puis main dans la main, le couple de danseur avance en commençant par la jambe droite et recule (comptez 8).
Les garçons : On croise la jambe, on recule d’un pas, on écarte et on se met sur le coté les pieds joints.
Les filles en même temps, elles, croisent, reculent, elles écartent la jambe en se retournant puis se replacent à pieds joints, face au garçon. Et ensuite reprennent leur place.
En revenant la fille qui était à droite se retrouve à gauche et ils tournent une nouvelle fois paume contre paume et refont les mouvements de balance : avant/arrière refont tourner la fille et le garçon tire la fille par le bras qui saute vers le garçon pour faire le porté.
Les groupes se déplacent côté cour (4 pas vers l’arrière) et les cavaliers se retournent vers leur cavalière. Et les cavalières vers leur cavalier. Fait un demi-tour, pied joint puis tourne : (écarte jambe avant, tourne et ferme, écarte jambe avant, tourne et ferme)
Les danseurs forment un cercle, fille, garçon, fille, garçon. Tous ensemble avancent, reculent, avancent, reculent sur 8 temps.
Puis les filles seulement avancent vers l’avant, puis reculent (sur 8 temps).
Les garçons avancent au centre du cercle. Puis quand ils sont au centre lèvent la jambe droite et tapent avec leur main sur l’extérieur du pied, puis vers l’intérieur et frappent bruyant le sol avec le pied droit qui redescend.
Puis les garçons se tiennent par les épaules et tournent en pas chassés. Pendant ce temps les filles tournent en pas chassés ensemble dans le cercle extérieur. Puis pendant que les garçons tournent encore les filles vont se placer, quand elles sont placées les garçons les rejoignent et se placent à droite des filles.
La cavalière tourne autour de son cavalier en passant par l’avant (8 temps) et le garçon tourne autour de sa cavalière en passant par derrière et en s’arrêtant derrière la fille.
Les filles mettent un pied vers la droite, puis reviennent vers le milieu puis vers la gauche et reviennent pied joints. Les garçons font la même chose coté opposé, un pied sur le coté, reviennent et s’arrêtent à coté de leur cavalière.
A la fin, les danseurs se dispersent en se plaçant à l’arrière de la scène.
Au début de la musique les garçons et les filles vont se placer en courant.
Filles/garçons se font face, paume contre paume. Les garçons avancent, les filles reculent. (Comptez une fois huit, puis jusqu’à 5) et de 6 à 8 le garçon fait tourner la fille. Puis main dans la main, le couple de danseur avance en commençant par la jambe droite et recule (comptez 8).
Les garçons : On croise la jambe, on recule d’un pas, on écarte et on se met sur le coté les pieds joints.
Les filles en même temps, elles, croisent, reculent, elles écartent la jambe en se retournant puis se replacent à pieds joints, face au garçon. Et ensuite reprennent leur place.
En revenant la fille qui était à droite se retrouve à gauche et ils tournent une nouvelle fois paume contre paume et refont les mouvements de balance : avant/arrière refont tourner la fille et le garçon tire la fille par le bras qui saute vers le garçon pour faire le porté.
Les groupes se déplacent côté cour (4 pas vers l’arrière) et les cavaliers se retournent vers leur cavalière. Et les cavalières vers leur cavalier. Fait un demi-tour, pied joint puis tourne : (écarte jambe avant, tourne et ferme, écarte jambe avant, tourne et ferme)
Les danseurs forment un cercle, fille, garçon, fille, garçon. Tous ensemble avancent, reculent, avancent, reculent sur 8 temps.
Puis les filles seulement avancent vers l’avant, puis reculent (sur 8 temps).
Les garçons avancent au centre du cercle. Puis quand ils sont au centre lèvent la jambe droite et tapent avec leur main sur l’extérieur du pied, puis vers l’intérieur et frappent bruyant le sol avec le pied droit qui redescend.
Puis les garçons se tiennent par les épaules et tournent en pas chassés. Pendant ce temps les filles tournent en pas chassés ensemble dans le cercle extérieur. Puis pendant que les garçons tournent encore les filles vont se placer, quand elles sont placées les garçons les rejoignent et se placent à droite des filles.
La cavalière tourne autour de son cavalier en passant par l’avant (8 temps) et le garçon tourne autour de sa cavalière en passant par derrière et en s’arrêtant derrière la fille.
Les filles mettent un pied vers la droite, puis reviennent vers le milieu puis vers la gauche et reviennent pied joints. Les garçons font la même chose coté opposé, un pied sur le coté, reviennent et s’arrêtent à coté de leur cavalière.
A la fin, les danseurs se dispersent en se plaçant à l’arrière de la scène.
mercredi 20 avril 2011
Aide pour la danse des 6e 7 (groupe de 16)
Mémo pour la danse des 16 élèves
Attention ceci est des notes prises de manière approximative d’après les vidéos pour vous donner des repères… (bonne chance: les mouvements ne sont expliqués dans le détail)
Les garçons commencent les mains sur les hanches, puis pas sur le côté, en croisant les jambes, puis ils piquent le talon droit vers le sol. Changement de pied : droite / gauche. Puis saut à pieds joints.
Bras croisés décollés du ventre vers l’avant, une flexion vers le bas à droite, en tournant seulement les jambes. On remonte, une flexion vers le bas, à gauche, en écartant les bras vers le haut en remontant.
Tapent du pied 1,2 1,2,3. Les garçons restent bien droits, les mains sur les hanches, poings fermés, pendant qu’ils ne dansent pas.
Les filles arrivent, avancent de 6 pas, et vont se placer en lignes vers l’avant. Puis bras en l’air et tournent sur elles-mêmes (8 temps).
Mettent une main sur la hanche et font un mouvement circulaire avec l’autre main, ensuite même opération en changeant de bras.
Se mettent sur le coté droit, les bras croisés vers l’avant et se mettent sur une jambe et changent, une jambe après l’autre (sorte de ciseaux), en mettant les le buste vers l’avant et les jambes en arrière. Se replacent face au public, tapent des pieds, chacune après l’autre et repartent coté jardin. Se placent à l’arrière de la scène en ligne, les mains sur les hanches.
Les garçons recommencent leurs mouvements de pied comme au début (talons/pointes en croisant et décroisant les jambes). Puis font le mouvement circulaire au sol.
Puis se retrouvent en tailleur au sol. Mouvement de la tête à droite, mouvement de la tête à gauche, un bras en avant, l’autre suit en avant, les paumes de mains sont bien droites en avant face au public. Puis les mains vers le torse et ils tendent les bras vers le ciel.
Ensuite, ils font la chandelle, sautent sur le coté et s’en vont côté cour.
Les filles les mains sur les hanches, puis les mains rassemblées vers l’avant devant le buste, puis ouverture des bras tendus vers le bas décollés du corps (V à l’envers). Les pieds joints en croisant et décroisant les jambes et croisant décroisant les bras (comptez les 8 temps).
Quand les filles sont arrivées sur le devant de la scène en lignes, jambes droites, mouvement au sol : pied droit vers l’intérieur, pied vers l’extérieur et le pied revient au milieu. La même chose avec le pied gauche et on revient joints au milieu. Les mains sont sur les hanches.
Attention ceci est des notes prises de manière approximative d’après les vidéos pour vous donner des repères… (bonne chance: les mouvements ne sont expliqués dans le détail)
Les garçons commencent les mains sur les hanches, puis pas sur le côté, en croisant les jambes, puis ils piquent le talon droit vers le sol. Changement de pied : droite / gauche. Puis saut à pieds joints.
Bras croisés décollés du ventre vers l’avant, une flexion vers le bas à droite, en tournant seulement les jambes. On remonte, une flexion vers le bas, à gauche, en écartant les bras vers le haut en remontant.
Tapent du pied 1,2 1,2,3. Les garçons restent bien droits, les mains sur les hanches, poings fermés, pendant qu’ils ne dansent pas.
Les filles arrivent, avancent de 6 pas, et vont se placer en lignes vers l’avant. Puis bras en l’air et tournent sur elles-mêmes (8 temps).
Mettent une main sur la hanche et font un mouvement circulaire avec l’autre main, ensuite même opération en changeant de bras.
Se mettent sur le coté droit, les bras croisés vers l’avant et se mettent sur une jambe et changent, une jambe après l’autre (sorte de ciseaux), en mettant les le buste vers l’avant et les jambes en arrière. Se replacent face au public, tapent des pieds, chacune après l’autre et repartent coté jardin. Se placent à l’arrière de la scène en ligne, les mains sur les hanches.
Les garçons recommencent leurs mouvements de pied comme au début (talons/pointes en croisant et décroisant les jambes). Puis font le mouvement circulaire au sol.
Puis se retrouvent en tailleur au sol. Mouvement de la tête à droite, mouvement de la tête à gauche, un bras en avant, l’autre suit en avant, les paumes de mains sont bien droites en avant face au public. Puis les mains vers le torse et ils tendent les bras vers le ciel.
Ensuite, ils font la chandelle, sautent sur le coté et s’en vont côté cour.
Les filles les mains sur les hanches, puis les mains rassemblées vers l’avant devant le buste, puis ouverture des bras tendus vers le bas décollés du corps (V à l’envers). Les pieds joints en croisant et décroisant les jambes et croisant décroisant les bras (comptez les 8 temps).
Quand les filles sont arrivées sur le devant de la scène en lignes, jambes droites, mouvement au sol : pied droit vers l’intérieur, pied vers l’extérieur et le pied revient au milieu. La même chose avec le pied gauche et on revient joints au milieu. Les mains sont sur les hanches.
vendredi 15 avril 2011
jeudi 14 avril 2011
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