jeudi 28 juin 2012
jeudi 7 juin 2012
lundi 21 mai 2012
« Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela par David Martin
« J'ai
lu « Un long chemin vers la liberté »de
Nelson Mandela, qui a été publié au édition Fayard.
Nelson
Mandela est un grand personnage politique Sud Africain qui a décidé d'écrire
son livre et seul livre « Un long chemin vers la liberté »en prison. Nelson
Mandela est né le 18 juillet 1914, dans un village en Afrique du Sud qui s'appelle
Mvezo. Nelson Mandela est issu d'une grande famille royale(les Thembus).A l'âge
de 9 ans il perd son père mort d'une tuberculose. Donc à partir de ce moment il
va être sépare de sa mère pour aller vivre dans un autre village où il va être
adopté dans une famille riche. En 1998 il devient président de la république de
l'Afrique du sud. Pour la suite de son autobiographie je vous laisse la découvrir
par vous même.
Dans
ce livre Nelson Mandela retrace son enfance, son emprisonnement pour avoir défendu
les droits des noirs Sud Africains, sa libération,
jusqu’au jour où il est devenu président.
Mon
opinion sur le livre c'est que Nelson Mandela est un personnage admirable, qu'il
a fait un très beau combat pour ses opinons mais c'est injuste qu'il ait du faire de la prison. C’est bien qu'il soit
devenu président de l'Afrique du Sud comme ça il a pu continuer à défendre ses droits.
David Martin
jeudi 17 mai 2012
"Le gone du Chaâba" d' Azouz Begag par Mylène Ebad
J'ai
lu "Le gone du Chaâba" écrit par Azouz Begag, publié aux éditions
Points virgule.
Ses parents, immigrés d'origine algérienne (Messaouda et Bouzid Begag),
se sont installés en France en 1949. Azouz Begag nait 8 ans plus tard (5
février 1957) à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon. Après avoir vécu 10
années à Villeurbanne, la famille déménage dans la cité de Duchère, toujours à
Lyon. Très jeune, Azouz Begag, se passionne par la littérature et à 6
ans il rêve déjà d'être professeur.
En 1967 il étudie au collège Saint-Exupéry de la Croix-Rousse. Du 2 juin
2005 au 5 avril 2007, il est Ministre délégué à la Promotion de l'égalité des
chances dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Plus tard, il quitte
cette fonction pour prendre une part active dans la campagne présidentielle de
François Bayrou. Après des études d'économie, il est aujourd'hui chercheur au
CNRS (Centre National de Recherche Scientifique) et exerce les fonctions de
spécialiste en socio-économie pour la Maison des Sciences Sociales de Lyon ; il
est aussi écrivain.
En
1986, il publie son premier roman "Le gone du Chaâba" qui a obtenu le
Prix sorcières et le Prix Bobigneries. Ensuite, il a été adapté au cinéma par
Christophe Ruggia en 1997. Depuis ce premier succès, Azouz Begag a publié une
trentaine de livres dont la plupart sont destinés à la jeunesse (l'immigré et
sa ville, béni ou le paradis privé, écarts d'identité, les voleurs d'écritures,
la ville des autres, la force du berger, les tireurs d'étoiles, le temps des
villages… Et bien d'autres encore).
Le gone du Chaâba est un roman
auto-biographique dont l’histoire se résume à une famille musulmane immigrée
dans les années 1970.
Le livre commence par la vie habituelle que
connaît le jeune Azouz qui a environ 12 ans. Sa famille et ses voisins vivent
dans la banlieue de Lyon nommé le Chaâba. Tous se contentent de peu mais tous se
déroule dans la joie et la bonne humeur. Tous les "gones" (enfants)
vont à l'école ou travaillent pour des commerçants au marché au prix de
quelques centimes par jour seulement. Azouz suit les cours de son école tous les jours, il veut être comme tous
les français, être reconnu comme un français, ne pas être différent mais
surtout bien travailler : viser la place du meilleur de la classe. Son père
ayant des problèmes avec la justice est contraint de déménager avec sa famille,
avec très peu d’argent…
La famille affronte une affreuse réalité :
quitter le Chaâba, le lieu d’enfance des petits, les habitudes de la famille,
l’attachement à cette banlieue ; comment va se passer cet atroce
départ ? La famille arrivera-t-elle a s’intégrer dans la société française ?
Mais surtout quel sera l’avenir du jeune Azouz dans une famille illettrée aux
traditions musulmanes bien ancrées ?
Ce livre m'a beaucoup plu, mais aussi il
m'a touché. J'ai passé des heures entières à me consacrer à cette lecture sans
pouvoir lâcher le livre tellement il m'absorbait. L'auteur raconte son histoire
avec une telle fluidité et facilité (alors que ce sont des situations difficiles)
que je ne pouvais m'arrêter de lire. Il a très bien retranscrit l'univers des
banlieues, le problème de l'immigration, l'intégration de la violence ou de la
pauvreté avec des mots simples mais percutants, c'est ce que j'ai adoré, qui
m'a captivé tout au long de l’histoire. Chaque personnage a un rôle bien à lui
et important, ce qui ne nous apporte pas toute l’attention sur Azouz, donc cela
devient plus attachant. Malgré cela, mon personnage préféré est bien Azouz ;
il montre tant de volonté à s’intégrer dans cette société qui le renie, il est
très attendrissant. Très jeune il arrive à faire la part des choses entre la
vie qu’il mène à la maison si différente de celle qui l’entoure en dehors, à
l’école. J’ai adoré !
mercredi 16 mai 2012
"Le temps des amours" de Marcel Pagnol par Willy Marie-Catherine 3°1
J'ai lu "le temps des amours" de Marcel Pagnol, publié aux éditions de Fallois.
Marcel
Pagnol était un écrivain, dramaturge et cinéaste du XXème siècle. Né en 1895 à Aubagne, mort en 1974, Marcel
Pagnol est l’aîné d'une famille de quatre enfants. Il eut une enfance
heureuse, précoce mais tranquille auprès de ses deux parents, Joseph
Pagnol, instituteur et Augustine Lansot, courturière. Lors de ses
examens boursiers, il finit second et il entre au Lycée de Thiers en
1905. En 1910, alors qu'il n'a que quinze ans, sa mère meut d'une
fragilité pulmonaire et deux ans plus tard, son père se remarie avec
Madelaine Jullien, alors que celle ci n'a que huit ans de plus que
Marcel. En 1913, à dix huit ans, il obtient son baccalauréat de
philosophie avec mention assez bien, il continuera ses études en allant
dans une université de lettres à Aix-en-Provence.
Ce
récit est autobiographique, il raconte les années de lycée de Marcel
Pagnol. Dans le premier chapitre, l'auteur nous dit qu'il a changé et
qu'il n'est plus autant portée sur sa famille qu'avant. Il nous dit
aussi qu'il a joué plusieurs personnage au cour de sa vie mais qu'il
n'avait pas envie que les siens entre dans son "Royaume" car il
craignait qu'ils ne puissent faire leur place. Ensuite il nous parle
d'une organisation secrète nommée "le Trèfle Rouge" dont il était chef
mais qui n'avait pas réellement de but. Puis il nous parle du moment où
il faillit perdre sa bourse à cause d'un professeur dont il était la
victime. Marcel décida de se venger de son professeur en utilisant le
jeu du pendu mais cela lui valu une retenu qui allait lui faire perdre
sa bourse. Mais il ne là perdit pas grâce à un ami nommé "Lagneau" qui
se dénonça a ça place car lui n'était pas boursier et les retenues
n'avait plus de secret pour lui.
Ce que je pense
Dans
ce livre mon personnage préféré est Monsieur Sylvain car je le trouve à
la fois bizarre et drôle car il a de nouvelle idées à propos du monde
qui sont originale mais qui semble vrai et si ses idées étaient vraie,
les basses sur lesquelles le monde a été construit serai fausse car il
parle D'Euclide, de Pasteur, de Dieu et de Newton. Grâce à ce livre, je
me suis demandé si les basse de notre monde était vraie et je me suis
demandé à quoi ressemblerait le monde sans les théories de chercheur
telle que Euclide, Pasteur? Newton et la présence de Dieu. Il se trouve
que le monde n'aurait aucun sens et que nous ferions des choses qui
n'auraient aucun sens.
Je
trouve que ce livre est bien construit qu'il ne manque rien mais je
pense que le chapitre neuf est de trop dans le livre car l'auteur passe
d'une rencontre avec un marins à la lutte pour échapper à la peste. Mais
ce chapitre mérite quand même d'être lu. Mais le reste de l'histoire
est vraiment intéressant et ce livre porte à réfléchir.
Willy MARIE-CATHERINE 3°1
mardi 15 mai 2012
« Escadrille 80 » de Roal Dahl par Charly Arthaud
J’ai lu « escadrille 80 » de Roald Dahl. Ce livre
est publié aux éditions Folio junior. Roald Dahl est un écrivain né en 1916 au Pays de Galles et mort d'une leucémie en 1990. Durant sa vie, il a écrit diverses œuvres : des romans pour
adultes ou enfants, ou même des recueils de nouvelles… Il eut une enfance
difficile : il perdit son
père (atteint d’une leucémie) et sa sœur de 17 ans (emporté par l’appendicite).
Sa scolarité fut répartie dans plusieurs écoles d’Angleterre. Ces années
passées parfois loin de sa famille influencèrent sa première
autobiographie : « Moi, boy ».
A 18 ans, il s’engage dans la
compagnie pétrolière Shell. A l’aube de la seconde Guerre Mondiale, il part en
Tanzanie pour son travail, il a alors 20ans. Lorsque la guerre éclate, il
s’engage dans la R.A.F. (Royal Air Force) pour combattre les forces de l’Axe. Durant
ces deux dernières aventures, il vécut beaucoup de moments exaltants dont il
nous fit part dans sa seconde autobiographie, celle que j’ai lue : .
Le début de son récit se passe dans le bateau qui l’emmène en
Tanzanie : le S.S. Mantola. Roald
Dahl nous raconte son voyage à bord de ce navire dans lequel se côtoient
beaucoup de personnages tous plus excentriques les uns que les autres…
Ce que j’en pense
Mon personnage préféré dans ce livre est Mdisho : cette personne que l’on suit au fil de plusieurs chapitres est très attachante. Je pense que c’est à cause de ses diverses opinions sur ce qui l’entoure. J’aime aussi le coté récit d’aventure que prend cette autobiographie : on n’a pas le temps de s’ennuyer. Le seul reproche que je peux cependant faire est celui de la perfection de Roald Dahl, en effet dans ce récit on ne lui trouve aucun défaut…
Mon personnage préféré dans ce livre est Mdisho : cette personne que l’on suit au fil de plusieurs chapitres est très attachante. Je pense que c’est à cause de ses diverses opinions sur ce qui l’entoure. J’aime aussi le coté récit d’aventure que prend cette autobiographie : on n’a pas le temps de s’ennuyer. Le seul reproche que je peux cependant faire est celui de la perfection de Roald Dahl, en effet dans ce récit on ne lui trouve aucun défaut…
lundi 14 mai 2012
On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson par Maëva Hessmann
J’ai lu « On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson, publié aux éditions de Fixot. C’est un genre dramatique sur le thème de l’amour. Barbara est née à Chartres, c’est un auteur français qui a été contaminée par le virus du SIDA à l'âge de 17 ans. Son livre à était adapté dans le téléfilm « Mes 17 ans ». Ce récit est évidement une autobiographie, il raconte l’histoire de Barbara , une adolescente qui explique sa première histoire d’amour qui va littéralement changé sa vie en 1992. C’est un témoignage de son drame pour qu’il soit évité à d’autre et que l’amour ne soit plus jamais porteur de mort.
Le livre commence par son arrivé dans un centre de repo, c’est la cadette d’une famille de trois enfants qui a des problèmes avec sa mère et classé anorexique. Tout de suite elle eu le coup de foudre pour ce garçon au balcon du centre. Par la suite elle fit sa connaissance avec beaucoup d’admiration pour lui. Dans le troisième chapitre elle dit enfin connaitre l’amour, chose qui ne lui était jamais arrivé. Ce garçon est plus âgé qu’elle et c’est un ex-toxico mais sa ne l’empêche pas de l’aimer et lui non plus. Très vite le centre ce rends compte qu’il se passe quelque chose entre eux et prends ce garçon, Antony, en flagrant délit dans le lit de Barbara un matin, chose qui était totalement interdit. Les patients du centre sans douté qu’ils étaient ensemble. Antony à était convoqué par la directrice qui lui a juste avertis de ne pas recommencé et lui a sûrement dit autre chose, sauf que cela Barbara n’étais pas encore au courant...
Mon personnage préféré est Soline, la sœur de Barbara car même si elle n’est pas souvent présente dans le récit, elle a sut dire les mots juste à Barbara vers la fin, elle a sut motivé Barbara qui en avait besoin et je pense que si elle n’avait pas fait le premier pas Barbara ne s’en serais surement jamais sorti seule.
Ce livre m’a vraiment fait réfléchir et réalisé que prendre « l’amour » à la légère a des vrais conséquences. Je me suis dit que finalement c’est très simple d’attrapé le virus du SIDA et que le mieux c’est d’évité cela. Je n’imaginé pas l’enfer que sa pouvait être avant de lire ce livre.
J’ai trouvé ce livre très bien, son histoire m’a beaucoup touché. Barbara est une adolescente donc son langage est simple, ce qui personnellement, rends ce livre plus rapide à lire. On comprend très bien se qu’elle a put ressentir, avec certains mots crus. Elle dit à la fin avoir témoigné au Sidaction en 1994 et je trouve sa bien car j’ai put allé le voir sur internet. Il vaut la peine d’être lu et il fait maintenant parti de mes livres préférés.
Maëva Hessmann
jeudi 10 mai 2012
« Vol de nuit » d’Antoine de Saint-Exupéry par Alexandre Polisset
On
m’a donné à lire une autobiographie, j’ai donc choisi « Vol de nuit »
d’Antoine de Saint-Exupéry qui est publié aux éditions Folio.
Antoine de Saint-Exupéry, écrivain
mais surtout aviateur est né le 29 Juin 1900 à Lyon et mort pendant la Seconde
Guerre mondiale le 31 Juillet 1944. Il appartient à la noblesse française mais
il perd son père très jeune. Il obtient son baccalauréat en 1917 alors que
c’est un élève peu brillant. Ensuite il rate son entrée à l’Ecole navale mais
en 1921 il devient pilote lors de son service militaire. En 1926 il rentre dans
Latécoère puis en 1929, il rejoint
l’Amérique du Sud où il publiera « Courriers du Sud » et « Vol
de nuit » en prenant comme modèle sa vie d’aviateur. Il va aux États-Unis
à l’armistice avec comme but de faire rentrer les Américains dans la guerre, il
rentre donc dans la résistance. Et enfin en 1944 il rejoint une unité chargée de reconnaissance
photographique pour le Débarquement de Provence. Il décède pendant une mission
le 31 Juillet 1944.
Mais
son plus grand succès restera « Le Petit Prince » qu’il publiera en
1943 à New York puis en France en 1945.
Dans les premiers chapitres de
« Vol de nuit », on voit Rivière, responsable du réseau aérien, et
Fabien, pilote de l’aéropostale. Rivière attend avec impatience l’arrivée du
pilote Fabien et de sa cargaison : le courrier de Patagonie. Car le but de
Rivière est de prouver que l’avion est plus rapide que le train pour
transporter le courrier mais pour cela il est obligé de faire voler les pilotes
de nuit malgré les risques qu’encourent ces derniers. C’est alors qu’un autre avion arrive et son pilote
explique à Rivière qu’il a rencontré un violent cyclone pendant le vol. Mais
peu de temps après, personne ne reçoit d’informations de Fabien, il est lui
aussi rentré dans le cyclone…
Ce
que j’en pense
Dans « Vol de nuit » le
personnage que j’ai préféré est Rivière. Lorsqu’il sanctionne un employé, ses
sentiments sont toujours partagés entre le devoir accompli et la pitié envers
la personne qu’il a puni. Mais pour se donner bonne conscience il se dit qu’il
n’a pas jugé la personne mais l’erreur que celle-ci à commise. C’est cette état
d’esprit qui m’a séduit chez Rivière.
Avec
« Vol de nuit », je me suis posé deux questions :
- Est- il juste de
sacrifier la vie de plusieurs hommes pour satisfaire la cause d’un seul ?
Et, comment
une personne est-elle capable de continuer à travailler avec indifférence alors
que quelqu’un est mort pour elle?
POLISSET Alexandre
mercredi 9 mai 2012
« Voyage à Pitchipoï » de Jean-Claude Moscovici par Gabrielle Pauvert
J’ai lu « Voyage à Pitchipoï » de
Jean-Claude Moscovici, édition l’école des loisirs, collection Médium.
Jean-Claude Moscovici est né en 1936 à Paris. Sa famille étant juive, elle a
été victime des lois antisémites propagées dans les pays occupés et des
persécutions envers les juifs pendant la deuxième guerre mondiale. Jean-Claude
Moscovici a exercé la pédiatrie à partir de 1972.
Ce livre est un livre
autobiographique, il raconte l’enfance de Jean-Claude Moscovici depuis sa vie
dans sa grande maison à la campagne,
jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. C’est le sort des juifs pendant
la deuxième guerre mondiale qui est raconté à travers cet exemple. L’auteur
nous racontes ce qu’il lui est arrivé en
nous montrant les choses de son point de vue pour nous montrer la peur que l’on
peut avoir dans ces cas là ou l’atrocité de ces choses («…et puis soudain à
nouveau ces voix et ces pas qui martelaient les escaliers, et à nouveau leur
présence, les faisceaux de lumière qui fouillaient les moindres recoins et les
violents coups de bottes qui faisaient vibrer le plancher, les coups de bottes
dans tout… jusqu’à ce qu’ils me touchent et que je crie. »).
Le livre commence par raconter la
vie de Jean-Claude Moscovici avant et pendant le début de la deuxième guerre
mondiale. Il a une vie tranquille. Il vit avec sa grande famille : ses grands
parents, ses parents et ses oncles. Mais un jour, des soldats allemands
viennent pour déporter son père et ses oncles dans des camps. Plus tard, quand
sa sœur a deux ans, les allemands viennent rechercher sa mère. Par miracle,
celle-ci réussi à s’enfuir. Jean-Claude Moscovici (qui a alors six ans) et sa
sœur sont confiés à des voisins jusqu'à ce qu’une loi interdise l’accueil
d’enfants juifs dans les familles françaises. Ils sont donc envoyés dans une
prison proche puis transférés au camp de Drancy. Il leur arrivera encore bien
des choses avant la fin de la guerre.
Mon personnage préféré est le
père de Jean-Claude Moscovici. Il a l’air attentionné, surtout envers les
enfants et il semble être le père parfait. Il n’apparaît que dans le début du
livre et il est très regretté par son fils après sa déportation. Il a essayé de
continuer à exercer son métier de médecin après les lois l’interdisant. Il
voulait aider les gens et c’est ce qui a entraîné sa déportation. Il est
courageux.
Ce livre nous montre l’horreur de
l’antisémitisme nazi et nous montre que nous sommes tous humain. Cet homme n’a
pas mérité ce qu’il lui est arrivé, tous comme les juifs, les tziganes,… qui
ont subi les horreurs nazis. Quand on y pense, n’importe qui d’entre nous
aurait pu subir ça si il faisait parti d’une minorité, religieuse ou autre et
qu’on voulait s’en débarrasser. On peut se demander se que ressentait les juifs
adultes quand ils étaient amenés dans les camps. S’avaient-ils vraiment où ils
étaient emmenés ? S’avaient-ils qu’ils allaient mourir pour la plupart ? Quels
étaient leurs sentiments ? Avaient-ils très peur ?
Et puis comment les soldats pouvait-ils faire ça, à des
enfants ? N’y en a t’ils pas qui se sont révoltés ? N’avaient-ils pas de
problème de conscience ?
Ce livre
est facile à lire et se lit très vite. Je trouve qu’il résume bien se qui se
passait pendant la deuxième guerre mondiale sous l’occupation allemande. Il apporte
un plus historique en plus de nous émouvoir. Le style d’écriture est pas mal.
Pauvert Gabrielle
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