jeudi 25 octobre 2012
lundi 22 octobre 2012
jeudi 18 octobre 2012
Les coulisses de Tâche 2 k'encre
Sinon... on commence l'année en p'tite équipe de rédaction alors si vous voulez nous rejoindre... c'est le lundi de 13h à 14h.
mardi 16 octobre 2012
Café philo sur la conservation du patrimoine

Avec une invitée : Virginie Tostain, animatrice du patrimoine historique de Châtellerault
lundi 15 octobre 2012
Le nouveau Tâche 2 k'encre est sorti !
Tâche 2 K'encre n°37 en PDF
C'est le premier numéro de l'année, de notre nouvelle équipe de rédaction où l'on retrouve des anciens et des nouvelles recrues... N’hésitez pas à venir nous rejoindre! !!!
C'est le premier numéro de l'année, de notre nouvelle équipe de rédaction où l'on retrouve des anciens et des nouvelles recrues... N’hésitez pas à venir nous rejoindre! !!!
jeudi 11 octobre 2012
vendredi 5 octobre 2012
Préparer sa pâte à modeler
à l'intérieur de ce numéro (page 20) vous trouvez la recette pour préparer tout seul avec de la farine de la pâte à modeler sans aucun danger pour la santé
vendredi 28 septembre 2012
C’est quoi être riche ? Compte-rendu
Premier café philo de
l’année, le débat n’a réuni que quelques élèves (info insuffisante). Pourtant, le débat a été
riche sur la question : « qu’est-ce qu’être riche ? »
Camille : « C’est posséder beaucoup
d’argent ».
Garçon 6ème : « Posséder beaucoup de
biens, de maisons, de terrains ».
Cléa : « Avoir une richesse d’esprit, être
ouvert, curieux intelligent ».
Camille : « C’est dépenser sans compter »
A partir de quand on
peut dire que quelqu’un est riche ?
Fiona : « Il
n’y a pas de palier, c’est relatif, c’est quand on ne se pose plus la question,
qu’on peut acheter sans limite. Moi, quand je fais les solde, j’ai une somme à
ne pas dépasser, si j’étais riche j’achèterai tout ce que je voudrais ».
Garçon 6ème : « Quand on a plus d’1 million ».
Fille 3ème : « Les riches, on les reconnait toute de suite : ils ont des
belles voitures, des vêtements chics… »
Fiona : « Il
y a des gens riches qui n’étalent pas
leurs richesses ».
Anouk : « Celui
qui est riche il n’a pas besoin de travailler, s’il est riche des ses
parent s».
Fille 3ème : « La
richesses ça dépend : ça peut être avoir accès à toutes les marchandises
ou c’est la qualité de vie : partir en vacances, ne pas travailler, avoir
une femme de ménage… ».
Fiona : « Il
y a des riches qui n’ont rien fait pour être riche, c’est arrivé comme ça, de
leur parents et ils dépensent de l’argent qu’ils n’ont pas gagné en
travaillant».
La richesse doit-elle
se mériter ?Est-ce qu’elle doit se transmettre ?
Fiona : « Hériter
c’est bien, ça facilite la vie mais il ne faut pas qu’il y ait trop d’argent. Mes
grands-parent,s ils n’ont jamais dépensé, ils ont toujours fait attention.
C’est normal que leurs enfants héritent».
Camille : « Il
y a des gens qui n’ont pas besoin d’argent parce qu’ils ont moins de besoin,
ils se contentent de peu ».
La richesse, est-ce
posséder de l’argent au delà de ses besoins ? A partir de quand on peut dire que quelqu’un est pauvre ?
Garçon 6ème : « Quand on ne peut plus payer ses factures, quand on peut se faire
prendre sa maison ».
Que pensez d’un homme
très riche qui part en Belgique pour payer moins d’impôts ?
Cléa : « Il
y en a qui en ont jamais assez ».
Anouk : «
Comme c’est la 4ème fortune, mondiale, peut-être qu’il veut garder
sa place, donc il ne veut pas partager
par esprit de compétition ? ».
Fiona : « Nos
parents qui gagnent moins, ils payent
leur impôts, donc lui aussi cet argent il le doit. Quand on a autant d’argent,
c’est forcément qu’on en a volé aux autres ».
Est-ce mérité plus
que les autres ?
Fille 3ème : « Il faut le mériter un
peu ».
Fiona : « Quand on gagne beaucoup d’argent, c’est
que son travail influence beaucoup la vie des gens ».
Thiphaine : « Mon grand-père était mineur, il
faisait un métier difficile physiquement, dangereux pour sa santé et il gagnait
moins que ma grand-mère qui était secrétaire ».
Fille 3ème : « Pour gagner beaucoup
d’argent, il faut avoir fait plus d’étude ».
Fiona : « PDG, il y en a moins que d’ouvriers,
c’est un métier plus rare ».
Si tout le monde
était au même niveau ?
Tiphaine : « Si quelqu’un ne fout rien, et qu’il a
la même chose que quelqu’un qui travaille c’est injuste ».
Jacques : « et si on laissait une place dans la
société à chacun, même aux rêveurs ? »
jeudi 27 septembre 2012
lundi 17 septembre 2012
Le café philo c'est reparti !
Quand Bernard Arnault, première fortune de France et quatrième fortune mondiale demande la nationalité belge, ce qui lui permettra de payer moins d’impôt, on se pose la question c'est quoi être riche ?
vendredi 14 septembre 2012
Le club presse reprend du service !
Venez nous rencontrez ou nous retrouver pour la première réunion de l'équipe de tâche 2 k'encre, lundi 17 septembre
jeudi 28 juin 2012
jeudi 7 juin 2012
lundi 21 mai 2012
« Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela par David Martin
« J'ai
lu « Un long chemin vers la liberté »de
Nelson Mandela, qui a été publié au édition Fayard.
Nelson
Mandela est un grand personnage politique Sud Africain qui a décidé d'écrire
son livre et seul livre « Un long chemin vers la liberté »en prison. Nelson
Mandela est né le 18 juillet 1914, dans un village en Afrique du Sud qui s'appelle
Mvezo. Nelson Mandela est issu d'une grande famille royale(les Thembus).A l'âge
de 9 ans il perd son père mort d'une tuberculose. Donc à partir de ce moment il
va être sépare de sa mère pour aller vivre dans un autre village où il va être
adopté dans une famille riche. En 1998 il devient président de la république de
l'Afrique du sud. Pour la suite de son autobiographie je vous laisse la découvrir
par vous même.
Dans
ce livre Nelson Mandela retrace son enfance, son emprisonnement pour avoir défendu
les droits des noirs Sud Africains, sa libération,
jusqu’au jour où il est devenu président.
Mon
opinion sur le livre c'est que Nelson Mandela est un personnage admirable, qu'il
a fait un très beau combat pour ses opinons mais c'est injuste qu'il ait du faire de la prison. C’est bien qu'il soit
devenu président de l'Afrique du Sud comme ça il a pu continuer à défendre ses droits.
David Martin
jeudi 17 mai 2012
"Le gone du Chaâba" d' Azouz Begag par Mylène Ebad
J'ai
lu "Le gone du Chaâba" écrit par Azouz Begag, publié aux éditions
Points virgule.
Ses parents, immigrés d'origine algérienne (Messaouda et Bouzid Begag),
se sont installés en France en 1949. Azouz Begag nait 8 ans plus tard (5
février 1957) à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon. Après avoir vécu 10
années à Villeurbanne, la famille déménage dans la cité de Duchère, toujours à
Lyon. Très jeune, Azouz Begag, se passionne par la littérature et à 6
ans il rêve déjà d'être professeur.
En 1967 il étudie au collège Saint-Exupéry de la Croix-Rousse. Du 2 juin
2005 au 5 avril 2007, il est Ministre délégué à la Promotion de l'égalité des
chances dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Plus tard, il quitte
cette fonction pour prendre une part active dans la campagne présidentielle de
François Bayrou. Après des études d'économie, il est aujourd'hui chercheur au
CNRS (Centre National de Recherche Scientifique) et exerce les fonctions de
spécialiste en socio-économie pour la Maison des Sciences Sociales de Lyon ; il
est aussi écrivain.
En
1986, il publie son premier roman "Le gone du Chaâba" qui a obtenu le
Prix sorcières et le Prix Bobigneries. Ensuite, il a été adapté au cinéma par
Christophe Ruggia en 1997. Depuis ce premier succès, Azouz Begag a publié une
trentaine de livres dont la plupart sont destinés à la jeunesse (l'immigré et
sa ville, béni ou le paradis privé, écarts d'identité, les voleurs d'écritures,
la ville des autres, la force du berger, les tireurs d'étoiles, le temps des
villages… Et bien d'autres encore).
Le gone du Chaâba est un roman
auto-biographique dont l’histoire se résume à une famille musulmane immigrée
dans les années 1970.
Le livre commence par la vie habituelle que
connaît le jeune Azouz qui a environ 12 ans. Sa famille et ses voisins vivent
dans la banlieue de Lyon nommé le Chaâba. Tous se contentent de peu mais tous se
déroule dans la joie et la bonne humeur. Tous les "gones" (enfants)
vont à l'école ou travaillent pour des commerçants au marché au prix de
quelques centimes par jour seulement. Azouz suit les cours de son école tous les jours, il veut être comme tous
les français, être reconnu comme un français, ne pas être différent mais
surtout bien travailler : viser la place du meilleur de la classe. Son père
ayant des problèmes avec la justice est contraint de déménager avec sa famille,
avec très peu d’argent…
La famille affronte une affreuse réalité :
quitter le Chaâba, le lieu d’enfance des petits, les habitudes de la famille,
l’attachement à cette banlieue ; comment va se passer cet atroce
départ ? La famille arrivera-t-elle a s’intégrer dans la société française ?
Mais surtout quel sera l’avenir du jeune Azouz dans une famille illettrée aux
traditions musulmanes bien ancrées ?
Ce livre m'a beaucoup plu, mais aussi il
m'a touché. J'ai passé des heures entières à me consacrer à cette lecture sans
pouvoir lâcher le livre tellement il m'absorbait. L'auteur raconte son histoire
avec une telle fluidité et facilité (alors que ce sont des situations difficiles)
que je ne pouvais m'arrêter de lire. Il a très bien retranscrit l'univers des
banlieues, le problème de l'immigration, l'intégration de la violence ou de la
pauvreté avec des mots simples mais percutants, c'est ce que j'ai adoré, qui
m'a captivé tout au long de l’histoire. Chaque personnage a un rôle bien à lui
et important, ce qui ne nous apporte pas toute l’attention sur Azouz, donc cela
devient plus attachant. Malgré cela, mon personnage préféré est bien Azouz ;
il montre tant de volonté à s’intégrer dans cette société qui le renie, il est
très attendrissant. Très jeune il arrive à faire la part des choses entre la
vie qu’il mène à la maison si différente de celle qui l’entoure en dehors, à
l’école. J’ai adoré !
mercredi 16 mai 2012
"Le temps des amours" de Marcel Pagnol par Willy Marie-Catherine 3°1
J'ai lu "le temps des amours" de Marcel Pagnol, publié aux éditions de Fallois.
Marcel
Pagnol était un écrivain, dramaturge et cinéaste du XXème siècle. Né en 1895 à Aubagne, mort en 1974, Marcel
Pagnol est l’aîné d'une famille de quatre enfants. Il eut une enfance
heureuse, précoce mais tranquille auprès de ses deux parents, Joseph
Pagnol, instituteur et Augustine Lansot, courturière. Lors de ses
examens boursiers, il finit second et il entre au Lycée de Thiers en
1905. En 1910, alors qu'il n'a que quinze ans, sa mère meut d'une
fragilité pulmonaire et deux ans plus tard, son père se remarie avec
Madelaine Jullien, alors que celle ci n'a que huit ans de plus que
Marcel. En 1913, à dix huit ans, il obtient son baccalauréat de
philosophie avec mention assez bien, il continuera ses études en allant
dans une université de lettres à Aix-en-Provence.
Ce
récit est autobiographique, il raconte les années de lycée de Marcel
Pagnol. Dans le premier chapitre, l'auteur nous dit qu'il a changé et
qu'il n'est plus autant portée sur sa famille qu'avant. Il nous dit
aussi qu'il a joué plusieurs personnage au cour de sa vie mais qu'il
n'avait pas envie que les siens entre dans son "Royaume" car il
craignait qu'ils ne puissent faire leur place. Ensuite il nous parle
d'une organisation secrète nommée "le Trèfle Rouge" dont il était chef
mais qui n'avait pas réellement de but. Puis il nous parle du moment où
il faillit perdre sa bourse à cause d'un professeur dont il était la
victime. Marcel décida de se venger de son professeur en utilisant le
jeu du pendu mais cela lui valu une retenu qui allait lui faire perdre
sa bourse. Mais il ne là perdit pas grâce à un ami nommé "Lagneau" qui
se dénonça a ça place car lui n'était pas boursier et les retenues
n'avait plus de secret pour lui.
Ce que je pense
Dans
ce livre mon personnage préféré est Monsieur Sylvain car je le trouve à
la fois bizarre et drôle car il a de nouvelle idées à propos du monde
qui sont originale mais qui semble vrai et si ses idées étaient vraie,
les basses sur lesquelles le monde a été construit serai fausse car il
parle D'Euclide, de Pasteur, de Dieu et de Newton. Grâce à ce livre, je
me suis demandé si les basse de notre monde était vraie et je me suis
demandé à quoi ressemblerait le monde sans les théories de chercheur
telle que Euclide, Pasteur? Newton et la présence de Dieu. Il se trouve
que le monde n'aurait aucun sens et que nous ferions des choses qui
n'auraient aucun sens.
Je
trouve que ce livre est bien construit qu'il ne manque rien mais je
pense que le chapitre neuf est de trop dans le livre car l'auteur passe
d'une rencontre avec un marins à la lutte pour échapper à la peste. Mais
ce chapitre mérite quand même d'être lu. Mais le reste de l'histoire
est vraiment intéressant et ce livre porte à réfléchir.
Willy MARIE-CATHERINE 3°1
mardi 15 mai 2012
« Escadrille 80 » de Roal Dahl par Charly Arthaud
J’ai lu « escadrille 80 » de Roald Dahl. Ce livre
est publié aux éditions Folio junior. Roald Dahl est un écrivain né en 1916 au Pays de Galles et mort d'une leucémie en 1990. Durant sa vie, il a écrit diverses œuvres : des romans pour
adultes ou enfants, ou même des recueils de nouvelles… Il eut une enfance
difficile : il perdit son
père (atteint d’une leucémie) et sa sœur de 17 ans (emporté par l’appendicite).
Sa scolarité fut répartie dans plusieurs écoles d’Angleterre. Ces années
passées parfois loin de sa famille influencèrent sa première
autobiographie : « Moi, boy ».
A 18 ans, il s’engage dans la
compagnie pétrolière Shell. A l’aube de la seconde Guerre Mondiale, il part en
Tanzanie pour son travail, il a alors 20ans. Lorsque la guerre éclate, il
s’engage dans la R.A.F. (Royal Air Force) pour combattre les forces de l’Axe. Durant
ces deux dernières aventures, il vécut beaucoup de moments exaltants dont il
nous fit part dans sa seconde autobiographie, celle que j’ai lue : .
Le début de son récit se passe dans le bateau qui l’emmène en
Tanzanie : le S.S. Mantola. Roald
Dahl nous raconte son voyage à bord de ce navire dans lequel se côtoient
beaucoup de personnages tous plus excentriques les uns que les autres…
Ce que j’en pense
Mon personnage préféré dans ce livre est Mdisho : cette personne que l’on suit au fil de plusieurs chapitres est très attachante. Je pense que c’est à cause de ses diverses opinions sur ce qui l’entoure. J’aime aussi le coté récit d’aventure que prend cette autobiographie : on n’a pas le temps de s’ennuyer. Le seul reproche que je peux cependant faire est celui de la perfection de Roald Dahl, en effet dans ce récit on ne lui trouve aucun défaut…
Mon personnage préféré dans ce livre est Mdisho : cette personne que l’on suit au fil de plusieurs chapitres est très attachante. Je pense que c’est à cause de ses diverses opinions sur ce qui l’entoure. J’aime aussi le coté récit d’aventure que prend cette autobiographie : on n’a pas le temps de s’ennuyer. Le seul reproche que je peux cependant faire est celui de la perfection de Roald Dahl, en effet dans ce récit on ne lui trouve aucun défaut…
lundi 14 mai 2012
On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson par Maëva Hessmann
J’ai lu « On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson, publié aux éditions de Fixot. C’est un genre dramatique sur le thème de l’amour. Barbara est née à Chartres, c’est un auteur français qui a été contaminée par le virus du SIDA à l'âge de 17 ans. Son livre à était adapté dans le téléfilm « Mes 17 ans ». Ce récit est évidement une autobiographie, il raconte l’histoire de Barbara , une adolescente qui explique sa première histoire d’amour qui va littéralement changé sa vie en 1992. C’est un témoignage de son drame pour qu’il soit évité à d’autre et que l’amour ne soit plus jamais porteur de mort.
Le livre commence par son arrivé dans un centre de repo, c’est la cadette d’une famille de trois enfants qui a des problèmes avec sa mère et classé anorexique. Tout de suite elle eu le coup de foudre pour ce garçon au balcon du centre. Par la suite elle fit sa connaissance avec beaucoup d’admiration pour lui. Dans le troisième chapitre elle dit enfin connaitre l’amour, chose qui ne lui était jamais arrivé. Ce garçon est plus âgé qu’elle et c’est un ex-toxico mais sa ne l’empêche pas de l’aimer et lui non plus. Très vite le centre ce rends compte qu’il se passe quelque chose entre eux et prends ce garçon, Antony, en flagrant délit dans le lit de Barbara un matin, chose qui était totalement interdit. Les patients du centre sans douté qu’ils étaient ensemble. Antony à était convoqué par la directrice qui lui a juste avertis de ne pas recommencé et lui a sûrement dit autre chose, sauf que cela Barbara n’étais pas encore au courant...
Mon personnage préféré est Soline, la sœur de Barbara car même si elle n’est pas souvent présente dans le récit, elle a sut dire les mots juste à Barbara vers la fin, elle a sut motivé Barbara qui en avait besoin et je pense que si elle n’avait pas fait le premier pas Barbara ne s’en serais surement jamais sorti seule.
Ce livre m’a vraiment fait réfléchir et réalisé que prendre « l’amour » à la légère a des vrais conséquences. Je me suis dit que finalement c’est très simple d’attrapé le virus du SIDA et que le mieux c’est d’évité cela. Je n’imaginé pas l’enfer que sa pouvait être avant de lire ce livre.
J’ai trouvé ce livre très bien, son histoire m’a beaucoup touché. Barbara est une adolescente donc son langage est simple, ce qui personnellement, rends ce livre plus rapide à lire. On comprend très bien se qu’elle a put ressentir, avec certains mots crus. Elle dit à la fin avoir témoigné au Sidaction en 1994 et je trouve sa bien car j’ai put allé le voir sur internet. Il vaut la peine d’être lu et il fait maintenant parti de mes livres préférés.
Maëva Hessmann
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