jeudi 27 décembre 2012

35 Kilos d'Espoir, Anna Gavalda

Anna GAVALDA est née le 09 Décembre 1970 à Boulogne-Billancourt. Elle est issue d'une famille bourgeoise de 4 enfants. A quinze ans, elle est envoyée dans une école catholique, puis elle ira à la Sorbonne ou elle obtiendra une maîtrise de lettres modernes. Son goût pour la lecture et l'écriture la couronnera lauréate en 1992 pour la plus lettre d'amour. Elle tentera par la suite de se faire publier; "Le Dilettante", petit éditeur, lui donnera sa chance.

Trois de ses livres
Nouvelles à chute, Edition Magnard, 2004 ; Ensemble c'est tout, Edition Le Dilettante, 2004 (C'est l'histoire de 4 personnages qui vivent sous le même toit, et qui n'ont rien en commun.) ; La Consolante, Edition Le Dilettante, 2008 (C'est l'histoire d'un homme qui apprend la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant. Cela fait ressurgir en lui des tas de souvenirs).

Résumé        
Grégoire a 13 ans et il n'aime pas l'école. Il se souvient pourtant qu'il a aimé sa dernière année de maternelle, et surtout la maîtresse Marie. Avec elle, il pouvait créer, fabriquer, inventer, et ça lui plaisait beaucoup. Il  pèse 35 kg , il n'aime pas l'école et préfère fabriquer des choses avec ses mains. C'est pourquoi il aime passer du temps avec son grand-père Léon pendant que ses parents travaillent. J'aime bien ce personnage car il est drôle, et il est aimé par ses copains.
Critique 
J'ai aimé lire ce livre car il était drôle,  je voulais toujours savoir la suite, et il se termine bien. Les défauts: J'aurais aimé qu'il y ait des images pour illustrer le roman. Les qualités: C'est un roman facile à lire car les caractères sont assez gros, et les pages aérées. Il se lit donc vite. Le passage intéressant c'est lorsque Grégoire décrit le cabanon de son grand-père Léon, et pourquoi il aime y aller.
On comprend que ce cagibi c'est là où il se sent le mieux. Il dit: "le cagibi de mon grand-Léon, c'est toute ma vie". Dans la vie de tous les jours, c'est sa bulle d'oxygène. 
Théo Richard

Le journal Sans Faim de Marie et Roselyne Bertin


Biographie de Roselyne Bertin Roselyne Bertin est née à Marseille en 1947, elle a fait ses études secondaires dans le lycée Michelet à Marseille puis ses études supérieures à l’université d’Aix-en-Provence avant de devenir professeur de français. Roselyne Bertin est mariée et a une fille qui elle aussi devenu professeur de français en collège. Elle est passionné de théâtre, de lecture et le cinéma. Roselyne Bertin a réalisé Le journal sans faim(mon livre) ,La sylve profonde et lettre à Cécile  et bien d’autres encore.
Résumé C’est l’histoire d’une jeune fille qui a 14 ans. Elle s’appelle Elise .Elle pèse 62 kg , Elise décide alors de faire disparaître son surnom de « boudin » pendant les grandes vacances avant d’aller au lycée. Et c’est à partir de là que tout commence. Cette parole va changer sa vie : « je me mets au régime ! » « Est-ce parce que mes parents sont restaurateurs que je suis grosse ?». C’est la question qu’Elise va se poser.  Le personnage que je préfère  est Caroline » qui propose à Elise si elle veut partir à la piscine avec elle. Elle est grande, mince… Je l’ai choisie parce  qu’elle est gentille avec Elise. Elle ne fait pas de différence entre la beauté intérieure et la beauté extérieure.
Une critique J’ai bien aimé ce livre car l’histoire d’Elise que nous  raconte Roselyne Bertin dans « le journal sans faim » est intéressante. J’ai choisi un passage :  « D’abord, je n’ai pas mangé entièrement mon pique-nique que m’avait préparé maman. J’ai croqué ma tomate avec du sel mais sans mayonnaise, je n’ai pas touché aux chips et je n’ai mangé  que la moitié de mon sandwich jambon beurre cornichon. » J’aime bien ce passage de ce livre puisqu’Elise a fait des efforts pour aller au bout de son projet.
Pauline Baert,  6°1

ANNA GAVALDA , 35 kilos d’espoir


Biographie:  Anna Gavalda est romancière. Elle est née le 9 décembre 1970  en France à Boulogne-Billancourt. Son père vend des systèmes informatiques et sa mère dessine des foulards. Elle débute comme professeur de français. Elle a écrit 3 livres très appréciés: « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » pour lequel elle reçoit le grand prix RTL-LIRE en 2000, « Je l’aimais » et « Ensemble c’est tout ». En ce moment elle vit à Melun avec ses deux enfants.
Les 3 livres: Le livre « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » est un recueil de douze nouvelles, il est traduit en 27 langues et il est vendu à 1 885 000 exemplaires. Le roman « Je l’aimais »  est vendu à 1 259 000 exemplaires. Il parle d’une histoire d’une personne qui est parti s’en prévenir. Et le 3ème s’appelle « Ensemble c’est tout » est une histoire d’amour entre 4 personnes. Il est vendu à 2 040 000 exemplaires.
Résumé de 35 Kilos d’Espoir : Grégoire est un enfant qui déteste l’école. Il ne sait faire qu’une chose, c’est inventer des machines. Ses parents sont souvent fâchés à cause de ses mauvaises notes au collège. Grégoire n’aime qu’une chose, c’est le cabanon de son grand-père Léon qu‘il retrouve pour discuter.
Le personnage: Le personnage que j’ai choisi s’appelle Grégoire. C’est un enfant qui déteste l’école. Pour les autres, il a beaucoup d’humour. Il a 13 ans, il a redoublé 2 fois le CM2 et 2 fois la 6ème. C’est un enfant qui a beaucoup d’idées pour inventer des machines mais il a des mauvaises notes dans toutes les matières. Il est grand et mince,  avec des cheveux courts et bruns. Ses habitudes sont d’aller dans sa chambre et de jouer aux légos en revenant de l’école. Il n’a pas beaucoup de lien avec les autres car il est mauvais élève. Il n’a pas souvent le moral.
J’ai choisi ce personnage car c’est le héros de l’histoire, il est très spécial et il joue encore à des jeux de petit garçon.
La critique: J’ai aimé ce livre car ce n’était pas compliqué mais intéressant à la fois car l’auteur montre que l’on peut être « nul » dans certaines matières mais avoir beaucoup d’imagination. Je n’ai pas aimé certains passages de ce roman car parfois c’est répétitif et un peu mou. Ses qualités sont qu’il est agréable à lire et sa lecture est facile. Son défaut est qu’il est un peu lassant à certains passages.
Passage choisi: «J’étais en caleçon, j’ai descendu les quatre étages en courant. Je pleurais déjà comme un bébé. Il était là, devant la porte du réfectoire, avec un mec en blouse blanche à côté de lui.  Le mec tenait le machin de la perfusion, et mon grand -Léon me souriait. »
J’ai choisi ce passage car il est touchant et donne espoir à Grégoire qui tient à son grand-père.
Marie Sornique  6ème1

Faucon Malté (par Anthony Horowitz)

Résumé    
Chapitre 1 : Un nain nommé Johnny Naples déposa un paquet dans le bureau de Tim Diamant, et lui demanda de le garder au péril de sa vie. Tout d’un coup, une voiture pétarada dans la rue et le nain fut horrifié. Il donna à Tim 100 livres et lui en donnerait 100 supplémentaires, s’il venait chercher le paquet une semaine plus tard.
Chapitre 2 : Les deux frères, Herbert et Nick, dépensèrent les 100 livres en une demi-journée : restaurant, ballade et cinéma. Nick expliqua ses difficultés financières à Londres et le vandalisme causé par des bandits qui recherchaient le paquet caché dans leur appartement.
Chapitre 3 : Le lendemain matin, Nick découvrit deux lettres dont une était timbrée. Cette dernière était la lettre de leur mère et l’autre d’un grand gangster : Le Gros. Il leur donna rendez-vous à Trafalgar Square. Il voulait le paquet…
Biographie de l'auteur
Nom: Horowitz
Prénom: Anthony
Naissance:5 Avril 1956(âge:56 ans)
Eléments intéressants de sa vie: Il a été récompensé par le Prix Polar-Jeunesse en 1988 pour Le Faucon Malté mais aussi récompensé pour le prix européen du roman pour enfants pour l'Île du Crâne en 1993 ainsi que le Grand Prix des lecteurs du Magazine Je bouquine pour :"Devine qui vient tuer?" en 1994.

Trois titres de ces romans
l'Île du Crâne, livre dont le héros est Daniel Elliot et qui raconte l'histoire de trois collégiens qui se sont mal comportés et qui sont envoyés dans un collège étrange: Groosham Grange. Apparemment, il semblerait qu'il y ait de la magie dans l'enceinte du collège...

Maudit Graal: Ce roman est la suite de l'Île du Crâne. David a grandi et est devenu un sorcier. Groosham Grange organise un concours pour déterminer qui est le plus grand sorcier de l'école. Mais le Graal et un peu comme le sang de Groosham Grange car sans lui, l’école n'est rien et le Graal est en danger par la cause des ministres... 

Ennemi Public n°2:Après avoir partagé la cellule de l'ennemi n°1,la vie du jeune Nick Diamant bascule. Une fois sorti de prison, il devient à son tour l'ennemi public n°2 et il est successivement menacé, pourchassé, frappé, ligoté sur des rails, à moitié noyé...
Ce que j'en pense 
Le personnage que j’ai préféré dans la Faucon Malté est Nick Diamant, 13 ans. Il va tout le temps au bout des enquêtes contrairement à son frère qui a quinze ans de plus et qui a moins de courage que Nick. Nick est souvent mal vu aux yeux de ses ennemis.

J'ai bien aimé le Faucon Malté car il y a de l'action, des enquêtes, des coups de feu comme un vrai policier...Ce roman est superbement bien écrit et je le recommande fortement aux lecteurs du C.D.I.

Le passage intéressant que j'ai choisi: « Cela se déroule au cimetière de Londres pour l'enterrement du Faucon(Mr Falkenbërg) car on y retrouve Le Gros qui dit aux deux frères Diamant qui leur restent deux jours pour lui rendre le paquet et donc c'est pour cela que j'ai adoré cette scène. »
Maxance Cornuau

« UN CHEVAL POUR LA VIE », Didier Langlois

Chargé de cours dans les universités lyonnaises, Didier Langlois partage son temps entre l’enseignement et l’écriture. Après une incursion dans le multimédia où il conçoit le cd-rom Madame Bovary, il revient à l’écriture de nouvelles avec un recueil intitulé Les chevaux de Lagoda (Agandid éditeur). Il voue une passion à Gustave Flaubert. Il a écrit aussi La griffe du tigre, grâce auquel on retrouve six histoires d’arts martiaux.
Résumé
En Russie, dans un petit village entre Saint Pétersbourg et le lac Ladoga, tout près de la Neva, vit une famille connue et très respectée, les Ostrapov. Ils possèdent l’un des plus beaux haras du monde. Ils ont repéré et acheté des purs sangs arabes. Au XVIII ème siècle, personne ne voulait de ces chevaux car ce n’était pas la mode d’en faire l’élevage. Un jour, Yvan et Natacha Ostrapov furent les heureux propriétaires du haras renommé. Ils avaient une fille unique Bourka qui allait avoir dix ans. Elle voulait un cheval à la robe blanche, mais ses parents lui avaient dit « à partir de dix ans ». Quand elle eut dix ans, ses parents lui offrirent donc un magnifique cheval blanc qui avait une étoile blanche. Elle appela son cheval SIVKA.

J’ai  choisi Bourka comme personnage préféré. Elle est blonde, elle a dix ans. C’est une battante, elle veut gagner des coupes, elle est gentille. Elle monte presque tout le temps, elle fait des concours. Elle se sent bien avec les autres surtout avec ses parents. Elle va à l’école, elle fait bonne impression sur les autres. Je l’ai choisie car je suis un peu comme elle, j’adore les chevaux et je les monte.

J’ai aimé ce livre car il parle de chevaux, l’histoire n’est pas trop longue, il y a du mystère etc. Mon passage préféré : « On peut dire que je t’ai attendu, Sivka, lui murmura-t-elle au creux de l’oreille. » Je l’ai choisi car j’ai été émue et à la fois contente.
Chloé Benaitier