samedi 25 mai 2013

lien : photos filage 6e1

Cliquer sur le lien si-dessous pour voir les photos
Photos du filage

Filage danse 1 spectacle 6ème1

mardi 21 mai 2013

Café philo sur la médiation

vendredi 3 mai 2013

Quelques notes sur le café philo sur le harcèlement



Comment définir le harcèlement ?
Thiphaine : « C’est quand on s’acharne sur quelqu’un, de manière répétée, ça peut être moral ou physique »
Axelle : « Je connais une fille, qui s’est fait harceler par mail et par téléphone ».
Jeanne : «Les blagues sur les blondes, c’est une sorte de harcèlement, quand on l’entend tous les jours. Pour ceux qui les font, c’est de l’humour mais pour nous, ça devient du harcèlement ».
Jeanne : « J’ai une amie un peu forte, elle ne vient presque plus au collège parce à chaque fois, elle doit affronter les blagues sur son poids ». 

On a pu déterminer plusieurs domaines de harcèlement au collège : la couleur des cheveux (les roux par exemple), la taille (trop gros, trop petit), la difficulté scolaire ou quelqu’un qui travaille très bien. 

Pourquoi on désigne une victime ?
Sarah : «On a tous des défauts, en appuyant sur les défauts  plus voyants d’autres personnes, on  oublie un peu ses propres défauts ».
Brian : « C’est une manière de se sentir supérieur, en écrasant les autres ».
Jeanne : « Quand on est soi-même harcelé, on peut harceler les autres pour se venger ».
Séverine : « On essaie de se socialiser, en faisant rire ses camarades aux  dépends d’un autre ».
Garçon 3ème : « souvent on ne réfléchit pas vraiment, on fait comme les autres ».
Fille : « Le harcelé peut développer un comportement antipathique, et sera encore plus rejeté par les autres ». 

Est- ce que les réseaux sociaux favorisent le harcèlement ?
Jacques : « Le harcèlement peut continuer même après l’école »…
Tiphaine : « Le nouveau phénomène  Ask, où l’on pose des questions sur les gens (…)». 

La notion de bouc émissaire ?
« La notion de bouc émissaire peut également se développer dans le champ de la vie politique dans les période de crises quand les gens souffrent, comme les juifs avec le nazisme par exemple, ou les musulmans avec le Front national ».
L’école est aussi peut-être un milieu violent, difficile à vivre,  où on a besoin de décharger ses frustrations sur les autres.
Séverine : « De plus quand on harcèle un personne en groupe, notre responsabilité est diluée, on se sent moins responsable des conséquences qui pourrait apparaitre de cet harcèlement ».

lundi 29 avril 2013

Café philo sur le harcèlement

vendredi 19 avril 2013

Splash n°2 en ligne

splash n°2 by Jacques Arfeuillère

jeudi 11 avril 2013

Journée de la presse au collège Descartes
















jeudi 4 avril 2013

Café philo exceptionnel avec des membres de l'UNICEF !

dimanche 31 mars 2013

Concours de Une 2013




vendredi 22 mars 2013

Musique de Taraf Borzo


Lien vers la musique de Taraf Borzo : Moldave 3

Bubamara - Goran Bregovic Musique pour s'entrainer pour le spectacle des 6e1

dimanche 10 mars 2013

Tâche de K'encre n°41

Tache 2 K-Encre 41 by Silence Noir

mercredi 20 février 2013

Splash n°1 en ligne

splash n°1 web(1) by Jacques Arfeuillère

dimanche 3 février 2013

Tâche 2 k'encre n°40, février 2013

Tache 2 K-Encre 40 Web by Silence Noir

jeudi 10 janvier 2013

Débat au café philo sur l'Egalité : partout, pour tous ?

vendredi 28 décembre 2012

LA COULEUR DU NOIR, Dider Daeninckx



L'auteur se nomme Didier Daeninckx , il est né le 27 AVRIL 1949 à Saint-Denis , dans la régions parisienne. Il vient d'une famille modeste. Il prend le parti d'orienter son œuvre vers une critique sociale et politique au travers de laquelle il aborde certains dossiers du moment (la politique des charters, le révisionnisme , etc. ) et d'autres d'un passé parfois oublié ( le massacre des Algériens à Paris le 17 OCTOBRE 1961 ). Didier Daeninckx s'est engagé à de multiples reprises dans les polémiques médiatiques qui lui ont valu les critiques de plusieurs écrivains et journalistes. En 1982   : Mort au premier tour. En 1984 : Meurtres pour mémoires .
En 1986 : La Fête des mères.

Résumé  : Cette histoire est basée sur un roman policier, il y a eu un meurtre dans une maison de la rue Célestin Lanuère. C'est la concierge du bâtiment qui a prévenu la police, la victime s'appelle Victor Granic, le patron d'Intérieur Noir.  3 manuscrits ont été volés . Rancune d'un auteur refusé ?  

Le commissaire Shwartz : handicapé à cause d'une balle tiré dans sa colonne vertébrale. Il est  gentil, dépressif, attentif. Il a l'habitude de consoler les personnes quand ça va pas.

J'ai aimé ce livre car j'aime les romans policiers, les objets dont ils se servent pour travailler comme les armes, leurs cartes de police etc.  J’aime le suspense.
"Un type au bout du rouleau s'était claquemuré dans une banque,   près de la porte Dorée, avec deux caissières comme otages. On  pensait en avoir pris la mesure, et Shwartz avec franchi le SAS sans son arme.»
J'ai choisi ce moment pour montrer que Shwartz est courageux, prêt à risquer sa vie pour n'importe qui.
Arthur Bouchet

La rencontre, Eckert Allan Wesley

Allan W. Eckert est né le 30 janvier 1931 à Buffalo dans l'État de New York. Il étudie à l’université de Dayton et de l’Ohio. Le jeune homme se nourrit de ce que lui fournit la terre et étudie la vie sauvage. Il commence à écrire sur la nature et l'histoire américaine à l'âge de treize ans ; il devient l'auteur de nombreux livres populaires pour adultes et enfants. Sept de ses livres furent nommés pour le prix Pulitzer. En plus de ses romans, Allan W. Eckert écrit également plusieurs scénarios pour la télévision et plus de 225 épisodes de la série télévisée Mutual of Omaha's Wild Kingdom . En 1999, la Ohioana Library Association lui attribue le titre de Favorite Ohio Writer of All Time, auteur favori de l'Ohio de tous les temps. Allan W. Eckert meurt le 7 juillet 2011 à 80 ans.
Autres livres écrits par Allan W.Eckert
-Les voix du sang – Edition Saular -  publié en 1970, Roman historique littérature sentimentale
-Wild Season – Edition Landfall Press - publié en1969, Histoire sur la nature non traduit en français
-La colline du faucon-  publié en 1975

Résumé de La Rencontre
Epoque : années 1870 ; Lieu : Etats-Unis - Etat du DACOTA près de la ville de Winnipeg. Les personnages : Un jeune couple, William Macdonald et son épouse Esther quittent Toronto (Canada) pour s’installer sur des terres et y créer une ferme : ce sont des Pionniers. Ils ont 4 enfants : John  16ans, Beth 12 ans, Coral 9 ans et Benjamin, le héros de l’histoire 6 ans. Ben est timide, parle peu, mais il approche les animaux sauvages et les imite ; il ne les craint pas, comme le chien féroce du voisin. Ben se promène souvent seul dans la nature, observe les animaux et rencontre un jour une femelle blaireau. Le voisin de la famille pose des pièges et finit par attraper et tuer un blaireau mâle. Il le rapporte chez les Macdonald. Ben est triste et furieux de ce « meurtre ». Pendant ce temps, la femelle blaireau est gravement blessée par un piège. Se libérant, elle retrouve ses petits morts. Elle s’enfuit et se réfugie dans un ancien terrier. Un jour, Ben s’éloigne plus de chez lui que d’habitude. Et un orage arrivant, il se réfugie dans une tanière.
La nuit, la mère blaireau arrive…
Mon personnage préféré est Benjamin (Ben) : Il est petit pour son âge (6 ans,  il est maigre, il est très timide, mais ne l’est pas du tout avec les animaux.  Il parle très peu avec les autres. Il aime aller se promener seul dans la nature pour découvrir, observer les animaux. Il a 2 sœurs, un frère et ses parents. Pour les autres, il est un enfant en retard sur ses apprentissages et ses règles de vie. Je l’ai choisi parce que c’est un personnage intriguant et il est coupé du monde (quand on sait que cette histoire est vraie).

Critique du livre
Je trouve que le scénario est bien pensé et que le suspense est bien géré. Les personnages sont bien détaillés dans ce livre (caractères, relations…). Donc j’ai aimé ce livre.

Passage choisi
« Il dormit quatre heures et, lorsqu’il se réveilla, la mère blaireau était revenue. Elle était en fait en train de descendre dans le trou, tenant entre ses dents une poule sauvage à moitié dévorée. Ben hurla et elle s’immobilisa, ouvrir sa bouche pour répondre par un grognement et, comme le corbeau de la fable, laissa tomber sa proie qui roula vers l’enfant. Il attrapa l’oiseau par une patte et le tira vers lui.
Le grondement de la mère blaireau s’éteignit pour faire place à un gémissement sourd, curieux. Ben émit le même son, en écho, en regardant attentivement la bête. Bizarrement, maintenant qu’il faisait jour, il n’avait plus aussi peur d’elle. »
J’ai choisi ce passage pour montrer que Ben éprouve de l’amitié pour la mère blaireau. Il communique avec elle.

Martin GOUBET 6ème 1

L'Ordinatueur, de Christian Grenier

Christian Grenier est né en 1945 à Paris de parents comédiens.
Dès son enfance il est plongé dans le théâtre et souhaite devenir acteur mais ses parents ne sont pas d’accord. Il suit alors des études de lettres et devient professeur. A Paris, dans un collège, il anime des clubs de théâtre, d’astronomie et de science-fiction. En 1972, il obtient le prix de la radio et de la télévision grâce à son 3e ouvrage: « La Machination » qui marque le début de sa carrière d’écrivain. Les éditeurs l’emploient pour lire et corriger leurs manuscrits. Il quitte définitivement son travail de professeur en 1990 pour s’exercer à celui d’écrivain et se consacrer à sa femme et à ses 2 enfants dans le Périgord (en Dordogne). Son statut social est écrivain.

Résumé de « L’ordinatueur »:
L’OMNIA 3, un ordinateur très performant, totalise 6 victimes. Serait-ce l’ordinateur qui a causé toutes ces morts ? Logicielle, jeune inspectrice, en doute mais compte bien découvrir la vérité avec ses 2 amis: Germain et Maxime.

Trois autres livres de l’écrivain:
« Coups de Théâtre » Mathilde Gouducheau meurt assassinée avec un poignard dans le dos.
« Le pianiste sans visage » Dans son journal intime, Pierre révèle qu’il aime la fille du 3eb et Jeanne est persuadée que son père, mort depuis 10 ans, était un grand virtuose de la musique.
« Arrêtez la musique! » Un assassin, connaissant la musique, frappe toujours au même moment: à la 114e mesure de l’œuvre maudite qui a déjà été fatale à un percussionniste et un chef d’orchestre. 
Nicolas Verdin