dimanche 4 mai 2014

«Le journal de Zlata» de Zlata Filipović

J’ai lu «Le journal de Zlata» de Zlata Filipović publié aux éditions Robert Laffont en 1993 puis aux éditions Pocket Jeunesse en 2004.
Zlata Filipović  est une écrivaine bosniaque née à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine en 1980. Elle est fille unique de parents natifs de Sarajevo aussi. Elle eut des ancêtres croates et serbes tandis que ses parents, eux étaient musulmans.
Zlata était une élève exemplaire et la meilleure parmi les autres élèves de sa classe. Elle a appris à lire à l’âge de ses 3 ans, car ses grands-parents lui ont donné le goût des lettres dès son plus jeune âge.
Zlata voulait devenir journaliste mais changea vite d’envie pour devenir écrivaine et se spécialiser dans un journal «plus sérieux».


Le livre commence par la préface de l’auteur et celle de narrateur qui y ajoute une note explicative. Par la suite les jours défilent et Zlata écrit dans son journal surnommé «Mimmy», le déroulement de ses journées où au début tout se passe bien, elle a ses amis, sa chorale, ses cours de piano, ses voisins, sa famille etc. Puis plus les jours passent plus ça empire lorsque la guerre est déclarée. On suit son quotidien jour après jour avant, pendant et après la guerre.

Ce que j’en pense

Dans «Le journal de Zlata» je ne peux pas dire que j’ai un personnage préféré étant donné que c’est un journal «intime» qui ne concerne donc qu’une personne en particulier, mais j’ai bien aimé ce livre car le personnage de Zlata et son entourage sont attachants tout comme sa manière d’écrire qui est simple malgré quelques mots en serbo-croate. Vu que l’histoire est vraie on a l’impression d’être à sa place et de voir les évènements se dérouler sous nos yeux comme elle a pu le vivre, la voir se faire prendre son enfance. Son journal m’a fait part de toutes ses émotions ressenties. Une de ses phrases qui m’a marquée le plus a été: «Ces fous n’ont pas seulement volé mon enfance et celle des autres enfants, ils ont volé aussi la vieillesse paisible de mon grand-père, de ma grand-mère et des autres vieilles personnes.»
Son journal m’a fait penser à celui d’Anne Frank puisqu’elles vivent à peu-près les même situations même si pour Zlata tout se termine bien puisqu’elle parvient à s’exiler en France avec sa famille grâce à son journal.

-Freuchet Laura 3°1

Le cri de la mouette d’Emmanuelle Laborit.

J’ai lu « Le cri de la mouette » d’Emmanuelle Laborit, publié aux éditions Presse Pocket. Emmanuelle Laborit est une actrice et directrice française de l’International Visual Théâtre. Elle née sourde le 18 octobre 1971 à Paris (France). Emmanuelle Laborit est la fille de Jacques Laborit, psychanalyste et psychiatre, et petite fille d’Henri Laborit, scientifique, elle a une petite Sœur, Marie. Emmanuelle ne découvre la langue des signes qu’ l’âge de sept ans. Elle a vécu une adolescence difficile mais passe son bac en 1992. En 1993, elle entre dans le milieu du théâtre, elle obtient le Molière de la révélation théâtrale pour son rôle dans « Les enfants du silence ». C’est la première comédienne sourde à avoir reçu ce prix en France. Elle devient l’ambassadrice de la langue des signes en France la même année. En 1994, elle écrit un récit autobiographique avec Marie-Thérèse Cuny « Le cri de la mouette ». Ce récit autobiographique est traduit en neuf langues.  
Emmanuelle Laborit est sourde mais son handicap n’est pas encore diagnostiqué. C’est au cours d’une soirée entre amis qu’elle est exclue, elle n’entend rien, elle ne voit que des bouches s’agiter: elle ne savait pas que les personnes peuvent communiquer entre elle. Lors de la découverte de son handicap, ses parents n'y croient pas, Emmanuelle pousse des cris de mouette comme disent ses parents. Pour elle, c’est difficile de communiquer, elle invente un langage « ombilical » entre sa mère et elle. Elle ne savait que chaque personne portait un prénom, c’est pour ça qu’elle parlait d’elle à la troisième personne. A l’âge de sept ans, elle découvre le langage des signes. Elle a une petite sœur, elle s’efforce de parler avec elle même si c’est difficile. Elle va partir aux Etats-Unis avec ses parents pendant un mois afin d’apprendre un peu mieux la langue des signes  tout comme ses parents. Emmanuelle a une petite sœur MARIE qui elle reste en France. Emmanuelle va découvrir ce nouveau langage pour elle…
Ce que j’en pense
Mon personnage préféré est Emmanuelle car pendant tout ce récit autobiographique, on découvre son évolution à partir du moment où l’on ne sait pas encore qu’elle est sourde jusqu’au moment où elle est comédienne, elle découvre le théâtre. On voit à travers ce récit qu’elle a fait beaucoup d’effort, il y a eu des moments forts et d’autres moins. Elle a dû faire beaucoup de travail pour pouvoir comprendre les autres avec entre autres,  la langue des signes. On s’aperçoit qu’elle a eu du mal à communiquer avec sa sœur c’était pour elle un moment difficile. Ce livre peut nous amener à penser que si on était sourd que ferait-on ? On s’aperçoit que c’est difficile de communiquer avec les autres et que ça demande un véritable effort, c’est un vrai handicap !
Ce récit autobiographique est bien écrit je trouve. A travers ce livre, on découvre beaucoup de moments et de passages difficiles dans sa vie, c’est très détaillé. Elle raconte avec précision toutes les péripéties, les nouveautés, ses sentiments dans sa vie. Elle raconte qu’être sourde est un véritable handicap, je trouve que c’est touchant. 
Florian Brunet

Le Grand Meaulnes, d'Alain-Fournier


J'ai lu le "Grand Meaulnes" d'Alain-Fournier par l'édition Pocket où il y a les préfaces de Jacques Perrin. Henri-Alban Fournier de son vrai nom est né le 30 octobre 1886 et est mort le 22 septembre 1914. Ses parents Auguste et Marie-Albanie Barthe étaient tous les deux des instituteurs.

À douze ans, Henri part à Paris pour ses études où tout lui réussi mais en 1901, il décide d'aller à Brest pour préparer son concours d'entrée à l'école navale. Il échoue quelques mois après puis il part à Bourges où il obtient son baccalauréat. Henri-Alban Fournier décide de rentrer à l'école normale Supérieure où il fera la connaissance de Jacques Rivière qui deviendra son ami et qui se fiancera avec sa sœur Isabelle. Lors d'une exposition au Grand Palais , il fit la rencontre d'une jeune femme appelé Yvonne de Quiévrecourt dont il tombera fou amoureux. Il s'en inspirera pour son personnage Yvonne de Galais dans son livre. Ce livre raconte avant tout une histoire d'amour et d'amitié, il a été adapté cinématographiquement par le réalisateur Jean Daniel Verhaege.



Le livre commence par l'arrivée d'un nouveau pensionnaire chez la famille Seurel. Ce sont tous les deux des élèves du cours supérieur dans un village appelé Saint-Agathe. Le nouveau pensionnaire nommé Augustin Meaulnes s'échappa de son pensionnat et se retrouva dans un domaine où la fête est au rendez-vous ! Il fit la connaissance d'une jeune fille dont il tomba follement amoureux.

Quand il retourna à sa petite vie paisible, il s'ennuyait et ne pensait qu'à une chose : retrouver ce domaine si magique et plein de surprises et SURTOUT retrouver cette fille qui l'avait envouté par sa beauté! Avec son fidèle compagnon François, ils essayèrent de tracer le chemin qui les amènerait à ce lieu…

Mon personnage préféré dans ce livre est François Seurel car grâce à Meaulnes, il apprend à vivre et à être heureux. J'ai eu l 'impression que c'était quelqu'un de gentil et que c'était un ami sur qui on pouvait compter.



Ce que je pense



Après avoir lu ce livre. Je me suis posé cette question: " Vaut-il mieux être égoïste et avoir son propre bonheur que d'aider les autres et perdre le sien ? "
Ce livre nous fait comprendre qu'il fallait aller au bout de nos rêves, nos envies. J'ai aimé ce livre car je le trouvais intriguant, je me demandais si un jour Meaulnes allait retrouver son amour perdu et si il deviendrait heureux. La fin du livre est à la fois triste et heureuse 
Emma Bablet

dimanche 6 avril 2014

« Un sac de billes » de Joseph Joffo




« J'ai lu « un sac de bille » de Joseph Joffo publié aux éditions Le Livre de Poche Jeunesse.
Joseph Joffo est un écrivain français qui est principalement connu pour avoir raconté son enfance dans ce livre, « Un sac de billes » . Joseph Joffo est un écrivain contemporain qui est né le 2 avril 1931 à Paris dans le 18ème arrondissement. Joseph Joffo commence et finit ses études à l'école communale de son quartier. Dans la famille Joffo, on est coiffeur de père en fils. Joseph Joffo a vécu une enfance difficile qui se passe pendant la 2ème Guerre Mondiale, il doit se débrouiller seul avec son frère. C'est cette enfance qu'il raconte dans ce livre autobiographique.
Joseph Joffo écrira d'autres livres sur son enfance . ( Baby-foot, Agates et Calots), il écrira aussi des romans et des contes pour enfants.
Joseph Joffo écrit ses souvenirs d'enfance pendant des semaines d'immobilisation suite à un accident de ski.

Ce livre raconte la vie de Joseph Joffo, enfant juif qui vit paisiblement à Paris, il a dix ans et aime bien jouer aux billes. Un jour, son père lui apprend que lui et son frère doivent partir à cause de la guerre et de « la chasse aux juifs ». Voilà le petit Joseph, dix ans, seul avec son frère et séparé de ses parents. Avec son frère ils doivent se débrouiller  pour pouvoir passer la ligne de démarcation et passer dans la zone libre. A eux deux, ils vont essayer de se débrouiller pour gagner leur liberté dans une histoire pleine de rebondissements.


Mon point de vue :

Dans ce livre, mon personnage préféré est évidemment Joseph, le personnage principal, le narrateur. Il arrive  à nous montrer que même à dix ans, pendant la guerre, sans ses parents, il arrive toujours à se débrouiller avec son frère et à garder son sang-froid.
Ce livre nous montre comment la guerre pouvait être cruelle, elle sépare un petit enfant de sa famille, en même il nous montre comment les gens se sont organisés pendant la guerre, avec les faux papiers, les coupons de nourriture, les échange de biens etc.
Ce livre est un livre fait pour la jeunesse, on s'attache très vite au jeune Joseph, ce n'est pas une histoire plate, il y a de nombreux événements qui font rebondir l'histoire. Il nous fait aussi un petit rappel de l'histoire et de la 2ème Guerre Mondiale.
Je recommande ce livre aux amateurs de livres autobiographiques et aux personnes qui ont envie de quelque chose qui soit facile à lire.
                                                                                           Boulay Simon 3°3