mercredi 4 février 2015

ça t'apprendra à vivre, Jeanne Benameur


Présentation de l’écrivain : L’écrivain s’appelle Jeanne Benameur. Son autobiographie ne raconte qu’une partie de sa vie de 7 à 8 ans. Elle vit avec sa mère qui est Française,  son père qui est Algérien, son grand frère qui a 17 ans et sa grande sœur de 14 ans ainsi que sa sœur A qui a le même âge que Jeanne. Ils vivent en Algérie.

Résumé : L’histoire se déroule en Algérie en 1958 dans une ville sur la façade Atlantique. Jeanne vit avec sa famille : sa mère Française, son père Algérien ainsi que son frère et ses deux sœurs. Elle raconte sa vie de petite fille de 8 ans vivant en Algérie,  une vie difficile et dangereuse. Chaque personne dévoile sans le vouloir son ou ses secrets d’enfance.

Ce que j’en pense : J’ai plutôt bien aimé ce livre. Il m’a fait réfléchir sur son innocence de petite fille et sa façon de faire face à ses difficultés. Il  m’a tenu en haleine du début à la fin. J’ai beaucoup aimé le début car l’on dirait une famille parfaite et à la fin on s’aperçoit que, en fait, pas du tout il y a beaucoup de mensonges.

Maury Alexandre 3ème 5

"Stupeur et tremblements" de Amélie Nothomb

Amélie Nothomb est un écrivain qui crée des œuvres souvent autobiographiques.Elle est née à Kobé le 13 août 1967.En 1972, son père quitte le Japon pour aller à Pékin, alors qu'elle n'a que 6 ans.
Elle vit son départ du Japon "pays de la beauté" et "pays de laideur" pour la Chine, comme un exil et vit mal la séparation de sa gouvernante Japonaise qu'elle considère comme sa seconde mère.
Amélie Nothomb  a  écrit les livres suivants :
-le sabotage amoureux
-stupeur et tremblements (que j'ai lu)
-métaphysique des tubes
- robert des noms propres
-biographie de la faim
-ni d'Eve ni d'Adam
-Péplum

Le livre que j'ai lu, "Stupeur et tremblements",  raconte l'histoire d'une fille qui travaille dans une compagnie Japonaise qui s'appelle YUMIMOTO. Dans cette entreprise, il n'y a que des supérieurs qui ont des supérieurs, qui ont des supérieurs. Cette fille qui adore le Japon, son pays natal, ne fait que d'obéir à Mr Saito qui n'est pas très gentil avec elle. Le boulot qu'il lui  confie est de faire 1000 photocopies d'un document mais lorsque son travail est terminé il lui demande de recommencer encore et encore. Elle va prendre ça pour un jeu c'est ainsi qu'une grande histoire commence pour Amélie dans ce monde du travail .
Mes impressions de ce livre
J'ai bien aimé ce livre car il exprime beaucoup de choses sur les employés Japonais dans la vie réelle. Il y a des moments qui m'ont un peu énervé comme par exemple les répétitions exagérées de son travail sinon il se lit facilement et rapidement .Ce livre contient 200 pages environ donc ce n'est pas un très grand roman.Je vous souhaite une bonne lecture à tous.

Simon Loizeau 3°5

On n’est pas sérieux quand on a 17 ans



J’ai lu "on n’est pas sérieux quand on a 17 ans" de Barbara Samson. Elle est née le 7 février en 1975 à Chartres. Avec l'aide de Marie-Thérèse Cuny, elle écrit son autobiographie et de ce livre Philipe Faucon produit un téléfilm. Le 7 avril 1994 elle est invitée à témoigner sur Canal+ et elle ouvre la première soirée Sidaction. A 17 ans, Barbara est internée dans une clinique à cause de ses trouble alimentaires, de ses tentatives de suicide et de ses mauvais rapports avec sa famille mais surtout avec sa mère car cela lui arrive souvent de "péter un câble" et d'envoyer tout valser .Dans la clinique, elle remarque un garçon nommé Antony, un ex-toxico de 28 ans. Dès les premiers jours, elle tombe amoureuse. Un soir, alors que Barbara lui avoue qu'elle est vierge, Antony lui ne lui dit pas qu'il est séropositif et au premier rapport sexuel Barbara est contaminée par le virus du sida. Alors qu'ils dorment dans leur lit, une infirmière les surprend et Antony est viré de la clinique. C'est peu de temps après que Barbara apprend qu'il est séropositif et par conséquent, elle aussi. Au début, elle s'en fiche et reste avec lui malgré la maladie. Elle passera plusieurs semaines à Marseille avec Antony qui lui replongera dans la drogue...
Ce que j'en pense:
Ce livre m'a beaucoup marquée, on ne s'ennuie jamais. Il est vraiment très prenant, très détaillé et on s’imagine bien les personnages. Mon personnage préféré est Barbara n’ont pas parce qu’elle est le personnage principal mais parce qu’elle a beaucoup de caractère. Le fait qu’elle pique des crises, qu’elle n’ose pas s’excuser auprès de ses parents et qu’elle soit insupportable car elle a un désir permanant d’être aimée est très intéressant de mon point de vue. Durand cette autobiographie on se pose beaucoup de question comme « est-ce qu’on aurait réagi pareil ? » « Aurait-t-on le courage de témoigner devant la France entière ? » J’ai beaucoup aimé ce livre même si a des moments, on aimerait bien la secouer et la remettre dans le droit chemin.

« vipère au poing » de Hervé Bazin

J'ai lu « vipère au poing » de Hervé Bazin, publié aux éditions livre de poche. Hervé Bazin est un écrivain et poète du Xxème Siècle. Il est né le 17 avril 1911 à Angers et est mort le 17  février 1996 à Angers. Il est issu d'une famille aisée. Son père Jacques Hervé-Bazin est docteur en droit, avocat de profession, et il enseigne durant plusieurs années en Indochine. Sa mère, Paule Guilloteaux, est la fille de Jean Guilloteaux député puis sénateur du Morhiban. Il passe son enfance à Marans, dans la propriété du Patis, où il s'oppose à sa mère qui est autortitaire est sèche. Il fugue plusieurs fois et refuse de passer ses examens à la faculté catholique de droit d'Angers qu'on lui a imposée. Hervé-Bazin est considéré comme « un romancier de la famille ». Ce livre « vipère au poing » est un récit largement autobiographie sorti en 1948 qui décrit son enfance et son adolescense difficile .
 Le livre commence par Jean Rézau (dit Brasse-Bouillon) qui étrangle une vipère. Jean et son frère Ferdinand sont élévés par leur grand-mère paternelle. Suite au décès de leur grand-mère, leurs parents reviennet d'Indochine avec un nouvel enfant Marcel.
On découvre au fil du texte que leur mère est une mère horrible. Elle les pique à table avec sa fourchette, les enfants n’ont plus le droit au café au lait le matin mais à la soupe, ils ont les cheveux tondus par mesure d'hygiène et, par sécurité, elle ôte les poêles, les édredons et les coussins dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels.Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils peuvent porter avec de la paille s'il fait froid…Leur mère sera surnommée « Folcoche ».

Ce que j'en pense     
Dans mon livre mon personnage préféré est Jean. Parce quil arrive à faire preuve de courage devant une mère aussi horrible. Il arrive à faire façe devant toutes ses épreuves difficiles.
Je me suis posée la question « Comment peut-on vivre avec une mère aussi horrible ? »
J'ai beaucoup aimé ce livre. Ce qu'il est dommage, j'ai trouvé qu'il n'avait pas assez de dialogues. 
Lucie Furet