jeudi 5 mars 2015

« L'écume des jours » de Boris Vian

J'ai lu
« L'écume des jours » de Boris Vian, publié aux éditions le livre de poche.
Boris Vian était un écrivain français, poète, parolier, chanteur, critique, musicien de jazz (trompettiste), peintre, scénariste, traducteur, conférencier et artise. Il est né le 10mars 1920 en Hauts-de-Seine et mort le 23 juin 1959 à Paris. Il est issu d'une famille française. Le 2 décembre 1917, Paul Vian (le père de Boris Vian) épouse une riche héritière, Yvonne Woldemar-Ravenez (la mère de Boris Vian). Le couple s'installe dans un hôtel de Ville-d'Avray. Là où naissent Lélio Vian le 17 octobre 1918 et le 10 mars 1920 Boris Vian. Ensuite Alain né le 24 septembre 1921 et Ninon née le 14 septembre 1924. Les Vian mènent une vie insouciante : ils ont chauffeur, professeur à domicile, coiffeur à domicile, jardinier. Le krach de 1929 ruine Paul Vian obligé d'abandonner la maison principal et d'aller habiter avec ses enfants, sa femme et son jardinier dans la maison du gardien. A 12ans Boris souffre de rhumatismes articulaires aigus suite à une angine infectieuse qui provoquent une insuffisance aortique.
Il a écrit le livre en 1947. Les personnages évoluent dans un univers poétique et déroutant.

Le livre commence dans la salle de bain de Collin qui se prépare à recevoir Chick à diner.
Au fur et à mesure du livre on fait la rencontre de Nicolas (le cuisiner de Collin), Isis, Alise et Chloé. Un jour Chick rencontre Alise (la niéce de Nicolas) et tombe amoureux d'elle. Collin jaloux veut aussi rencontrer l'amour. Et il rencontre Chloé lors d'une fête. Il tombe amoureux d'elle. Il se marie ensuite avec elle. Ensuite Chloé tombe malade. Et à la fin du livre elle en meurt. Ce livre est dramatique. Plus on avance dans le livre plus les personnages deviennent malheureux, pauvres...

Ce que j'en pense :

Mon personnage préféré est Collin. Parce qu'à cause de la maladie de Chloé, il se ruine pour elle, travail dure, se fait insulter, les gens lui lancent des objets sur lui. Il fait tout ça par amour juste pour Chloé pour lui sauver la vie bien que la maladie l'emporte.
En lisant le livre je me suis posé la question : « pourquoi Boris Vian à appeler son livre l'écume des jours ? » Car je n'ai pas trouvé le rapport entre le titre el l'histoire.
Je recommande ce livre car je trouve qu'il donne une bonne leçon sur l'amour. Parce que Collin n'a jamais voulu travailler mais par amour il travaille pour essayer de sauver Chloé pour lui acheter des fleurs. Au début je trouvais le livre ennuyeux mais plus j'avançais dedans moins je le trouvais ennuyeux. Je vous le recommande fortement.
Lucie Furet

Marianne, George Sand


J’ai lu « Marianne » de George Sand, publié aux éditions Magnard. George Sand était une écrivaine du 19ème siècle. Née le 1er juillet 1804 à Paris et morte au château du Nohant-Vic le 8 juin 1876. George Sand, de son vrai nom Aurore Dupin, a perdu son père à l’âge de 4ans. Elle a grandi à la campagne, auprès de sa grand-mère à Nohant. Aurore se marie au baron Casimir Dudevant en 1822, elle met au monde deux enfants. Mais le couple s’entend mal et se sépare. Aurore étudie les sciences et le latin tout en menant une vie champêtre qui inspira plusieurs de ses grandes œuvres. Parmi ses grandes œuvres, elle a écrit Indiana (son premier roman, 1832), Lélia(1833), Consuelo(1842), La Petite Fadette(1848), Histoire de ma vie (1854-1855), Nanon(1872). Marianne est un petit roman écrit à Nohant en mai 1875, au soir de sa vie. Le 1er et 15 aout 1875, elle y traite des thèmes : le mariage, la vie selon la nature, l’amour…
C’est un livre classique et contemporain. Ce livre parle de Pierre André qui a près de quarante ans qui aime en silence Marianne Chevreuse mais le fils Gaucher, un jeune parisien arrive et souhaite épouser Marianne. Dans le premier chapitre, dès le début on fait apparaitre le personnage de Marianne.
Ce que je pense
Dans ce livre, mon personnage préféré est Pierre André car on parle beaucoup de lui et c’est un personnage attachant, on rentre vite dans le personnage.
Grâce à ce livre, je me suis posé
des questions sur comment se passe le mariage de nos jours. Aujourd’hui la personne décide elle-même qui elle veut épouser, elle ne tient pas compte du rang social de son prétendant(e).
C’est un roman qui se lit vite, il est très bien écrit. C’est un roman émouvant. C’est un homme plus âgé qui aime une femme plus jeune. Les personnages sont intéressants.
Laurie DEsouches.

« La vie devant soi » de Romain Gary

« La vie devant soi » de Romain Gary (Emile Ajar) est publié aux éditions Folio. Romain Gary était un diplomate et romancier français.  Romain Kacew dit Romain Gary est né le 8 mai 1914 à Vilnius en Lituanie, et décédé le 2 décembre 1980 à Paris.  Alors que Romain est encore un très jeune enfant, son père Arieh-Leib Kacew est mobilisé dans l'armée russe, c’est alors sa mère Mina Owczyńska qui élève Romain. Elle place en lui de grande espérances comme il le raconte plus tard dans « La promesse de l’aube ». A l’âge de quatorze ans, il arrive en France et s’installe à Nice avec sa mère. Après des études de droit il s’engage dans l’aviation et rejoint le général de Gaulle en 1940. Son premier roman « Education européenne », paraît avec succès en 1945 et révèle un grand conteur au style rude et poétique. En 1956, il reçoit le prix Goncourt pour son livre « Les racines du ciel ». En 1960, il quitte la diplomatie, et en 1963 il épouse Jean Seberg. Il fait paraître un roman humoristique, se lance dans de vaste Sagas, rédige des scénarios et réalise deux films. Au fur et à mesure ses romans laissent percer son angoisse du déclin et de la vieillesse. Jean Seberg, son épouse, se donne la mort en 1979, et en 1980 Romain fait paraître son dernier roman « Les cerfs volants » avant de se suicider… Il laisse un document où il révèle qu’il se dissimulait sous le nom d’Emile Ajar et que ce roman « La vie devant soi » signé Emile Ajar avait reçu le prix concourt en 1975.
Romain Gary reste connut pour ses romans mais aussi pour sa supercherie qui prouve qu’il était un grand écrivain…


C’est l’histoire de Momo (Mohammed), un jeune enfant arabe de dix ans recueilli comme d’autres chez une vieille dame juive, Madame Rosa, une ancienne prostituée qui avait connu Auschwitz. Momo raconte son amour pour cette vieille, grosse et malade femme, dans cet appartement au sixième étage sans ascenseur situé dans le quartier de Belleville.
Momo a besoin d’affection, il vola un chien qu’il appela Super, mais le donna à une dame riche qui lui donna 500 francs en échange. Etrangement, il jeta l’argent. Momo découvrit le jardin secret de Madame Rosa  « Le trou juif », elle lui demanda de garder son secret.
L’état de santé de Madame Rosa s’empirait. Le petit garçon avait menti au docteur pour qu’elle puisse rester chez elle, dans son jardin secret « Le trou juif ». Mohammed accompagna la vieille dame, celle qui l’a aimé comme une mère jusqu’à la mort. Il était près d’elle…

Mon avis
Je n’arrive pas à me décider sur mon personnage préféré, Madame Rosa ou Momo, sont tout deux très attachants je trouve. Il y a Momo qui ferait tout pour rendre heureuse et aider Madame Rosa qui va de moins en moins bien devant lui, il la voit se dégrader petit à petit et l’intention, l’intérêt et surtout l’amour qui lui porte est très fort. Et il y a Madame Rosa cette vieille dame qui nous touche par sa générosité et son courage surdimensionné, lorsqu’elle se bat chaque jour contre ses six étages à monter et descendre, et son combat, le fait de tout faire, les papiers et tout ce qu’il faut pour garder tous les enfants est incroyable. C’est un livre très touchant et il vaut vraiment la peine d’être lu.
Elisa Blandin

« Premier Amour » de Ivan Tourgueniev,

J'ai lu « Premier Amour » de Ivan Tourgueniev, publié en 1947 par les éditions du Chêne.
Ivan Tourgueniev romancier, nouvelliste, dramaturge russe né le 9 novembre 1818 à Orel, une petite ville au Sud de Moscou (Russie) et mort le 3 septembre 1883 à Bougival (France).  Serge Tourguéneff et Varvara Petrovna Loutovinova sont ses parents. Tourgueniev est issu d'une famille russe aisée. Son éducation est stricte. À l'âge de quinze ans, il est envoyé en pension à Moscou, puis il poursuit ses études à Saint-Pétersbourg, où il rencontre Pouchkine. Il se met alors à écrire de la poésie.
De 1838 à 1841, il séjourne à Berlin. Il y fréquente les cercles culturels occidentaux. Il retourne en Russie puis rencontre la cantatrice Pauline Viardot, dont il tombe amoureux. La jeune femme est mariée, mais leur liaison est tolérée par son époux et leur entourage.
En 1843, il écrit pour le théâtre. Après une dizaine d'années, ses écrits sont enfin publiés.
En 1847, il quitte la Russie pour Berlin, pour se rapprocher de sa bien-aimée. Mais, dans les années 1850, elle s'éloigne de lui. Triste, il voyage, puis s'installe de nouveau en Russie. Il se consacre toujours à l'écriture de récits et de romans dont le thème est la vie russe. En 1864, il ne supporte plus les critiques de son pays, il va donc définitivement, à Baden (Allemagne), puis à Bourgival (France). Il se lie d'amitié avec Gustave Flaubert, Emile Zola les frères Goncourt. Elu vice-président au Congrès international de littérature en 1875, aux côtés de Victor Hugo.

Quand l'histoire commence, Vladimir, un jeune homme de seize ans, s'installe avec ses parents dans une villa près de Moscou qu'ils ont louée. Il vit donc avec eux mais on comprend vite que c'est un enfant auquel ses parents ne portent pas plus d'attentions que ça et que son père s'était marié avec  sa mère par raison. Un soir, alors que le jeune garçon se promenait dans le parc, il découvrit pour la première fois la princesse Zinaïda dont il tomba amoureux. Malheureusement cette jeune fille était plus âgée, elle avait vingt et un ans. Le lendemain, ils se rencontrèrent, elle comprit que Vladimir l'aimait, comme un grand nombre d'admirateurs d'ailleurs, qu'elle adorait rendre jaloux les uns des autres.

Dans ce livre, mon personnage préféré est la princesse Zinaïda, au début on a l'impression qu'elle ne  sais pas qui choisir car elle a beaucoup d'hommes à ses pieds, elle joue sur plusieurs tableaux mais au final on se rend compte qu'elle a choisi le seul homme qui n'était pas à ses pieds.
Dans ce livre on peut se demander si « y a-t-il un âge pour l'amour ?» et « ce qu'on ferais pour notre âme sœur », et « que ferions nous si nous nous retrouverions dans le même cas que Vladimir, que ressentirions nous ? ».
Je trouve ce livre à la fois intriguant et passionnant, dans l'attente de savoir qui elle va choisir et la chute est vraiment inattendue je trouve, dommage que le livre s'arrête sur une fin aussi triste et brusque que celle ci.
Julie Delaunay