mardi 17 janvier 2017
mardi 3 janvier 2017
lundi 2 janvier 2017
L'Herbe Bleue
J'ai lu "L'herbe bleue" d'un auteur américain anonyme. Ce
livre est publié aux éditions de Presses de la cité.
Ce livre est un journal intime où l'auteur, une femme, raconte sa
malheureuse addiction.
Il s'agit d'une jeune fille de 15 ans, dont le pseudonyme est Alice car
elle se reconnaît dans le personnage de Lewis Carroll ( titre original est Go
ask Alice). Elle aura malheureusement une courte vie, à cause d'un secret dont elle
ne dévoile l'existence qu'à ses journaux intimes, elle en a conçu deux.
Elle a un père professeur, une mère très compréhensive, un petit frère et une
petite sœur adorables. Mais alors qu'elle croit être invitée à une soirée
"comme les autres", un soir de juillet, ses camarades de classe la
piègent en mettant du L.S.D* dans dix des quatorze verres de coca. Elle part
alors dans un voyage "formidable", mais très vite elle ressent un
manque et elle veut recommencer encore et encore... La voilà dans une spirale
interminable de l'addiction et de la dépendance. Sa vie rime à stress,
l'angoisse est présente dans chaque moment qu'elle décrit hors de l'influence
de la drogue. Elle jure de ne plus recommencer mais malheureusement, ce sera de
courte durée, car elle a le malheur de tomber sur des personnes, des
"camés" qui la replongent dans cette spirale sans issue. L'acide
(L.S.D) ne lui suffit plus, elle décide de "goûter" l'herbe
(marijuana) et le joint. Ce qui n'arrange pas du tout les choses... Elle décide
de s'enfuir de chez elle pour aller dans une ville qu'elle ne connaît pas. Au
début tout est merveilleux car elle est sous l'emprise de la drogue mais très
vite c'est un cauchemar. Après de nombreuses galères, elle décide de retourner
chez elle. Rassurés et soulagés ses parents l'accueillent chaleureusement. Mais
le destin s'acharne, elle apprend alors le décès de ses grands parents qui la
replonge dans la tristesse...A cause de sa réputation elle finit par être
internée dans un "asile d'aliénés". Heureusement elle rencontre Joël,
un "régulier" qui l'aide à surmonter ces épreuves. Quand elle sort,
quinze jours après de cet asile, accompagnée de Joël, tout est parfait,
vraiment, elle retrouve sa superbe famille et file le parfait amour, mais le bonheur est de courte durée car trois semaines plus tard Alice meurt. Ses
parents sont rentrés un soir du cinéma et l'on retrouvée morte... On ne sait
pourquoi mais on sait que cinquante mille victimes de la drogue succombèrent
cette année-là...
* hallucinogène très répandu dans la jeunesse américaine à la fin des
années 1960
Ce que j'en pense
Je trouve que cette histoire vraie fait réfléchir, elle est triste mais
à la fois instructive car il y a une sorte de morale qui montre la puissance de
la drogue, son influence et ses résultats. Alice a voulu "essayer"
mais elle n'a pas pu succomber à la tentation de recommencer, c'est une
histoire dramatique. Normalement je n'aime pas les histoires qui se terminent
mal, mais celle-ci est spéciale et différente car elle m'a permis de me mettre
à la place et dans la peau d'Alice ce qui est divertissant mais à la fois très
effrayant. J'ai beaucoup apprécié prendre du temps pour lire ce livre et pour
tout dire, il ne m'a pas laissée indifférente, ça m'a permis de découvrir les
méfaits de l'addiction et de me protéger de toutes ces choses qui peuvent
faire basculer toute une vie... C'est une histoire poignante que je conseille à
tout adolescent qui pourrait se poser des questions à ce sujet...
Audrey LAGARDE
Stupeur et tremblements, Amelie Nothomb
Le livre Stupeur et tremblements a été écrit par Amelie Nothomb et publié par "le livre de poche".
Amelie est une écrivaine d'origine belge, née en 1966 a Etterbeek, Bruxelles, l'écrivaine a une sœur, Juliette et un frère, André. Elle a vécu une partie de son enfance au Japon, un pays qu'elle a tant aimé qu'après ses études elle décide d'y retourner.
Fabienne Claire Nothomb de son vrai nom est une femme de lettres qui a reçu le grand prix du roman de l’académie Française en 1999 pour son livre Stupeur et tremblements.
Ce livre parle du début des années 1990, quand Amélie obtient un contrat avec une puissante entreprise japonaise, Yumimoto. La narratrice enchaine les erreurs, échecs et maladresses jusqu'à descendre au plus bas de l'a hier et de Yumimoto, c'est-à-dire, au rang de surveillante des toilettes. Amélie a un caractère assez surprenant elle se laisse faire et va même jusqu'à admettre devant sa supérieur qu'elle a un problème mental. Entre l'humour et les gaffes de l'auteur est cachée une vraie réflexion sur la place des femmes au Japon ainsi que la hiérarchie japonaise. Mon personnage préféré est Amélie Nothomb, pas parce qu'on est à sa place ou qu'il s'agit du "rôle principal " mais parce que le fait de savoir ce qu'elle pense et sa façon de voir la vie, les personnes qui l'entourent, les événements est particulièrement attachante et surprenante. Durant ma lecture de ce livre, je me suis posé quelques questions: les entreprises japonaises ainsi que leur hiérarchie sont-elles vraiment comme ceci ? Pourquoi les japonais doivent-ils se sentir supérieurs à nous, européens ?. Je vous laisse lire ce très beau livre pour trouver les réponses à ces questions en attendant je vous le recommande vraiment car Stupeur et tremblements est un livre qui est passionnant et son auteur ainsi que le sujet sont intéressants et attachants.
Julie Pouzin
Amelie est une écrivaine d'origine belge, née en 1966 a Etterbeek, Bruxelles, l'écrivaine a une sœur, Juliette et un frère, André. Elle a vécu une partie de son enfance au Japon, un pays qu'elle a tant aimé qu'après ses études elle décide d'y retourner.
Fabienne Claire Nothomb de son vrai nom est une femme de lettres qui a reçu le grand prix du roman de l’académie Française en 1999 pour son livre Stupeur et tremblements.
Ce livre parle du début des années 1990, quand Amélie obtient un contrat avec une puissante entreprise japonaise, Yumimoto. La narratrice enchaine les erreurs, échecs et maladresses jusqu'à descendre au plus bas de l'a hier et de Yumimoto, c'est-à-dire, au rang de surveillante des toilettes. Amélie a un caractère assez surprenant elle se laisse faire et va même jusqu'à admettre devant sa supérieur qu'elle a un problème mental. Entre l'humour et les gaffes de l'auteur est cachée une vraie réflexion sur la place des femmes au Japon ainsi que la hiérarchie japonaise. Mon personnage préféré est Amélie Nothomb, pas parce qu'on est à sa place ou qu'il s'agit du "rôle principal " mais parce que le fait de savoir ce qu'elle pense et sa façon de voir la vie, les personnes qui l'entourent, les événements est particulièrement attachante et surprenante. Durant ma lecture de ce livre, je me suis posé quelques questions: les entreprises japonaises ainsi que leur hiérarchie sont-elles vraiment comme ceci ? Pourquoi les japonais doivent-ils se sentir supérieurs à nous, européens ?. Je vous laisse lire ce très beau livre pour trouver les réponses à ces questions en attendant je vous le recommande vraiment car Stupeur et tremblements est un livre qui est passionnant et son auteur ainsi que le sujet sont intéressants et attachants.
Julie Pouzin
jeudi 29 décembre 2016
Pilote de guerre, de Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint-Exupéry est un écrivain, aviateur et poète
né le 29 juin 1900 à Lyon et mort disparu en vol le 30 juillet 1944 en mer au
large de Marseille.
Antoine de Saint-Exupéry est né dans une famille de la noblesse
française, son père meurt lorsque Saint-Exupéry n'a que 4 ans. Il obtient son
baccalauréat en 1917, et après son échec à l'école navale, il s'inscrit dans une
école des beaux-arts et de l'architecture. Il est formé comme pilote lors de son
service militaire en 1921 à Strasbourg. Après son service militaire, il est
engagé dans la compagnie Latécotère pour transporter du courrier de Toulouse
jusqu'en Amérique du sud en passant par le Sénégal. Il quitte la compagnie
postale en 1932 et il voyage à Moscou, en Espagne pour y faire des reportages.
Pendant la seconde guerre mondiale, il est engagé comme pilote
dans le groupe aérien de grande reconnaissance 2/33 commander par le commandant
Alias.
A la fin de la guerre,
il rejoint New York où il écrira « le Petit prince » en
1943.
De retour en France en au printemps 1944, il est engagé dans
une unité de reconnaissance en vue du débarquement de Provence.
Il disparaît en mer pendant un vol de reconnaissance le 30
juillet 1944 à bord de son « Lockheed p-38 Lightning ». ( Son avion
ne sera retrouvé qu'en 2000)
Ce livre raconte uniquement une mission de reconnaissance du
nord de la France au cours de laquelle Saint-Exupéry se rappelle son enfance
et réfléchit à énormément de choses lorsqu'il pense qu'il va mourir. Il est
accompagné pendant cette mission de deux personnes, Dutertre et le Mitrailleur.
A plusieurs reprise il manque de mourir...
Ce que j'en pense
Ce livre m'a paru compliqué à lire du fait de la plongée
dans les souvenirs. Cela déstabilise la lecture,
mais vers le quart du livre, on commence à accrocher et ne plus trop
perdre le fil.
Mon personnage préféré est le Mitrailleur car j'aime bien
son surnom, il ne parle pas beaucoup mais lorsqu'il parle il est bref, concis
et il ne parle qu'une seule fois spontanément. A chaque fois qu'il parle, c'est
pour répondre aux questions du pilote (si il a assez d'oxygène et si il voit les
ennemis).
Ce livre donne beaucoup à réfléchir sur plein de
choses dont la mort. J'ai compris de ce livre l'importance de se souvenir des
moments passés pour nous les remettre en mémoire pour s'en souvenir même en étant
« vieux ».
Rémi
Boulay Vipère au poing de Hervé Bazin
J'ai
lu Vipère au Poing de Hervé Bazin , publié aux éditions de Le
Livre De Poche.
Jean-Pierre
Hervé Bazin est né le 11 avril 1911 à côté d'Angers et est mort le 17 février
1996 à Angers. Il passa une enfance difficile à cause de sa mère. Vers ses
vingt ans, il décide de couper les ponts avec sa famille, il décida de se faire
appeler Hervé Bazin, et part étudier à la faculté de lettres de la Sorbonne
. Il a reçu de nombreux prix pour ses livres. Il a eu 7 enfants.
C'est une autobiographie car Hervé Bazin raconte son enfance,
parle de sa vie au côté de sa famille, même si les noms de famille ont été
changé.
Le livre commence avec Jean Rezeau (Hervé Bazin) qui tue une
vipère, et la montre à sa famille qui eut peur qu'il se fasse mordre. On apprend
qu'il vit avec ses oncles, tantes, son frère et sa grand-mère par qui il est
élevé. Ses parents vivent en Chine avec le benjamin de la famille. Il vit comme
d'habitude avec sa routine quotidienne lorsque meurt sa grand-mère, cette femme qui
l'a élevé lui et son frère. Leurs parents durent rentrer en France pour
s’occuper d'eux. Cette femme, ils
ne l'avaient jamais vue, leur mère, cette dame qui n’envoyait qu'une carte pour
noël.Les voisins disaient: "une maman, c'est mieux qu'une grand-mère!"
Mais est-ce que se serait le cas pour eux ?
Ce que je pense
Dans le livre, mon personnage préféré est Jacques Rezeau, le
père de famille. Même si il ne défend pas très bien ses fils, on remarque qu'il les aime. Il reste malgré tout dans
l'ombre de sa femme et respecte le code de la famille Rezeau. Malgré tout, quand
il passe du temps avec ses fils, on le voit attentionné. Il leur apprend plein
de choses, rigole avec eux et il enlèvera les punitions quand il les trouvera trop
dures. C'est un homme bon mais l'on voit qu'il est lui aussi sous
l'emprise de sa femme et on a un peu de pitié pour lui.
Je me suis posé comme questions , ''Comment peut-on ressentir
autant de rage envers son enfant ?'' Enfin la méchanceté de la mère est
énorme dans ce livre. Comment peut-on
avoir des enfants et ne jamais vouloir leur apprendre des choses, ne jamais passer de
moments bons avec eux, comment faire autant de plans pour détruire la vie de son
propre enfant ? Et comment une personne peut réussir à faire une vie normale
après son enfance aussi triste ? Comment peut-on réussir à croire que l'on
nous aime, alors que la personne qui est censée le plus nous aimer dans notre
vie, nous déteste ?
J'ai bien aimé ce livre même si je m'en suis un peu lassé sur
quelques chapitres.Il y a un passage où Jean se pose beaucoup de question et le
livre commence à être vraiment intéressant. Hervé Bazin écrit bien et je me
suis mise à ne pas aiméer sa mère et à m’imaginer ce que j'aurais fait face à
cette dame, j'ai bien aimé le livre aussi pour ça.
Adèle Furet
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