mardi 27 novembre 2018
vendredi 23 novembre 2018
mardi 20 novembre 2018
Conseils pour BIEN apprendre une leçon
Où trouve-t-on
les idées essentielles d’une leçon ?
- dans les titres et les sous titres
-dans les mots clefs : soulignés ou en couleurs,
ils sont fondamentaux. Ce sont les outils permettant de penser ou d’exprimer
précisément une idée. On doit en connaître la définition précise et savoir les
réutiliser dans une situation nouvelle.
Apprendre : chaque
élève est unique :
Chacun mobilise son savoir
de façon différente :
- Si vous avez plutôt une mémoire visuelle
-
Apprenez plutôt par écrit
- faites
des fiches,
- mettre
des couleurs dans les leçons car on retient ce que l’on VOIT
-vous
pouvez aussi faire des schémas, des dessins, et des cartes mentales.
- Si vous avez plutôt une mémoire auditive
- Apprenez plutôt à voix haute car on retient ce que l’on
dit.
- Écouter bien en classe
- Raconter sa leçon
- Vous
pouvez vous inventer des chansons
-N’hésitez
pas à répéter vos leçons
jeudi 15 novembre 2018
Les 4 livres sélectionnés pour le prix du roman contemporain
Si vous êtes en 4ème vous pouvez participer à ce prix : vous pouvez vous inscrire par l'intermédiaire de votre professeur de français ou en venant vous inscrire directement au CDI
lundi 15 octobre 2018
vendredi 12 octobre 2018
La pédophilie
La pédophilie, numéro du P'tit Libé N°75 - 12 au 18 octobre 2018
Pédophilie : tu as peut-être déjà entendu ce mot à la télévision, à la radio ou dans la presse écrite, sans savoir exactement de quoi il s’agit. Parce qu’il est important de comprendre qu’un enfant doit être respecté, «le P’tit Libé» a choisi de t’expliquer comment se protéger de ces violences sexuelles. Lis ce numéro avec un adulte pour pouvoir poser les questions que tu souhaites et en parler ensuite si tu as des inquiétudes. La grande majorité des adultes ne sont pas dangereux avec les enfants mais il faut savoir que la pédophilie existe pour faire attention. Si tu as d’autres questions, tu peux aussi nous écrire à leptitlibe@liberation.fr.
Pédophilie : tu as peut-être déjà entendu ce mot à la télévision, à la radio ou dans la presse écrite, sans savoir exactement de quoi il s’agit. Parce qu’il est important de comprendre qu’un enfant doit être respecté, «le P’tit Libé» a choisi de t’expliquer comment se protéger de ces violences sexuelles. Lis ce numéro avec un adulte pour pouvoir poser les questions que tu souhaites et en parler ensuite si tu as des inquiétudes. La grande majorité des adultes ne sont pas dangereux avec les enfants mais il faut savoir que la pédophilie existe pour faire attention. Si tu as d’autres questions, tu peux aussi nous écrire à leptitlibe@liberation.fr.
lundi 1 octobre 2018
Qu'est qu'apprendre ?
Apprendre n’est pas
seulement mémoriser par cœur ! L’important pour apprendre est d’abord de comprendre. C’est aussi de penser à
l’importance de ce que l’on mémorise, donc d’avoir le désir de le faire.Travailler les erreurs est une très bonne façon
d’apprendre. Il est important de comprendre ce qui n’a pas marché pour essayer
autrement.
Apprendre c’est donc :
▶Comprendre et mémoriser : on apprend à partir de ce qu’on sait déjà
▶Utiliser et partager : on mobilise des savoirs
▶Se tromper et dépasser
l’erreur : on se remet en question.
Apprendre pour rester
maître à bord !
Tout se joue en cours !
Afin de mieux mémoriser les
leçons à apprendre, il faut
- Être attentif en classe (ne pas arriver fatigué ; se coucher tôt).
- Écouter et participer en répondant aux questions
- Demander des explications
pour bien comprendre
-Soigner son cahier : écrire lisiblement, mettre des couleurs pour
mieux se relire, prendre le cours correctement et entièrement.
- Ne pas effacer les erreurs. Elles permettent de progresser. Je dois
les corriger en vert.
mercredi 19 septembre 2018
lundi 3 septembre 2018
mercredi 18 juillet 2018
lundi 25 juin 2018
lundi 14 mai 2018
lundi 26 mars 2018
dimanche 4 mars 2018
lundi 19 février 2018
Le temps des Amours, Marcel Pagnol
Marcel
Pagnol est né le 28 février 1895 a Aubagne et il est mort le 18
avril 1974. Il était écrivain, dramaturge et cinéaste du XX°
siècle. Il est le fils de Joseph Pagnol, un
instituteur et Augustine Lansot, une couturière.
Marcel est
le fils aîné d'une famille de 4 enfants, c'était une
personne comblée. Il avait tout, la gloire d'abord ce qui ne le
dérangeait pas pour qu'il puisse s'amuser car c'est ce qu'il
souhaitait. L'amusement ne l'a pas empêché de gagner de
l'argent et ça, il en a gagné.
Moi
j'ai lu "Le temps de amours", un livre qu'il a écrit entre
1959 et 1962 mais qui n'avait pas été publié directement. Ce livre
raconte les années de collège de Marcel. Il y a dans ce livre
toutes ses aventures, ses rencontres, ses bêtises etc.
C'est
une histoire qui raconte ses années de collège, la fondation de
l'organisation secrète, le jeu du pendu... Certaines choses virent à
la catastrophe. Vu que Marcel est boursier, il doit un avoir un bon
comportement mais il va avoir une heure de colle et c'est son ami
Lagneau qui va le sauver avec sa technique secrète qui
peut-être cessera de fonctionner... Lagneau va à son tour se
faire sauver par Marcel qui se fera passer pour un héros. Cette
histoire raconte également la découverte à Marcel de son amour
pour la poésie.
C'est
un livre que j'ai aimé mais ce n'est pas celui que je préfère.
J'ai beaucoup aimé la complicité entre Lagneau et Marcel mais je
n'ai pas vraiment aimé le comportement de Lagneau. N'aurait-il
pas pu éviter toutes ces bêtises pour sa mère et sa
tante et puis pourquoi sa mère et sa tante ne réagissent pas?
Certes, le père à Lagneau est sévère mais sa mère et
sa tante auraient pu avoir un peu d'autorité pour qu'il n'en soit
pas ainsi et pour que dès le début Lagneau aie le comportement
qu'il a adopté juste après que Marcel l'aie sauvé. Et puis
même, on dirait qu'elles ont peur du père.
Dans
ce livre, mon personnage préféré est Yves car j'ai pris
plaisir à lire les deux chapitres dans lesquels il apparaît,
"le coup de foudre de l'amitié" m'a beaucoup plu dommage
qu'on en sache pas plus sur lui. Enfin, c'est une histoire avec un
peu d'humour tout de même et qui vaut la peine d’être lue.
Stella Ovsepian
« Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela
J’ai
lu « Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela
publié aux éditions de Little, Brown and Compagny.
Nelson
Rolihlahla Mandela était avocat avant de devenir Président de l’ANC
(Africain National Congress) et Président de l’Afrique du Sud. Né
le 18 juillet 1918 à Mvezo au Transkei et mort le 5 décembre à
Johannesburg. Il eut une enfance heureuse bordée d’insouciance
malgré la pauvreté et l’isolement de Qunu, son village. Il fait
partie de la tribu des Thembus, d’où son nom de clan « Madiba »
en xhosas. Son père, Gadla Henry Mphakanyiswa est chef du village et
sa mère, Noseki Fanny, est fermière. Suite à la mort de son père,
pour un avenir prometteur et une meilleure éducation, il est confié
au régent de son peuple. Au cours de son parcours scolaire, du
premier banc d’école à l’université mondaine de Fort Hard, on
peut ressentir le poids que la suprématie blanche exerce par le
biais de son éducation, son enseignement et sa doctrine britannique.
Ce
livre autobiographique est source de faits historiques. Il raconte la
vie d’un combattant de la liberté, rythmée par les interdictions
de la loi d’apartheid. En ayant été contraint de franchir des
étapes toujours plus lourdes de conséquences et pourtant
indispensables à la poursuite du combat. Avocat, clandestin,
prisonnier, négociateur puis Président, M.Mandela nous fait rendre
compte de sa prise de conscience progressive sur l’importance de la
lutte anti-apartheid et de son engagement personnel.
Ce
que j’en pense
Dans
ce livre, mon personnage préféré est Nelson Mandela dont le
courage, la détermination, l’intelligence, le sens du sacrifice et
la sagesse ont permis de faire du peuple africain un seul et même
mouvement, une seule et même nation. Tout au long de la lutte, il a
fait preuve d’une grande humanité et ce, même au cours des heures
les plus sombres. Il a su en tirer profit pour la transmettre à son
peuple et le tirer d’une violence et d’une oppression majeure.
Suite à cela, je me suis posé bon nombre de questions, en voici
quelque-unes :
-« Pourquoi
l’Occident n’a pas réagi dès la mise en place de la politique
et des lois d’apartheid ? »
-« Pourquoi
ce combat vers la liberté a pris autant de temps sachant que les
raisons de lutter étaient si vitales, évidentes et légitimes ? »
-«
Pourquoi les communistes ont inspiré tant de méfiance de la part
du gouvernement africain et encore aujourd’hui, dans notre pays ? »
Grâce
à ce récit, j’ai pris conscience de l’importance qu’a la
politique dans la société et sa dangerosité si elle n’est pas
bien maniée. On peut aussi se rendre compte de la manière qu’elle
a de dessiner son pays et de tenir en laisse la mentalité d’un
peuple. Je considère ce livre comme l’une des œuvres littéraires
les plus importantes en vue d’enrichir la culture générale de
chacun. Je conseille ce livre pour tous ceux qui ont soif de liberté,
qui veulent espoir et humanité et qui en recherchent une preuve.
Inès
Aggairi
Le cri de la mouette, Emmanuelle Laborit
Le
cri de la mouette, écrit par Emmanuelle Laborit, parut en 2003 et
édité aux éditions « POCKET Jeunes Adultes », est une
autobiographie qui parle du monde des sourds.
Emmanuelle
est née sourde. Les 7 premières années de sa vie ne sont que des
anecdotes, des flashs car elle ne comprenait pas le monde qui
l'entourait. Lorsqu'une porte se ferme ou quand on tape des mains,
elle y prête attention. C'est le frère aîné de son père qui
dit :« Emmanuelle crie parce qu'elle n'entend pas »
Ses parents l’emmenent chez un spécialiste à l'âge de 9 mois,
qui leur dit qu'Emmanuelle est sourde. Ils ne veulent pas y croire
mais doivent se rendre à l'évidence. Si elle réagissait au
claquement de porte, c'était dû aux vibrations du sol. Le temps
passe, Emmanuelle a sept ans, son père entend parler à la radio de
« la langue des signes ».Il décide donc d'emmener sa
fille à Vincennes pour apprendre cette « langue ». Plus
tard, sa petite sœur,Marie, naît.Emmanuelle
part avec ses parents à Washington
pour
découvrir la façon de vivre des sourds américains. Elle y apprend
notamment comment dire « Marie » en langue des signes.
À
onze ans, elle rentre en sixième aux cours Morvan mais il y est
interdit de s'exprimer en langue des signes. La jeune fille est
révoltée, tout ce temps passé à apprendre la langue des signes
pour ne pas pouvoir l’utiliser !
À
treize ans, Emmanuelle décide de ne plus travailler, pas d'accord
avec tout ce qui se passe. Dominée par l’adolescence, elle veut
trouver l’amour et fait la connaissance d'un jeune homme sourd avec
qui elle va sortir. Elle échange avec lui son premier baiser. Mais,
cet amour s'achève lors d'une fête quand Emmanuelle le trouve avec
une autre fille. Elle commence à rentrer de plus en plus tard, à
faire l’école buissonnière. Elle et son père ne s'entendent
plus. Plus tard, ses parents divorcent. Emmanuelle continue les
fêtes, les cigarettes, l’alcool, la drogue, mais après avoir
dépassé les limites, elle cesse de faire des bêtises.Elle se
dirige vers l’avenir et commence à faire du théâtre et tourne
dans un film. Sa mère ne lui cesse de lui répéter cette phrase :
« passe ton Bac d’abord ». Elle essaye alors de le
passer.
On
lui propose un implant
cochléaire à
placer dans l’oreille interne et qui lui permettrait d’entendre.
Mais elle refuse car elle veut rester comme elle est. Elle tente de
passer son Bac une deuxième fois et l’obtient. Elle joue alors
dans une pièce de théâtre,Les
Enfants du silence où
elle est sélectionnée aux Molières et
remporte le Molière
de la révélation théâtrale devenant
la première personne sourde à en gagner un.
Ce
que j'en pense
J'ai
bien aimé ce livre même si ce n'est pas mon style de livre. Par
contre, mon personnage préféré est le père d'Emmanuelle car on
s'attache à lui. On se rend compte qu'il a fait beaucoup de chose
pour sa fille comme l'aider à apprendre la langues des signes ou lui
faire découvrir d'autres horizons.
Danlloba
Fofana
"On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans" de Barbara Samson
J'ai
lu "On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans" de
Barbara Samson, publié aux éditions Fixot.
Barbara Samson est une écrivaine,
née le 7 février 1975 à Chartres, en France.
Barbara est la cadette d'une famille de
trois enfants. Elle a eu une adolescence difficile auprès de ses
deux parents.
Ce récit est une autobiographie
racontant la vie mouvementée de Barbara Samson : une adolescente de
dix-sept ans un peu paumée et en quête d'amour et qui, selon elle,
n'en reçoit pas assez. Ce livre répond à toutes les questions et
les petits tracas qu'on se pose à l'aube de l'âge adulte.
Le livre raconte surtout le quotidien
d'une adolescente anorexique envoyée dans une clinique pour qu'elle
s'alimente mieux. Malheureusement, elle croise le chemin d'Antony,
qu'elle croit être l'amour de sa vie. Amadouée par ses jolis
mots et ses poèmes d'amour, elle commet une tragique faute en lui
offrant sa virginité.
Dans cet ouvrage, mon personnage
préféré est la mère de Barbara, elle est présente dans une bonne
partie du livre, cela m'a permis de mieux la connaître. J'aime
l'amour désespérée qu'elle porte à sa fille, sa patience devant
une adolescente difficile et parfois méchante,et sa persévérance
pour comprendre et sortir sa fille de la pagaille. Ce personnage m'a
vraiment touchée malgré ses excès de colère. Je me suis remise en
question, j'ai réalisé que nos parents voulaient notre bien avant
tout.
Ce livre fait vraiment réfléchir les
adolescents comme nous. Il dénonce une triste vérité qui existe
encore de nos jours, il nous fait comprendre qu'on ne se protège
pas seulement pour nous mais aussi pour les autres. Je
recommande ce livre, il fait comprendre l'ampleur d'une bêtise d'une
nuit,ce qu'on ne comprend pas réellement en cour d'SVT...
C.Marcadal
« Vipère au poing » d’Hervé Bazin
Hervé
Bazin, de son vrai nom Jean-Pierre Hervé Bazin, était écrivain et
poète français du XX ème siècle. Né le 17 avril 1911 à Angers
(France), mort le 17 février 1996, il passe son enfance dans le
Maine-et-Loire à Marans aux côtés de son père Jacques Hervé
Bazin, avocat et enseignant durant plusieurs années à l’université,
et de sa mère Paule Guilloteaux mais aussi de ses deux frères. En
opposition constante avec sa mère, il enchaîne les fugues pendant
son adolescence et refuse de passer les examens à la faculté
catholique de droit d’Angers. À l’âge de vingt ans, il
s’éloigne de sa famille et décide d’entrer à la faculté de
lettres. En 1946, il créé la revue « La coquille »
et en 1947, il obtient le prix « Apollinaire » pour
« Jour ». Les souvenirs douloureux de son enfance lui
inspirent le roman « Vipère au poing » en 1948. Grâce à
cette œuvre, il obtient le grand prix de littérature de Monaco en
1957. Enfin, Hervé Bazin devient membre de l’Académie Goncourt en
1960 et en devient le président en 1973 .Ce livre est
autobiographique. Dedans, il y raconte l’ensemble de sa jeunesse
mais surtout il nous fait part des conflits qu’il a eus avec sa
mère qu’il appellera « Folcoche ».
Le
livre commence lorsqu’Hervé Bazin a une dizaine d’années.Il vit
aux côtés de sa grand-mère qu’il trouve gentille, juste et sage.
Hélas, la mort de cette dernière et l’arrivée de ses parents
vont tout bouleverser. Il va vite comprendre que la vie heureuse et
paisible qu’il menait jusqu’à présent est révolue. En effet,
leur mère leur impose des horaires à ne pas dépasser, des règles
plus farfelues les unes que les autres sans oublier qu’elle leur
demande aussi de respecter et de suivre scrupuleusement un emploi du
temps. Pour Hervé Bazin, c’est le début d’un long combat
puisqu’il choisit de s’opposer à sa mère qui va lui faire subir
les pires brimades.
Ce
que je pense
Dans
ce livre mon personnage préféré est Mlle Lion, la gouvernante.
Bien qu’elle fasse de brèves apparitions dans cette
autobiographie, je la trouve très attachante dans sa façon d’être.
C’est une femme bienveillante qui aime s’occuper des enfants,
d’ailleurs, elle leur donne l’amour dont leur mère les prive. De
plus, affectueuse avec les enfants Rezeaux, elle n’hésite pas à
rétablir la vérité et à prendre leur défense contre leur mère
lorsque cette dernière les accuse injustement d’avoir commis une
bêtise. Malheureusement, elle sera renvoyée.
Durant
ma lecture, je me suis posé cette question : « Aujourd’hui
le statut social permet-il encore d’imposer sa supériorité aux
autres ? ». En effet dans l’autobiographie, la famille
d’Hervé Bazin use et abuse de leur position sociale pour dominer.
Critique
Pour
ma part, « Vipère au poing » retrace bien la jeunesse
d’Hervé Bazin. Grâce à la finesse de ses mots et à sa
précision, on peut facilement se rendre compte de l’évolution de
l’auteur depuis son enfance jusqu’à la fin de son adolescence.
Avec toutes les anecdotes dont fait part l’auteur dans son livre,
on peut ressentir les sentiments qu’éprouvait le personnage et
mieux comprendre son état d’esprit ainsi que ses relations
compliquées avec sa mère. Ce livre autobiographique est pour moi
complet et riche, autant en vocabulaire qu’en émotions.
Laura
HOFFMANN
" J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir" de Christine Arnothy
Christine
Arnothy est une autobiographe. Elle raconte
son histoire pendant la 2éme guerre mondiale ( 1939-1945 ) dans un
livre intitulé : " J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir" ,
suivi de : " Il n'est pas si facile de vivre". Elle
est née en à Budapest en Hongrie, en 1930. Christine, depuis toute
petite, aimait la littérature et la langue française.
La
première partie:" J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir"
.
Lors
de cette partie, Christine n'avait pas plus de quatorze ans.
L'auteur, nous raconte à travers son journal sa vie pendant deux
longs mois dans les caves. Christine, sa familles et ses voisins ont
dû se réfugier dans des caves pour se protéger des bombardements
des Allemands et des Russes. Dans son journal, elle se livre sur ses
peurs, ses envies.. On comprend alors, que la seconde guerre mondiale
atteint toute l'Europe et non juste l’Angleterre, la France ou
l'Allemagne.
Quand
les Allemands sont enfin partis, l’ambiance en Hongrie pèse
toujours. L’ambiance est délétère. Donc elle et sa famille
décident de partir du pays grâce à un passeur... Mais ils vont
vite comprendre que ce n'était pas forcément la meilleure
solution...
Je
trouve cette première partie émouvante, passionnante, et très
instructive.
La
deuxième partie est: " Il n'est pas si facile de vivre"
La
seconde partie se passe deux ou trois ans après. Jeune femme, elle
vit dans la peur et les souvenir de la seconde guerre mondiale. Dans
cette partie, elle et sa famille vont dans un camps pour réfugiés,
le camps de Kulfstein plus précisément. Plus tard, Christine va
partir et va se réfugier en France. Elle vit de petits boulots.
Habituée à vivre plutôt luxueusement étant petite, elle va avoir
du mal à trouver sa place. Pour trouver sa place, Christine va se
servir de son talent pour l'écriture, qui va lui servir pour se
construire un futur plus radieux...
Cette
seconde partie, je l'ai trouvée moins prenante que la première,
mais pour autant toujours émouvante.
Durant
son histoire, on voit bien qu'elle est traumatisée à vie. Pourtant,
elle essaye malgré tout de raconter les faits sans nous traumatiser
et dramatiser les choses. Pour autant ça n'enlève pas la force et
la sincérité de cette histoire.
Cette
histoire je l'ai trouvée passionnante, touchante. Cependant j'ai eu
du mal à me mettre dedans au début. Pour m'y mettre vraiment, j'ai
dû attendre un ou deux chapitres..
J'ai
aussi trouvé cette biographie très instructive, surtout sur la vie
des réfugiés, passionnante, émouvante et ça m'a fait ouvrir les
yeux sur la seconde guerre mondiale..
Chloé
Dubreuil.
« Le Petit Chose » d’Alphonse Daudet

Alphonse Daudet, de son nom de
naissance Louis Marie Alphonse Daudet, naît le 13 mai 1840 à Nîmes
(France) et meurt à 57 ans, le 16 décembre 1897 à Paris. Il était
écrivain français.
Alphonse Daudet est le benjamin d’une
famille de trois enfants dont la mère, Adeline, est la fille d’un
riche négociant et le père, Vincent Daudet, est tisserand et
négociant en soieries.
En 1849 alors qu’Alphonse n’a que 9
ans, la famille Daudet déménage et part s’installer à Lyon,
suite à la faillite du père.
Alphonse fait ses études au lycée
Ampère à Lyon de 1850 à 1855, puis il devient maître d’études
au collège d’Alès. Ces années lui sont pénibles mais c’est de
là que lui vient l’idée d’écrire son premier roman
autobiographique, qui sera « Le Petit Chose ».
En 1858, Alphonse arrive à Paris où
il vivra avec son frère.
Sa mère meurt en 1882 et lui en 1897,
d’une maladie incurable de la moelle épinière.
Ce récit n’est pas entièrement
autobiographique car Alphonse Daudet y rajoute des faits inventés,
tel que la mort de son frère.
Dans « Le Petit Chose »,
Alphonse raconte le temps où la fabrique de son père tenait encore
bon, sa vie à Lyon, ses aventures avec une mystérieuse femme nommée
Irma et enfin la façon dont il est arrivé à vendre de la
porcelaine.
Ce que j’en pense
Dans ce livre, aucun personnage n’a
retenu mon attention mis à part cette fameuse Irma, un personnage
tout à fait détestable. « Cette femme ne cherche qu’à
satisfaire son ego et fait tout en fonction d’elle ; elle
manipule les plus faibles avec de belles paroles et les autres avec
son charme » ; telle a été ma réflexion sur cette femme
(personnage réel, exagéré ou inventé par l’auteur ?) après
avoir lu le livre.
Pour ma part, ce récit n’a pas été
très passionnant ; de plus, j’ai été très déçue
d’apprendre que cette autobiographique était romancée.
Pour résumer, j’ai trouvé ce livre
monotone car dépourvu d’action.
Je pense que ce livre est à réserver
à des lecteurs avertis et non à des lecteurs de fiction.
Lilly Schneider
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