mardi 31 mars 2015

Café philo sur les châtiments corporels

jeudi 26 mars 2015

Notre Une pour le concours "Faites la Une"


Notre démarche :
On ne voulait pas prendre que des faits divers. Pas faire comme les journaux télévisés: c'est d'ailleurs le sujet de l'édito. De plus, les espèces en voie d' extinction ne font pas la une, pas plus les éléphants que les abeilles. Pour les quotas laitiers, on a noté que la mesure existerait à partir du1er avril et la manière dont la dépêche était écrite semblait drôle. C'est pourquoi on a fait un dessin de presse.
L'info sur la pédophilie nous semblait importante mais il fallait la traiter de façon grave :le titre indique la peur d'aller à l'école.
Pour le jubilé du pape, l'info a été prise à cause de la photo avec le Pape et le parapluie“arc-en-ciel”, d'où l'idée de la gay pride.
 Enfin,'info sur les demandeurs d'asile est un sujet qui concerne tout le monde, il nous a semblé intéressant de noter la différence de traitement entre les étrangers.

samedi 21 mars 2015

La semaine de la presse est lancée

Le Club presse a installé la radio au CDI : première émission complétement improvisée pour la future radio du collège : Tâche 2 son.  Mardi ça sera au tour des 6e7 et 5ème 7 de faire aussi leurs essais. La 3ème journaliste, va la tester également. La radio est ouverte  au CDI pendant toute la semaine de la presse !

jeudi 5 mars 2015

Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë

Emily Brontë est née en 1818 à Thornton dans le York-Shire. Elle était le cinquième enfant du révérend Patrick Brontë et de Maria Branwell, ses sœurs Maria, Elizabeth et Charlotte l’ayant précédée en 1813, 1815 et 1812, puis son frère Branwell en 1817. Une autre fille, Anne devait venir au monde en 1820, à Haworth, où le pasteur Brontë exerçait désormais son ministère.   Mrs Brontë mourut en 1821, et en 1825 Maria et Elizabeth. Les quatre  enfants survivants se retrouvèrent à Haworth où, sous la houlette de Charlotte, ils commencèrent à écrire : Charlotte et Branwell, les chroniques d’Andria ; Emily et Anne, celles de Gondal. De 1835 à 1845, les trois sœurs s’efforcèrent, sans y réussir vraiment, de gagner leur vie comme professeurs ou comme gouvernantes. Leur rêve était d’ouvrir une école, Emily et Charlotte se rendirent en 1842 à Bruxelles pour s’y perfectionner en français et en allemands. Emily à la fin de son année rentra à Haworth quand à Charlotte elle dut refaire une année. Anne et Emily eut alors sous les yeux le spectacle consternant de la déchéance de Branwell à cause de l’alcool ou de la drogue. Une fois Charlotte de retour, les trois sœurs se tournèrent résolument vers la littérature. Publié à frais d’auteur, le recueil de poèmes d’Emily, Anne et Charlotte, dans lequel la contribution d’Ellis Bel tenait la plus large place, ne se vendit en définitive qu’à deux exemplaires. Loin de se décourager, les sœurs tentèrent leurs chances dans le roman. Les sœurs ont eu plus de chance dans ce domaine, mais Ellis Bell ne devait pas survivre longtemps à son livre. Le 19 décembre 18489, elle s’éteignait, emportée comme les autres membres de la famille par la tuberculose. Branwell l’avait devancée de quelque mois et Anne la suivit au printemps de 1849. Quant à Charlotte, marié en 1854 elle devait mourir enceinte en 1855 après avoir écrit plusieurs romans et préfacé l’édition de 1850 des Hauts de Hurle-vent.

Les Hauts de Hurle-Vent raconte l’histoire Earnshaw , Mr Hareton parti en voyage ramène un bohémien chez lui au lieu de cadeaux pour sa fille et son fils. Toute la famille, choquée, n’accepte pas ce petit garçon du nom Heathcliff mais peu à peu il se lie d’amitié avec Cathy et ils deviennent très proche ce qui ne plait pas forcément à son frère Hindley.   A la mort de leur père Mr Hareton Earnshaw, c’est Hindley qui commande la maison, alors il décide de mettre Heathcliff dans l’écurie avec les chevaux. Il sera maintenant un domestique. Malgré cela Heathcliff et Cathy sont restés très proches jusqu’au jour où il y eut cet accident chez les Linton et qu’elle partit pendant plusieurs semaines. Quand elle revint, elle était changée complétement et ne faisait plus gamine, personne ne la reconnut mais son frère Hindley était content. Avec ses nouveaux amis, elle faisait des blagues de mauvaise foi envers Heathcliff, ce qui ne lui plaisait guère alors il décida de partir. Plusieurs années après, Cathy était mariée avec Edgar Linton...

Mon personnage préféré est Heathcliff même avec tout ce qu’il a vécu, il est resté fort, a réussi à changer et n’a jamais baissé les bras même si à la fin il devient fou après la perte de Cathy. Avant, dans sa vie, il a supporté les travaux durs que lui donnait Hindley et même quand il est parti il est revenu bien plus intelligent avec des connaissances, c’est un exemple il a réussi sa vie.
Emma A. 
J’ai lu « l’écume des jours » de Boris Vian, publié aux édition  « Le livre de poche ». Boris Vian, né le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray et mort le 23 juin 1959 à Paris, est un écrivain français, poète, parolier, chanteur  et musicien de jazz (trompettiste). Il est aussi scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur et peintre.  Boris Vian a aussi abordé à peu près tous les genres littéraires : poésie, document, chroniques, nouvelles. Il a aussi produit des pièces de théâtre et des scénarios pour le cinéma. Sous le pseudonyme de Vernon Sullivan, il a publié de nombreux romans dans le style américain parmi lesquels « J'irai cracher sur vos tombes » qui a fait scandale et a été interdit. Son œuvre littéraire, peu appréciée de son vivant, a été saluée par la jeunesse dès les années 1960-1970. L'Écume des jours en particulier, avec ses jeux de mots et ses personnages à clef, a fait de lui un véritable mythe. Il est désormais un classique qu'on étudie dans les collèges et les lycées.

Le livre commence avec le quotidien de Colin : on voit qu’il a une vie assez aisé, on rencontre ses amis Nicolas : son cuisinier qui est très gentil avec lui et dont il se rapproche tout au long de l’histoire et Chick : un ami qui a des problème financiers. Il aime bien l’aider, ses problème financiers sont dus au fait qu'il achète tout ce qu’il trouve en rapport avec l’écrivain « Jean-Sol Partre ». Colin rencontre une certaine Chloé : il filent le parfait amour mais un jour, un nénuphar lui pousse dans le poumon et les économies de Colin sont soumises à une rude épreuve. De ce fait, il est obligé de travailler pour pouvoir payer les soin de Chloé.
Ce que j’en pense
Dans ce livre mon personnage préféré est Nicolas car il est attachant, il est gentil avec tout le monde. C'’est grâce à lui que Colin a rencontré Chloé. Grâce à ce livre, je me suis demandé comment faire pour se soigner du cancer si on n’a pas de moyens ?, et aussi pourquoi avoir fait cette œuvre dans le style fantastique alors que ce sujet est un sujet grave ? J’aime bien ce livre car j’aime bien les histoires romantiques et je trouve qu’il est très bien écrit car il est facile a comprendre pour tout le monde...
Amélie L.                     

Thérèse Desqueyroux, François Mauriac

J ai lu « Thérèse Desqueyroux » de François Mauriac né le 11 octobre 1885 et mort le 1er septembre 1970 à Paris. Son père s’appelle Jean Paul Mauriac et était un un marchand de bois mort àcause d'un abcès au cerveau . Sa mère s’appelle Claire Mauriac, une héritière.
François a fait des études primaires puis secondaires chez les Marianistes de l'institution Sainte Marie Grand Lebrun. Mais il rate sa philosophie secondaire et il préfère redoubler et refaire son année dans le lycée public de Bordeaux.
Il obtient son baccalauréat en juillet 1904 il se lie d'amitié avec André Lafon. Il commence à découvrir le modernisme puis sa famille l'envoie à Paris avec 10 000 dollars où il construit sa nouvelle vie au début dans une pension. Il se fait virer puis il va dans l’hôtel d’à coté au cinquième étage et il commence à préparer l’école des Chartes qu'il réussit a intégrer pour abandonner et se consacrer entièrement à l’écriture et et à la poésie.
En 1913, il épouse Jeanne Lafon  qu il avait rencontrée lors d'un dîner chez des amis. Elle lui donne son premier fils Claude en 1914 l’année où « la robe prétexte" est publié. Ses autres enfants, Claire, Luce et Jean, naîtront en 1917, 1919 et 1924. Il interrompt sa carrière littéraire pour s'engager dans la Première Guerre Mondiale. Après la victoire, il reprend ses activités.

Ce livre commence par la sortie du Tribunal après le jugement de Thérèse pour avoir essayé d'empoisser son Mari Bernard qui a plaidé en sa faveur pour qu'elle ne soit pas condamnée.
Lors du long chemin pour retourner chez son mari, Thérèse raconte son passé, sa rencontre avec Bernard jusqu'au jour où le drame est arrivé. A ce moment-là,  elle se rend compte qu'elle est arrivée.  Elle a peur puis Bernard l’accueille. Elle essaye de lui parler mais il ne veut pas l’écouter alors il lui interdit tout accès  aux pièces de la maison à part sa chambre où elle devra rester. Elle lui obéit. Plus tard, il lui annonce qu'il part voir leur fille pendant 1 mois. Elle reste dans sa chambre à fumer, elle ne mange plus, ne boit plus. Les serviteurs la traitent de tous les noms jusqu'au jour où elle reçoit une lettre de Bernard qui annonce son arrivée avec une connaissance et son époux. Elle recommence à prendre goût à la vie puis mange jusqu'à son arrivée ou il voit combien elle a maigri. Il commence à fâcher les serviteurs. Un jour il luit dit qu'il la libérerait...
Dans ce livre mon personnage préféré est Thérèse car elle est émouvante, sentimentale. A début, on la croit coupable car elle a un cœur en pierre mais vers la fin du livre, on voit qu'elle est victime de son mari car elle na pas voulu l’empoissonner. Elle l'a fait sans vraiment réfléchir aux conséquences car il la faisait souffrir. A la fin, elle ne voit plus sa fille : ça la déchire de ne plus la voir et je pense que c'est ça qui nous donne envie de lire ce livre. Le début est long et compliqué à comprendre car j'ai eu du mal  mais arrivé à  la fin on dévore le livre sans même s'en rendre compte.
Victoria David