J ai lu « Thérèse Desqueyroux » de François Mauriac né le 11
octobre 1885 et mort le 1er septembre 1970 à Paris. Son père s’appelle Jean Paul Mauriac et était un un marchand
de bois mort àcause d'un abcès au cerveau . Sa mère s’appelle Claire Mauriac, une héritière.
François a fait des études primaires puis secondaires chez les
Marianistes de l'institution Sainte Marie Grand Lebrun. Mais il rate sa
philosophie secondaire et il préfère redoubler et refaire son année dans le lycée
public de Bordeaux.
Il obtient son baccalauréat en juillet 1904 il se lie d'amitié
avec André Lafon. Il commence à
découvrir le modernisme puis sa famille l'envoie à Paris avec 10 000 dollars où
il construit sa nouvelle vie au début dans une pension. Il se fait virer puis
il va dans l’hôtel d’à coté au cinquième étage et il commence à préparer
l’école des Chartes qu'il réussit a intégrer pour abandonner et se consacrer entièrement à l’écriture et et à la poésie.
En 1913, il épouse Jeanne Lafon qu il avait rencontrée lors d'un dîner chez des
amis. Elle lui donne son premier fils Claude en 1914 l’année où « la robe
prétexte" est publié. Ses autres enfants, Claire, Luce et Jean, naîtront en
1917, 1919 et 1924. Il interrompt sa carrière littéraire pour s'engager dans la
Première Guerre Mondiale. Après la victoire, il reprend ses activités.
Ce livre commence par la sortie du Tribunal après le jugement
de Thérèse pour avoir essayé d'empoisser son Mari Bernard qui a plaidé en sa faveur pour qu'elle ne soit pas condamnée.
Lors du long chemin pour retourner chez son mari, Thérèse
raconte son passé, sa rencontre avec Bernard jusqu'au jour où le drame est
arrivé. A ce moment-là, elle se rend compte qu'elle est arrivée. Elle a peur puis
Bernard l’accueille. Elle essaye de lui parler mais il ne veut pas l’écouter
alors il lui interdit tout accès aux
pièces de la maison à part sa chambre où elle devra rester. Elle lui obéit. Plus tard, il lui annonce qu'il part voir leur fille pendant
1 mois. Elle reste dans sa chambre à fumer, elle ne mange plus, ne boit plus. Les
serviteurs la traitent de tous les noms jusqu'au jour où elle reçoit une lettre de
Bernard qui annonce son arrivée avec une connaissance et son époux. Elle recommence à prendre goût à la vie puis
mange jusqu'à son arrivée ou il voit combien elle a maigri. Il commence à
fâcher les serviteurs. Un jour il luit dit qu'il la libérerait...
Dans ce livre mon personnage préféré est Thérèse car elle
est émouvante, sentimentale. A début, on la croit coupable car elle a un cœur en
pierre mais vers la fin du livre, on voit qu'elle est victime de son mari car
elle na pas voulu l’empoissonner. Elle l'a fait sans vraiment réfléchir aux
conséquences car il la faisait souffrir. A la fin, elle ne voit plus sa fille : ça la déchire de ne plus la voir et je pense que c'est ça
qui nous donne envie de lire ce livre. Le début est long et compliqué à
comprendre car j'ai eu du mal mais
arrivé à la fin on dévore le livre sans
même s'en rendre compte.
Victoria
David
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