J'ai lu « l'attaque du moulin » d'Emile Zola,
publié aux éditions Hatier. Emile Zola était un écrivain et journaliste du XIXème et début XXème siècle. Né à Paris le 2 avril
1840, il est mort le 29 septembre 1902. Son vrai prénom est Émile Édouard
Charles Antoine Zola. D'un père italien et d'une mère française, il est fils
unique. Emile Zola, a eu une enfance très bouleversée avec la mort de son père,
mort d'une pneumonie. Sa mère a beaucoup influencé la vie d'Emile. Passionné
de littérature, il enchaîne les lectures et conçoit très tôt, le projet
d'écrire. Émile Zola est recalé par deux fois au baccalauréat des sciences en 1859. Ces échecs le
marquent profondément et il se désespère d'avoir déçu sa mère, sans diplôme.
Après son première amour, la peinture fascine Zola et devient une passion.
C'est à travers ses interventions politiques, que Zola devient marquant. Zola
entre au nouvel hebdomadaire républicain «La
Tribune» . Émile Zola avait préparé depuis
plusieurs semaines un résumé de l'affaire «Dreyfus».«Le Figaro»ayant refusé ses derniers articles afin de conserver son
lectorat, l'écrivain se tourne vers«L’Aurore».
Il termine la rédaction de l'article "J'accuse" dans les quarante-huit heures suivant le
verdict contre Dreyfus. La réaction du gouvernement ne se fait pas attendre, avec
l'assignation d'Émile Zola pour «diffamation». Zola est donc condamné à un an
de prison et à 3 000 francs d'amende. L'histoire d'Emile Zola reste pour
beaucoup un exemple, celle d'un combattant. Bien que ce qu'il écrit, ne plaise pas
à tout le monde, il trouve le moyen de faire partager des aventures assez
tristes.
Le livre commence par de longues
descriptions du moulin du père Merlier, suivies de celles des personnages. Il en
arrive enfin à raconter la guerre qui se déroule au début de la guerre
franco-prussienne en 1870, dans un petit village qui s’appelle Rocreuse. Au
début, il y a le père Merlier, un meunier qui habite avec sa fille Françoise
dans le seul moulin. Une grande fête anime le moulin, et tout le monde sait que
cette nuit-là, le père Merlier va fiancer sa fille à Dominique, un homme belge qui
habite au bord de la forêt de Gagny, une ville proche. Dominique est connu pour
être un paresseux, mais depuis qu’il a demandé au père Merlier s’il pouvait se
marier avec sa fille, il a montré à tout le monde qu’il était un travailleur.
Donc, le père Merlier annonce les fiançailles de Françoise et Dominique au
début de l’histoire. La date du mariage est fixée pour la fête de Saint-Louis,
le 25 août. Mais les gens parlent de la guerre avec des Prussiens qui pourrait
arriver à Rocreuse. Finalement, un mois plus tard, les Prussiens arrivent
et attaquent le moulin…
Ce que je pense,
Les histoires classiques ne m'ont
jamais vraiment plu. Je trouve qu'il y a trop de descriptions, c'est
vraiment dur à suivre, et long pour se mettre dans la lecture, mais quand les
prussiens arrivent, c'est vrai que l'histoire devient plus intéressante : j'aime
les histoires avec de l'action. Mais ça
n'empêche vraiment pas que l'histoire soit bien. Avec une fin triste mais assez
ironique concernant le capitaine français, qui à la fin nous crie
« VICTOIRE », alors qu'un drame vient de se produire. L'action
m'a fait aimer cette nouvelle, sinon je
pense que je n'aurais pas aimé du tout. C'est une nouvelle qu'il faut lire. Elle
apporte beaucoup de choses, sur les émotions pour ceux qui sont sensibles.
Je conseille ce livre, même si
l'histoire commence à être intéressante à partir du 3ème chapitre, les deux
premiers valent quand même la peine d'être lus pour suivre l'histoire.
Alizéa
Bouchenez
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