J'ai lu « Le dernier jour d'un condamné » de
Victor Hugo publié aux éditions Librio. Victor Hugo était écrivain, romancier,
poète, dramaturge, pamphlétaire, sénateur, dessinateur... Il est né en février 1802 en France et est mort en 1885 en France à 83 ans. Il eut une enfance
compliquée mais son avenir a tout fait changer. Sa mère est morte en juin le 27
1821. Son père s'est remarié très vite avec Adèle Foucher une amie d'enfance,
le 12 octobre 1822 Elle lui donne 5 enfants.
Le livre commence par une phrase qui va faire le livre : "Condamné à mort!" Au début on ne sait pas grand-chose de ce personnage, Il raconte son histoire. Dans le livre, Victor Hugo utilise le pronom "je" en parlant du prisonnier. Dans les premiers chapitres, on se rend compte que le condamné se pose mille et une questions et qu'il doit trouver les réponses par lui-même. Il fait mention de sa femme, sa mère et sa petite fille Dans un chapitre (XVI) il y a une chanson qui était pour lui vraiment très triste et tellement effrayante.
Le livre commence par une phrase qui va faire le livre : "Condamné à mort!" Au début on ne sait pas grand-chose de ce personnage, Il raconte son histoire. Dans le livre, Victor Hugo utilise le pronom "je" en parlant du prisonnier. Dans les premiers chapitres, on se rend compte que le condamné se pose mille et une questions et qu'il doit trouver les réponses par lui-même. Il fait mention de sa femme, sa mère et sa petite fille Dans un chapitre (XVI) il y a une chanson qui était pour lui vraiment très triste et tellement effrayante.
Ce que j’en pense.
Ce livre m’a vraiment fait réfléchir, tous les « criminels »
ne sont pas fous en prison. Ils se rendent compte de leurs actes et évoluent pour certains.
Accompagner ce malheureux jusqu’au dernier jour de sa vie,c’est triste ! Mon
personnage préféré, c’est le condamné bien-sûr. On ne sait pas sa vie, on ne
connait pas son crime, au final on ne sait même pas si il en a fait un… Il veut
faire partager ses émotions et à la fin on se rend vraiment compte qu’il
va vraiment mourir, que, pour de bon, on ne pourra plus l’accompagner et lui
prendre la main pour qu’il parte de là. Il
se rend compte (vers la fin) qu’il ne pourra plus jamais revoir sa petite
fille, qu’il ne pourra plus revoir son visage, lui faire de bisous… C’est
triste… Ce livre vaut la peine d’être lu, il faut aller au-delà des cinq premiers
chapitres pour accrocher avec le reste de l’histoire, je le recommande fortement.
Emmanuelle Goossens.
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