J'ai aimé ce livre "Le dernier Jour D'un condamné
" de Victor Hugo, publié aux Éditions Pocket. Victor Hugo est un poète ; il est considéré comme l’un des plus
importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité
politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du XIXe
siècle. Né à Besançon le 26 février 1802 et mort le 22 mai 1885 à Paris.
Victor Hugo est le fils du général
d'Empire Joseph
Léopold Sigisbert Hugo (1773‑1828), créé comte et de Sophie
Trébuchet (1772‑1821), jeune
femme issue de la bourgeoisie nantaise. Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798‑1855) et Eugène Hugo (1800‑1837), il passe son enfance à Paris. De fréquents
séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations
militaires de son père. Vers 1813, il s'installe à Paris avec sa mère qui s'est
séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, parrain et précepteur de Victor Hugo auquel il donne son prénom. Ce court
récit, dense et vif comme un coup de poing, un jeune homme nous fait partager
heure par heure les ultimes moments de sa vie.
Le livre commence par une préface de Murielle Szac, qui
nous donne les convictions de Victor Hugo sur la peine de mort. L’histoire se
passe dans les grandes prisons de Paris, pendant un temps assez court, cinq
semaines, ou le personnage qui est ordinaire, semble cultivé. Il ressent ce que
tout homme dans cette situation doit ressentir : la peur, la colère, le
remord… jusqu’à la fin, il espère, sans trop croire à la grâce royale qu’il
n’aura jamais. Il a une mère, une femme dont il parle peu. Mais il parle de sa
fille Marie quatre ans, qui vient lui rendre visite avant son exécution, mais
elle ne le reconnaît pas elle croit que son père est mort. Il raconte aussi sa
première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille qu’il a connue enfant. On ne
sait rien sur son crime, il est croyant mais pas assez pour y trouver du
réconfort. Le temps passe, avec des souffrances physiques comme le ferrage des forçats, et aussi morales.
Attendre cette mort, viendra-t-elle ?
Ce que je pense de ce récit. Ce récit est un peu monotone, à la
fin du livre l’émotion fait place à la colère. Le condamné, est un personnage attachant,
simple, ni héros, ni voyou, il connaît le latin, donc il est certainement
cultivé. Je me rends compte qu’après la lecture de ce livre, mon avis contre la
peine de mort est renforcé, Victor Hugo à fait de ce condamné un condamné comme
tous les autres, il ne faut pas s’attacher à lui, car la peine de mort est
cruelle pour tous.
LOLA CROIZON
3ème1
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