dimanche 2 décembre 2012

« Au Bonheur des Dames » d’Emile Zola


   J’ai lu « Au Bonheur des Dames » d’Emile Zola qui fut publié en 1883. Emile Zola nait à Paris le 2 avril 1840, et est trouvé mort, chez lui, à Bruxelles le 29 septembre 1902. C’était un grand écrivain français. Après avoir abandonné ses études scientifiques, il vit alors dans la pauvreté. Mais de 1862 à 1866, il publie son premier ouvrage dès ses 24ans. Il devient ensuite journaliste. Avant sa mort, il écrira plus de 31romans dont « Au Bonheur des Dames » qui est un roman à l’histoire sentimentale, mais qui parle aussi des boutiques de Paris, ce qui rend la lecture passionnante !
   Le début du livre nous présente Denise, qui venait de perdre ses parents. Celle-ci quitte sa ville, Valognes, d’où elle est originaire avec ses deux frères. Elle débarque à Paris, chez son oncle. Elle devra ensuite trouver un travail pour pouvoir payer la pension des ses frères, Jean  âgé de 16ans et de Pépé, âgé de 5ans. Puis par la suite du récit, on va découvrir le lieu de travail de Denise, « Le Bonheur des Dames », une grande boutique magnifique aux prix bas. C’est un grand magasin très réputé pour ses bas prix mais aussi pour des pièces de soie venant du « Paris Bonheur ». Après ce long chapitre descriptif, on découvre Mouret, le grand directeur du Magasin. Celui-ci éprouve des sentiments envers la jeune vendeuse, Denise. Ces sentiments, qui vont se faire savoir dans toute la boutique, vont être causes de nombreux désastres...  Mais au fil du temps, l’amour devient réciproque, et va faire encore beaucoup de dégâts.. . Denise, qui craque, démissionne. Un jour, alors qu’elle s’occupe de ses deux frères comme une mère, Mouret la convoque. Fortement déçu par son départ, l’homme essaye de la faire revenir, et la demande en mariage. Un mariage aura donc lieu..
   C’est un livre vraiment bien, on découvre un peu les premiers  « business » entre les commerçants. Moi, mon personnage préféré, c’est le personnage principal, c’est Denise. Je l’a trouve vraiment forte moralement, elle travaille pour les conditions de vie de ses frères, alors qu’elle vient de perdre ses parents et elle ne se fait jamais plaisir, elle travaille et c’est tout. Ce livre est vraiment bien. Il a un langage soutenu, et j’ai trouvé ça plutôt amusant, parce que c’est quand même rare de voir ça dans les livres. Moi je dis, qu’il vaut la peine d’être lu !
Margaux Davignon.

Aucun commentaire: