« L’étranger »
est le livre que j’ai lu d’Albert Camus publié aux éditions Gallimard en 1942.
Albert Camus est né le 7 Novembre 1913 à Mondovi situé en Algérie, et est mort
le 4 janvier 1960. C’était un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge,
essayiste et nouvelliste français, mais c’était aussi un journaliste lors de la
Résistance et après la guerre. Il reçoit le prix Nobel de littérature. Lucien
Auguste Camus était le père d’Albert, il travaillait comme caviste dans le
domaine viticole. C’est ensuite qu’il épouse Catherine Hélène Sintès qui
deviendra la mère d’Albert en 1909. Ils auront ensuite leur premier fils Lucien
Jean Étienne qui sera le frère d’Albert.
En 1914, un an après la naissance d’Albert, a eu lieu la mort de son père qui
fut blessé lors de la bataille de la Marne. Après ce massacre, Albert apprend
que sa mère est sourde et ne sait ni lire ni écrire. Par la suite Albert Camus
se fera influencé par son oncle Gustave Acault, un anarchiste qui fréquentait
beaucoup les loges des francs-maçons. Il était boucher de métier et était un
homme très cultivé. Pour aider Albert à subvenir à ses besoins il lui fournit
une bibliothèque riche et éclectique. Albert poursuivra alors ses études à
Alger. C’est en allant au lycée qu’il commence à pratiquer le football mais
aussi la philosophie. Malheureusement, en 1930, il apprend qu’il a la
tuberculose et dois se faire opérer. C’est seulement en 1935 qu’il commence
l’écriture de « L’Envers et l’Endroits », il devient ensuite rédacteur en
chef au journal Alger Républicain, organe du Front populaire durant cette
période. C’est alors qu’il publie l’Etranger. C’est un roman écrit à la première
personne du singulier qui permet au lecteur de rentrer dans l’univers d’Albert.
Il permet une vraie complicité et un lien avec le lecteur.
Le livre a
un début assez descriptif der la vie du héros M. Meursault. Cet homme apprend
le décès de sa mère qui l’avait placée dans un asile à Marengo. Ce gros
chamboulement dans sa tête a aussi chamboulé sa vie. 9a commence par une
description des sentiments de Meursault qui ne parvient à dire ce qu’il ressent ;
il reste comme « neutre ». Il rencontre ensuite une femme Marie, qui
lui fera en quelque sorte changer ses idées. Il échange des sentiments avec elles
mais ne lui dit rien, il se contente de ce qu’elle lui propose. Suite à
l’enterrement de sa mère, son voisin de palier lui parle. Avec le temps, ils
deviennent « copains ». Raymond son voisin de palier, lui demande
quelque services pour des histoires qu’il rencontre ce qui entraine
M .Meursault dans de nombreuses histoires avec des arabes, en liens avec
Raymond. Ce qui lui causera des problèmes à l’avenir.
Ce que
j’en pense
Dans ce
livre j’ai préféré comme personnage Marie car c’est une personne qui va
vraiment s’intéresser Meursault. Elle apporte vraiment un sens à cette
histoire, pour moi elle a un rôle important parce que, non seulement elle va
faire donner des sentiments à Meursault mais aussi lui « remonter le moral »
en quelque sorte. Marie est aussi d’une personnalité douce et attentive et cela
m’invite à plus en savoir sur elle.
Une
question m’est venue à l’esprit lors de la lecture de ce roman: « Faut-il
vraiment aider une personne quand elle demande de l’aide, au risque d’être
emmené dans un problème ? »
Je trouve
que ce livre est plutôt une petite leçon de morale sur l’entraide. Au début je ne
pensais pas que ce livre était intéressant mais au fur et à mesure j’ai trouvé ça
informatif. J’invite les personnes à le lire mais un conseil : il ne devient
vraiment intéressant qu’à partir du Chapitre II …
Camille
Poirault
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