Chargé de cours dans les universités lyonnaises, Didier
Langlois partage son temps entre l’enseignement et l’écriture. Après une
incursion dans le multimédia où il conçoit le cd-rom Madame Bovary, il revient
à l’écriture de nouvelles avec un recueil intitulé Les chevaux de Lagoda
(Agandid éditeur). Il voue une passion à Gustave Flaubert. Il a écrit aussi La
griffe du tigre, grâce auquel on retrouve six histoires d’arts
martiaux.
Résumé
En Russie, dans un petit village entre Saint Pétersbourg et
le lac Ladoga, tout près de la Neva, vit une famille connue et très respectée,
les Ostrapov. Ils possèdent l’un des plus beaux haras du monde. Ils ont repéré
et acheté des purs sangs arabes. Au XVIII ème siècle, personne ne voulait de ces
chevaux car ce n’était pas la mode d’en faire l’élevage. Un jour, Yvan et
Natacha Ostrapov furent les heureux propriétaires du haras renommé. Ils avaient
une fille unique Bourka qui allait avoir dix ans. Elle voulait un cheval à la
robe blanche, mais ses parents lui avaient dit « à partir de dix ans ».
Quand elle eut dix ans, ses parents lui offrirent donc un magnifique cheval
blanc qui avait une étoile blanche. Elle appela son cheval SIVKA.
J’ai choisi Bourka
comme personnage préféré. Elle est blonde, elle a dix ans. C’est une battante,
elle veut gagner des coupes, elle est gentille. Elle monte presque tout le
temps, elle fait des concours. Elle se sent bien avec les autres surtout avec
ses parents. Elle va à l’école, elle fait bonne impression sur les autres. Je
l’ai choisie car je suis un peu comme elle, j’adore les chevaux et je les
monte.
J’ai aimé ce livre car il parle de chevaux, l’histoire n’est
pas trop longue, il y a du mystère etc. Mon passage préféré : « On peut dire que je t’ai attendu,
Sivka, lui murmura-t-elle au creux de l’oreille. » Je l’ai choisi car
j’ai été émue et à la fois contente.
Chloé Benaitier
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