Dans l’actualité, on parle beaucoup du droit à l’image, dernièrement la photo de Laure Manaudou à la Une de L’Equipe, qui en fait était celle d’une inconnue, a remis en débat ce thème. Dans la presse people, beaucoup d’images sont volées par des paparazzi qui vendent leurs photos très chères.
Est ce que pour être publié dans les journaux, chaque visage doit être autorisé ?
Pour Léa, c’est exagéré, et Agathe précise que, par exemple, dans une photo de foule, c’est difficile de demander une autorisation à chacun. Ça pose aussi le problème du droit à l’information.
Pourtant, pour Eléonore, quand une seule personne est seule sur une image, on doit lui demander son autorisation, car une photo dans la presse peut avoir des effets sur la vie privée de quelqu’un.
Mais quand on se met dans la sphère publique ne doit-on pas accepter les conséquences, répond un participant à Eléonore ?
Eléonore : « si quelqu’un fait une manif, qu’il fait la une du journal et que son patron voit, il peut le virer »
Mais une société où tout est floutée, c’est une société où la démocratie va mal.
Maxence rappelle, que les enfants sont souvent floutés, et parfois des gens qui font des témoignages sont affublés de perruques ou de lunettes noires. Pour Vinciane si on choisit de témoigner, on doit accepter de montrer son visage. Et pour Pierre, si on ne voit pas le visage on y croit moins, ça peut-être un faux témoignage.
Par exemple, on se souvient des salariés sans papiers en grève qui ont choisi de manifester à visages découverts, alors qu’ils risquaient plus que leur emploi, mais également leur expulsion.
Autre manière d’envisager la question, le fait qu’aujourd’hui, à cause des moyens techniques, notre image nous échappe : soit parce qu’elle peut être transformée, mais aussi démultipliée à outrance grâce aux moyens de communication.
Pour Eléonore, il y a des choses acceptables et d’autres pas.
Mais le respect du droit à l’image n’est pas tout à fait le même selon qu’il concerne les plus riches ou les pauvres. Par exemple, des journalistes de France 3 se sont permis de monter une femme qui récupère des denrées à la fin des marchés alors qu’elle n’était pas d’accord. Peut-être que, s’ils ont fait ce choix, c’est qu’ils savaient qu’elle n’avait pas les moyens de porter plainte. Après le reportage, ses amis et certains membres de sa famille ne voulaient plus lui parler. Pour eux ce sont des images pour un soir, pour elle, c’est sa réputation…
Est ce que pour être publié dans les journaux, chaque visage doit être autorisé ?
Pour Léa, c’est exagéré, et Agathe précise que, par exemple, dans une photo de foule, c’est difficile de demander une autorisation à chacun. Ça pose aussi le problème du droit à l’information.
Pourtant, pour Eléonore, quand une seule personne est seule sur une image, on doit lui demander son autorisation, car une photo dans la presse peut avoir des effets sur la vie privée de quelqu’un.
Mais quand on se met dans la sphère publique ne doit-on pas accepter les conséquences, répond un participant à Eléonore ?
Eléonore : « si quelqu’un fait une manif, qu’il fait la une du journal et que son patron voit, il peut le virer »
Mais une société où tout est floutée, c’est une société où la démocratie va mal.
Maxence rappelle, que les enfants sont souvent floutés, et parfois des gens qui font des témoignages sont affublés de perruques ou de lunettes noires. Pour Vinciane si on choisit de témoigner, on doit accepter de montrer son visage. Et pour Pierre, si on ne voit pas le visage on y croit moins, ça peut-être un faux témoignage.
Par exemple, on se souvient des salariés sans papiers en grève qui ont choisi de manifester à visages découverts, alors qu’ils risquaient plus que leur emploi, mais également leur expulsion.
Autre manière d’envisager la question, le fait qu’aujourd’hui, à cause des moyens techniques, notre image nous échappe : soit parce qu’elle peut être transformée, mais aussi démultipliée à outrance grâce aux moyens de communication.
Pour Eléonore, il y a des choses acceptables et d’autres pas.
Mais le respect du droit à l’image n’est pas tout à fait le même selon qu’il concerne les plus riches ou les pauvres. Par exemple, des journalistes de France 3 se sont permis de monter une femme qui récupère des denrées à la fin des marchés alors qu’elle n’était pas d’accord. Peut-être que, s’ils ont fait ce choix, c’est qu’ils savaient qu’elle n’avait pas les moyens de porter plainte. Après le reportage, ses amis et certains membres de sa famille ne voulaient plus lui parler. Pour eux ce sont des images pour un soir, pour elle, c’est sa réputation…
1 commentaire:
Si j'était comme certaines personnes je dirait que vous n'avez pas le droit et que vous ne m'aviez rien demander pour publier mes pieds !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Eléonore 6°6
la fille aux converses noires et au sac Roxy
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