jeudi 26 décembre 2013

« Claude Gueux » de Victor Hugo

J’ai lu « Claude Gueux » de Victor Hugo, publié aux éditions Pocket. Victor Hugo était un poète, un écrivain romantique et dramaturge du XIXème siècle. Il est né le 26 février 1802 à Besançon (France), mort le 22mai 1885, Victor Hugo est le benjamin d’une famille de trois enfants du général d’Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo et de Sophie Trébuchet. Il a passé toute son enfance à Paris. Tout petit déjà Victor Hugo voulait être écrivain. En 1817, il participe au concours de poésie de l’Académie Française. Il abandonne les mathématiques pour se donner entièrement à l’écriture. En 1819, il fonde une revue littéraire et publie ses premiers poèmes dans le recueil « Odes » qu’il a très bien vendu. Un an après la mort de sa mère, qui l’affecte énormément, il épouse son amie d’enfance, Adèle, à qui il fera 5 enfants. Il écrit quelques essais comme Han d’Islande qui reçoivent un accueil mitigé jusqu’à sa pièce de théâtre « Cromwell » en 1927 qui fit éclat. Il se lie d’amitié avec des gens tels que Musset, Lamartine, Mérimée. Il écrit ensuite des ouvrages comme « le dernier jour d’un condamné », et Claude Gueux en 1834 pour montrer son dégout de la peine de mort.
Le livre commence par la description de Claude Gueux et de sa famille et aussi de l’acte qu’il avait commis. Victor Hugo dit « je ne sais ce qu’il vola, je ne sais où il vola. Ce que je sais c’est que de ce vol, il résulta trois jours de pain et de feu pour la femme et pour l’enfant, et cinq ans de prison pour l’homme". A la maison centrale de Clairvaux, très vite, Claude Gueux se fit respecter par les autres détenus mais il n’était pas du tout aimé des gardiens. Claude gueux était un gros mangeur et la portion de nourriture qu’il avait dans la cantine de la prison n’était pas énorme donc Claude avait toujours faim. Un jour un détenu, Albin, lui proposa une partie de sa ration car lui ne mangeait pas tout. Claude accepta et se lia d’amitié avec ce détenu. Cependant, le directeur de la prison changea Albin de quartier car il était trop proche de Claude. Celui-ci demanda plusieurs fois au directeur de faire revenir Albin dans la cellule mais sans  succès. Claude pose alors un ultimatum au directeur pour qu’Albin revienne. Claude Gueux prit des ciseaux qu’il avait gardés cachés au pied de son lit, et il demanda à d’autres prisonniers de lui trouver une hache. Il expliqua aux prisonniers ce qu’il allait faire. Il redemanda une dernière fois au directeur et encore une fois le directeur dit non et Claude passa à l’acte et le tua de cinq coups de hache. Ensuite,  il tenta de se suicider mais il survécut et fut condamné à mort. En juin il fut guillotiné sur la place publique.
Ce j’en pense.
Dans ce livre je n’ai de préférence pour aucun personnage.
Avec ce livre on se pose des questions concernant la peine de mort et comment on vivait à l’époque où a été écrit ce livre. Les questions que l’on se pose le plus souvent sont sur la peine de mort si c’est bien ou mal s’il faut réinstaurer la peine de mort en France. A l’époque, les exécutions étaient publiques et donc même les enfants pouvaient assister aux exécutions ce qui pouvait les marquer. Et en lisant ce livre, on peut voir que Victor Hugo est un écrivain engagé. Il  pousse le lecteur à se poser la question : faut-il faire respecter le droit par la force comme la peine de mort ou faut il s’attaquer aux problèmes de la société qui ont poussé Claude Gueux à enfreindre la loi.  
Marina Savanovic   

«Premier Amour» d’Ivan Tourgueniev

J’ai lu «Premier Amour» d’Ivan Tourgueniev, de son nom entier Ivan Sergueïevitch Tourgueniev publié aux éditions Garnier Flammarion en 1974 puis traduit en français par Edito Service en 1969.
Ivan Sergueïevitch Tourgueniev était un écrivain romancier, nouvelliste et dramaturge russe. Il est né le 9 novembre 1818 à Orel en Russie, et mort le 3 septembre 1883 à Bougival en France. Il est issu d’une famille russe aisée, sous l’aile d’une mère très autoritaire qui à l’âge de ses 15 ans l’envoie en pension. Par la suite Ivan Tourgueniev continue ses études à St Petersburg où il fait la connaissance de Pouchkine (poète romancier russe du XIXème siècle).C’est grâce à ce premier qu’il commence à écrire de la poésie. Puis dans les années suivantes il séjourne dans différents endroits dont Berlin où il fait la connaissance d’une jeune femme Pauline Viardot de qui il tombe éperdument amoureux même si elle, est déjà mariée. En 1843 il écrit «Les mémoires d’un chasseur» qui furent publiés dans Le Contemporain dix ans après, ce qui lui permit d’acquérir un début de notoriété. En 1864 Ivan Tourgueniev s’expatrie en Allemagne puis en France où il rencontra de grands écrivains tels qu’Emile Zola, Gustave Flaubert..
«Premier Amour» est un récit biographique puisque dedans, Ivan Tourgueniev raconte une partie de l’adolescence, de la vie, du premier amour de Vladimir Pétrovitch, son personnage du livre.

Le livre commence par une sorte de regroupement avec ses invités où ils parlent de leurs premiers amours, en ce début Vladimir doit avoir une cinquantaines d’années et ses convives lui demandent de parler de son premier amour, c’est à ce moment qu’il dit «Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vais consigner tous mes souvenirs dans un cahier et vous les lire ensuite.» Puis le récit de Vladimir commence tout naturellement par son début de vacances à Moscou dans la villa de ses parents, où il se prépare à l’université à 16 ans. Ensuite, il décrit le caractère de son père et de sa mère. Vient le moment où il doit se rendre chez leurs voisine qui est «Princesse Zassekine» où il fait la rencontre de sa fille Zinaïda Alexandrovna âgée de 21 ans , dont il tombe amoureux par la suite. Puis peu à peu Zinaïda devient froide envers lui, il se met donc à chercher le rival qui lui fait de l’ombre et remarque que son père est de plus en plus proche de la jeune fille.

Ce que j’en pense:
Dans «Premier Amour» mon personnage préféré est Zinaïda, au début de l’histoire elle paraît comme une fille manipulatrice. Elle est accompagnée de 5 jeunes hommes dont Vladimir, qui sont tous amoureux d’elle. Elle joue un rôle de collectionneuse, et d’une fille difficile à cerner. Puis par la suite on remarque qu’elle joue ce rôle qu’avec les hommes intéressés par elle, puisque vers la fin du livre on peut la remarquer se faire à moitié battre par le père de Vladimir. Sous sa facette de fille manipulatrice se cache une fille sensible qui attend de trouver un homme qui saura prendre les devants.

-Freuchet Laura 3°1

"la Vie devant soi" de Romain Gary (Emile Ajar)

J'ai lu "la Vie devant soi" de Romain Gary (Emile Ajar) 
Mohamed  est un jeune garçon. Tout le monde l’appelle Momo. Il n'a pas revu sa mère depuis quelques temps. Sa mère est une jeune prostituée et il vit chez Madame Rosa; une voisine.
Madame Rosa garde chez elle plusieurs enfants de "pute" quelques enfants, eux, voient leurs mères quand celles-ci leur rendent visite  Momo, lui, attend toujours sa mère et il espère la revoir mais pas de chance pour lui, pour l'instant, sa mère ne lui a pas encore fait signe. Madame Rosa commence à se faire vieille à garder tous ces enfants qui sont parfois très désagréables mais celle-ci garde son calme. Elle habitait dans un appartement à Paris au sixième étage et avait du mal à les monter ces six étages... Elle avait un voisin au deuxième étage mais il ne se fréquentait plus. Madame Rosa est souvent aidée par son amie madame Lola un travesti, un homme qui ne se sentait pas bien dans la peau d'un homme et qui est aujourd'hui devenu une femme qui aide souvent madame Rosa. Elles sont très amies car madame Rosa est une ancienne prostituée elle aussi.Madame Rosa avait souvent la visite d'un médecin car avec son vieil âge, il faut surveiller sa santé.
Momo et madame Rosa sont très proches,  ils s'entendent très bien tous les deux et Momo aide beaucoup madame Rosa avec les enfants.Plus tard, Rosa dut aller à l'hopital puis resta chez elle dans son fauteuil.Monsieur Hamil son voisin du deuxième étage disait qu'il voulait épouser madame Rosa et qu'il ne pouvait pas car c'était une juive et que ils étaient trop vieux....

Ce que j'en pense : L'auteur raconte une histoire d'amour entre un enfant de "pute" et une vieille juive madame Rosa. Ces deux personnes ont été privées d'amour toute leurs vie et ne se sont jamais autorisé à exprimer l'amour...
Solène Poupeau

Le Scarabée d’or, Edgar Poe

J’ai lu « Le Scarabée d’or » d’ Edgar A. Poe. Edité par Librio Imaginaire. Edgar Allan Poe est un écrivain très connu surtout au XIXème siècle. Né à Boston le 19 janvier 1809, il réalisa beaucoup de livres comme « La chute de la maison Usher » et « Histoires Extraordinaires ». Cet écrivain célèbre meurt le 7 octobre 1849 à Baltimore. Le livre que j’ai lu raconte l’histoire de trois personnes et d’un fameux scarabée qui lui est très mystérieux. Ces personnes vont partir à la recherche d’un trésor mais pas sans problème. Ce livre est un livre d’aventure ce qui m'a tout de suite plongé dans l’histoire.
Le personnage qui m’a le plus plu est Legrand avec son envie de prendre ce trésor et sa face cachée. Il y a quelques questions que je me suis posées : celle de savoir ce qu’allait devenir tout ce trésor aussi celle de ce que devient Jupiter à la fin du livre. Au début de l’histoire, et même dès le titre du livre, je me suis posé la question pourquoi le scarabée est-il en or ?
Ce que je pense du livre « Le Scarabée d’or »
C’est un livre qui m’a beaucoup plu avec cette chasse au trésor et avec l’énigme à résoudre. Ce qui est dommage avec ce livre c’est qu’il n’est pas terminé. Mais  sinon ce livre est très bien est c’est un livre que je conseille fortement aux lecteurs de livres d’aventure.
Charly Goyaux

"Le dernier Jour D'un condamné " de Victor Hugo


J'ai aimé ce livre "Le dernier Jour D'un condamné " de Victor Hugo, publié aux Éditions Pocket. Victor Hugo est un poète ;  il est considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du XIXe siècle. Né à Besançon le 26 février 1802  et mort le 22 mai 1885 à Paris. Victor Hugo est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773‑1828), créé comte  et de  Sophie Trébuchet (1772‑1821), jeune femme issue de la bourgeoisie nantaise. Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798‑1855) et Eugène Hugo (1800‑1837), il passe son enfance à Paris. De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père. Vers 1813, il s'installe à Paris avec sa mère qui s'est séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, parrain et précepteur de Victor Hugo auquel il donne son prénom. Ce court récit, dense et vif comme un coup de poing, un jeune homme nous fait partager heure par heure les ultimes moments de sa vie.  

Le livre commence par une préface de Murielle Szac, qui nous donne les convictions de Victor Hugo sur la peine de mort. L’histoire se passe dans les grandes prisons de Paris, pendant un temps assez court, cinq semaines, ou le personnage qui est ordinaire, semble cultivé. Il ressent ce que tout homme dans cette situation doit ressentir : la peur, la colère, le remord… jusqu’à la fin, il espère, sans trop croire à la grâce royale qu’il n’aura jamais. Il a une mère, une femme dont il parle peu. Mais il parle de sa fille Marie quatre ans, qui vient lui rendre visite avant son exécution, mais elle ne le reconnaît pas elle croit que son père est mort. Il raconte aussi sa première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille qu’il a connue enfant. On ne sait rien sur son crime, il est croyant mais pas assez pour y trouver du réconfort. Le temps passe, avec des souffrances physiques comme  le ferrage des forçats, et aussi morales. Attendre cette mort, viendra-t-elle ?

Ce que je pense de ce récit. Ce récit est un peu monotone, à la fin du livre l’émotion fait place à la colère.  Le condamné, est un personnage attachant, simple, ni héros, ni voyou, il connaît le latin, donc il est certainement cultivé. Je me rends compte qu’après la lecture de ce livre, mon avis contre la peine de mort est renforcé, Victor Hugo à fait de ce condamné un condamné comme tous les autres, il ne faut pas s’attacher à lui, car la peine de mort est cruelle pour tous.                                                                                                                                                        

LOLA CROIZON
3ème1