lundi 14 mai 2012

On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson par Maëva Hessmann

J’ai lu « On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson, publié aux éditions de Fixot. C’est un genre dramatique sur le thème de l’amour. Barbara est née à Chartres, c’est un auteur français qui a été contaminée par le virus du SIDA à l'âge de 17 ans. Son livre à était adapté dans le téléfilm « Mes 17 ans ».  Ce récit est évidement une autobiographie, il raconte l’histoire de Barbara , une adolescente qui explique sa première histoire d’amour qui va littéralement changé sa vie en 1992. C’est un témoignage de son drame pour qu’il soit évité à d’autre et que l’amour ne soit plus jamais porteur de mort.

Le livre commence par son arrivé dans un centre de repo, c’est la cadette d’une famille de trois enfants qui a des problèmes avec sa mère et classé anorexique. Tout de suite elle eu le coup de foudre pour ce garçon au balcon du centre. Par la suite elle fit sa connaissance avec beaucoup d’admiration pour lui.  Dans le troisième chapitre elle dit enfin connaitre l’amour, chose qui ne lui était jamais arrivé. Ce garçon est plus âgé qu’elle et c’est un ex-toxico mais sa ne l’empêche pas de l’aimer et lui non plus. Très vite le centre ce rends compte qu’il se passe quelque chose entre eux et prends ce garçon, Antony, en flagrant délit dans le lit de Barbara un matin, chose qui était totalement interdit. Les patients du centre sans douté qu’ils étaient ensemble. Antony à était convoqué par la directrice qui lui a juste avertis de ne pas recommencé et lui a sûrement dit autre chose, sauf que cela Barbara n’étais pas encore au courant...

Mon personnage préféré est Soline, la sœur de Barbara car même si elle n’est pas souvent présente dans le récit, elle a sut dire les mots juste à Barbara vers la fin, elle a sut motivé Barbara qui en avait besoin et je pense que si elle n’avait pas fait le premier pas Barbara ne s’en serais surement jamais sorti seule.
Ce livre m’a vraiment fait réfléchir et réalisé que prendre « l’amour » à la légère a des vrais conséquences. Je me suis dit que finalement c’est très simple d’attrapé le virus du SIDA et que le mieux c’est d’évité cela. Je n’imaginé pas l’enfer que sa pouvait être avant de lire ce livre.
J’ai trouvé ce livre très bien, son histoire m’a beaucoup touché. Barbara est une adolescente donc son langage est simple, ce qui personnellement, rends ce livre plus rapide à lire. On comprend très bien se qu’elle a put ressentir, avec certains mots crus. Elle dit à la fin avoir témoigné au Sidaction en 1994 et je trouve sa bien car j’ai put allé le voir sur internet. Il vaut la peine d’être lu et il fait maintenant parti de mes livres préférés.
Maëva Hessmann

jeudi 10 mai 2012

« Vol de nuit » d’Antoine de Saint-Exupéry par Alexandre Polisset

On m’a donné à lire une autobiographie, j’ai donc choisi « Vol de nuit » d’Antoine de Saint-Exupéry qui est publié aux éditions Folio.
         Antoine de Saint-Exupéry, écrivain mais surtout aviateur est né le 29 Juin 1900 à Lyon et mort pendant la Seconde Guerre mondiale le 31 Juillet 1944. Il appartient à la noblesse française mais il perd son père très jeune. Il obtient son baccalauréat en 1917 alors que c’est un élève peu brillant. Ensuite il rate son entrée à l’Ecole navale mais en 1921 il devient pilote lors de son service militaire. En 1926 il rentre dans Latécoère puis en 1929,  il rejoint l’Amérique du Sud où il publiera « Courriers du Sud » et « Vol de nuit » en prenant comme modèle sa vie d’aviateur. Il va aux États-Unis à l’armistice avec comme but de faire rentrer les Américains dans la guerre, il rentre donc dans la résistance. Et enfin en 1944 il rejoint  une unité chargée de reconnaissance photographique pour le Débarquement de Provence. Il décède pendant une mission le 31 Juillet 1944.
Mais son plus grand succès restera « Le Petit Prince » qu’il publiera en 1943 à New York puis en France en 1945.
            Dans les premiers chapitres de « Vol de nuit », on voit Rivière, responsable du réseau aérien, et Fabien, pilote de l’aéropostale. Rivière attend avec impatience l’arrivée du pilote Fabien et de sa cargaison : le courrier de Patagonie. Car le but de Rivière est de prouver que l’avion est plus rapide que le train pour transporter le courrier mais pour cela il est obligé de faire voler les pilotes de nuit malgré les risques qu’encourent ces derniers. C’est alors  qu’un autre avion arrive et son pilote explique à Rivière qu’il a rencontré un violent cyclone pendant le vol. Mais peu de temps après, personne ne reçoit d’informations de Fabien, il est lui aussi rentré dans le cyclone…

            Ce que j’en pense
            Dans « Vol de nuit » le personnage que j’ai préféré est Rivière. Lorsqu’il sanctionne un employé, ses sentiments sont toujours partagés entre le devoir accompli et la pitié envers la personne qu’il a puni. Mais pour se donner bonne conscience il se dit qu’il n’a pas jugé la personne mais l’erreur que celle-ci à commise. C’est cette état d’esprit qui m’a séduit chez Rivière.
             
Avec « Vol de nuit », je me suis posé deux questions :
- Est- il juste de sacrifier la vie de plusieurs hommes pour satisfaire la cause d’un seul ? 
Et, comment une personne est-elle capable de continuer à travailler avec indifférence alors que quelqu’un est mort pour elle?

            J’ai aimé ce livre car il m’a permis de comprendre et d’imaginer les conditions dans lesquelles travaillaient les pilotes à cette époque. J’ai aussi aimé la psychologie des personnages car ils ont tous quelque chose qui leur est propre permettant vraiment de s’attacher à eux. 

POLISSET Alexandre

mercredi 9 mai 2012

« Voyage à Pitchipoï » de Jean-Claude Moscovici par Gabrielle Pauvert


J’ai lu « Voyage à Pitchipoï » de Jean-Claude Moscovici, édition l’école des loisirs, collection Médium. Jean-Claude Moscovici est né en 1936 à Paris. Sa famille étant juive, elle a été victime des lois antisémites propagées dans les pays occupés et des persécutions envers les juifs pendant la deuxième guerre mondiale. Jean-Claude Moscovici a exercé la pédiatrie à partir de 1972.
Ce livre est un livre autobiographique, il raconte l’enfance de Jean-Claude Moscovici depuis sa vie dans sa grande maison à la  campagne, jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. C’est le sort des juifs pendant la deuxième guerre mondiale qui est raconté à travers cet exemple. L’auteur nous racontes ce qu’il lui est arrivé  en nous montrant les choses de son point de vue pour nous montrer la peur que l’on peut avoir dans ces cas là ou l’atrocité de ces choses («…et puis soudain à nouveau ces voix et ces pas qui martelaient les escaliers, et à nouveau leur présence, les faisceaux de lumière qui fouillaient les moindres recoins et les violents coups de bottes qui faisaient vibrer le plancher, les coups de bottes dans tout… jusqu’à ce qu’ils me touchent et que je crie. »).
Le livre commence par raconter la vie de Jean-Claude Moscovici avant et pendant le début de la deuxième guerre mondiale. Il a une vie tranquille. Il vit avec sa grande famille : ses grands parents, ses parents et ses oncles. Mais un jour, des soldats allemands viennent pour déporter son père et ses oncles dans des camps. Plus tard, quand sa sœur a deux ans, les allemands viennent rechercher sa mère. Par miracle, celle-ci réussi à s’enfuir. Jean-Claude Moscovici (qui a alors six ans) et sa sœur sont confiés à des voisins jusqu'à ce qu’une loi interdise l’accueil d’enfants juifs dans les familles françaises. Ils sont donc envoyés dans une prison proche puis transférés au camp de Drancy. Il leur arrivera encore bien des choses avant la fin de la guerre. 

Mon personnage préféré est le père de Jean-Claude Moscovici. Il a l’air attentionné, surtout envers les enfants et il semble être le père parfait. Il n’apparaît que dans le début du livre et il est très regretté par son fils après sa déportation. Il a essayé de continuer à exercer son métier de médecin après les lois l’interdisant. Il voulait aider les gens et c’est ce qui a entraîné sa déportation. Il est courageux.
Ce livre nous montre l’horreur de l’antisémitisme nazi et nous montre que nous sommes tous humain. Cet homme n’a pas mérité ce qu’il lui est arrivé, tous comme les juifs, les tziganes,… qui ont subi les horreurs nazis. Quand on y pense, n’importe qui d’entre nous aurait pu subir ça si il faisait parti d’une minorité, religieuse ou autre et qu’on voulait s’en débarrasser. On peut se demander se que ressentait les juifs adultes quand ils étaient amenés dans les camps. S’avaient-ils vraiment où ils étaient emmenés ? S’avaient-ils qu’ils allaient mourir pour la plupart ? Quels étaient leurs sentiments ? Avaient-ils très peur ?
Et puis comment les soldats pouvait-ils faire ça, à des enfants ? N’y en a t’ils pas qui se sont révoltés ? N’avaient-ils pas de problème de conscience ?
            Ce livre est facile à lire et se lit très vite. Je trouve qu’il résume bien se qui se passait pendant la deuxième guerre mondiale sous l’occupation allemande. Il apporte un plus historique en plus de nous émouvoir. Le style d’écriture est pas mal.

 Pauvert Gabrielle

mardi 8 mai 2012

Vipère au poing d'Hervé Bazin par Audrey Pasquier


Hervé Bazin (1911-1996) est un écrivain français né à Angers. Né d'une famille aisé il s'oppose à sa mère a autoritaire et sèche et fugue plusieurs fois, s'opposant à l'éducation catholique imposée.
L'année de ses 20 ans, il rompt avec sa famille. Il commence par exercer des petits boulots et écrire des poésies. Sur les conseils de Paul Valéry il abandonne la poésie pour se consacrer
au roman. Les rapports conflictuels qu'il a eus durant son enfance avec sa mère lui inspire Vipère au poing.

Titre : Vipère au poing  Auteur : Hervé Bazin  Édition : Livre de Poche
Genre : Roman
Thème : Relation conflictuelles entre un enfant et sa mère.

Résumé du début de l’œuvre :
Le début du livre décrit la famille Rézeau, plus particulièrement au travers de Jean, qui ramène une vipère à la maison. Ce moment là nous permet de découvrir la composition de la famille. Cette famille Rézeau
est une famille bourgeoise qui vit dans un château ; Les enfants sont élevés par la Grand-Mère depuis le départ en Chine des parents sept ans plus-tôt. Le décès précipité de la Grand-Mère va obliger les parents à
revenir à la Belle-Angerie.

Mon personnages préféré :
La mère dite "Folcoche". C'est un personnage froid, qui parait n'avoir aucun sentiment mais finalement qui souffre de ses relations avec son enfant. C'est le personnage directeur de la famille, qui décide et gère
tout, tout le monde se soumet devant elle, sauf Jean. Pour la mère, il lui est insupportable d'avoir trouvé une personne qui lui tient tête et lui ressemble tant.

J'ai préféré ce personnage parce qu'elle a toujours la même expression, dans toutes les situations. Elle se rend malade d'avoir un fils pareil  qu'elle. Et finalement, quand on la croit presque morte, sa forte personnalité la fait se relever.

Les questions que l'on pourrait se poser sont :
- Qui est Folcoche ?
- Pourquoi Vipère au poing ?
- Qu'est ce qui pousse une mère a haïr son enfant comme ça ?
- Pourquoi Folcoche a-t-elle cette personnalité ?
- Pourquoi Folcoche préfère-t-elle Marcel ?

Ce que j'en pense :
J'ai beaucoup aimé ce livre. J'ai été frappé par le comportement de la mère et aussi impressionné par la force avec laquelle Jean lui tient tête.
Pasquier Audrey 3°1

lundi 7 mai 2012

"Le temps des amours" de Marcel Pagnol par Julien Puchaud

J’ai choisi de lire « Le Temps Des Amours » de Marcel Pagnol. Ce livre a été édité aux éditions Bernard de Fallois. Marcel Pagnol est un écrivain dramaturge et cinéaste du 20ème siècle. Il est né en 1895 à Aubagne dans les Bouches du Rhône et mort en 1974. Il est le fils de Joseph (instituteur) et d’Augustine (couturière). Marcel est l’ainé de ses autres frères et sœurs.
Ce livre commence par le récit de ses années au lycée (la même chose que le collège en ce moment sauf qu’il y avait le collège + le lycée).
Dans le premier chapitre il parle de l’association qu’il crée avec ses amis « Le Trèfle Rouge ». Après dans le deuxième chapitre il y a l’histoire du pendu. Son ami qui se dénonce pour lui pour lui sauver sa bourse. Car il n’a plus peur des retenues…
Ce que je pense du livre :
Ce livre est facile à lire, quand on se prend au jeu, on ne met pas longtemps à le lire même si le livre est un peux épais quand on commence on  ne peut plus arrêter. Dommage qu’il ne soit pas fini…
Mon personnage préféré est Lagneau, un des meilleurs amis de Marcel, celui qui lui a sauvé sa bourse. Je l’aime bien car il va de l’avant il n’a pas froid aux yeux et car il a un petit secret ce qui fait que son père ne le gronde pas quand il rentre avec une retenue.

Julien Puchaud

dimanche 6 mai 2012

«On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans» de Barbara Samson par Ludovic Templon

J'ai lu «On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans» de Barbara Samson, publié aux éditions Le livre de poche.
L'auteur, Barbara Samson a 37 ans aujourd'hui, elle a été contaminée par le sida à l'âge de 17 ans. Le responsable, c'est Antony, ex-toxicomane, qui il lui écrit des poèmes d'amour. Le coté romantique d'Anthony va attirer Barbara, mais elle découvrira plus tard que ce sont des traductions de poèmes de Jim Morrison, chanteur des Doors. Tout en, lui cachant sa séropositivité, il la contamine dès le premier rapport, bien qu'il sache qu'elle est encore vierge.
Barbara Samson témoigne de sa contamination, pour alerter les lecteurs et pour que cela se reproduise pas.C'est elle d'ailleurs, qui par son témoignage, lors de la soirée Sidaction en avril 1994,  bouleversa des millions de téléspectateurs.

Dans son récit, elle veut aider Anthony, malgré ce qu'il lui a fait. Barbara ne veut pas parler de sa séropositivité à toute sa famille par peur qu'on la rejette, seule sa famille proche le sait.

Pourquoi ne pas avoir pris de préservatif ? Barbara en n'avait jamais entendu parler.
Pourquoi ne pas avoir quitter Antony tous de suite ?
Barbara ne savait plus quoi faire, Antony allait être son seul amour, c'était son seul espoir, elle voulait aussi l'aider, l'aider à le sortir de la drogue. 

Je trouve ce livre vraiment bien car il montre qu'il faut faire attention, ne pas aller vers n'apporte qui, et qu'une erreur de jeunesse peut avoir des conséquences toute sa vie.  Barbara veut faire partager ce livre pour éviter que cela se reproduise.

Ludovic Templon