jeudi 5 mars 2015

Le dernier jour d’un condamné, Victor Hugo



J’ai lu Le dernier jour d’un condamné publié en 1929 de Victor Hugo
Victor Hugo nait à Besançon le 26 février et mort  en 1885 à Paris à l’âge de 82 ans. Il a beaucoup voyagé étant jeune car son père était général de Napoléon. Il s intéressa donc déjà jeune à la politique mais il trouva une autre vocation : “écrivain». Sa première compagne fut Adèle Foucher : les premières années furent heureuse mais à la naissance de leur cinquième enfant, ils décidèrent de se séparer. Il rencontra sa deuxième compagne en 1833 : Juliette Drouet avec qui il a passé le reste de sa vie.  Juliette le sauva de l’emprisonnement après un coup d'état de Napoléon III. Et c’est en 1816 qu’il confirme sa vocation littéraire en citant cette phrase : "Je veux être chateaubriand ou rien!"En 1841 Victor Hugo est élu à  l’académie française. En 1845 sa fille décède. Ses principales activités était la politique et écrire (ses principales œuvres sont des poèmes mais il aime, aussi écrire des romans et des pièces de théâtre…) Il fut l’un des plus grands dans la littérature française jusqu’ à aujourd’hui. Il mourra en devenant le plus populaire des écrivains et l’un des défenseurs de la République.

Dans ce livre mon personnage préféré est le condamné car il est le personnage principal. On sait de lui qu’il est marié et qu’il a une fille : Marie  Il est assez mystérieux car il n’est pas vraiment décrit dans ce livre, on voit qu’il tient beaucoup à sa fille et qu’il vit atrocement cette attente de peine de mort. On ne sait pas trop de quel crime il est accusé car il essaye de le dire mais implicitement, mais lui se dit que c’est mérité ; on  voit qu’il sait parler brièvement le latin.
J’ai beaucoup aimé ce livre car j’aime bien quand il détaille les salles comme la salle du jugement et sa cellule qu’il décrit dalle par dalle par exemple… Dans ce livre Victor Hugo parle de la peine de mort et on est assez projeté dans l’histoire grâce à la vision de la personne. Dans le point de vue de l’écrivain le condamné a l’air gentil : on ne le voit pas faire un crime…
Jerôme Rouger

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