mercredi 19 novembre 2014

« L’étranger » d’Albert Camus

J’ai lu « l’étranger » d’Albert  Camus. Il est né le 7 novembre 1913 à Mondovi  en Algérie. Il est mort  le 4 janvier 1960 à Villeblevin en France. Il écrivait des romans, des nouvelles, des essais et des pièces de théâtre. Il a reçu le prix Nobel de littérature en 1957. Ses principales œuvres sont : l’Etranger (1942), la Peste (1947), le mythe de Sisyphe (1942), la Chute (1956), l’homme révolté (1951) ,Caligula (1944) et les justes (1949). Il était journaliste militant et philosophe. Son père, Lucien Auguste Camus, descend des premiers arrivants français en Algérie. Il devient aveugle  en septembre 1914 à cause d’un éclat d’obus et meurt 1 semaine après le 11 octobre. Sa mère  Catherine Hélène Sintès  était en partie sourde et elle ne savait ni lire ni écrire. Albert Camus a été influencé par son oncle, Gustave Acault, chez qui il effectue de longs séjours. C’était un homme cultivé. Albert camus meurt le 4 janvier 1960  dans un accident de voiture. Au début du livre, on assiste à l’enterrement de la mère du narrateur durant lequel il fait très chaud, le soleil est insupportable. M. Meursault, le narrateur ne semble pas éprouver de chagrin, ni même de sentiments envers sa mère décédé. Le lendemain, il rencontre une ancienne collège de bureau (Marie) avec laquelle il va aller se baigner et au fils de l’histoire il vont lier une relation. Ce roman est un genre philosophique.
Ce que j’en pense :
Même si je n’ai pas vraiment de personnage préféré, M. Meursault est très intrigant, le fait qu’il ne parle presque pas, qu’il ne ressente pas d’émotion et sa façon de penser nous donne envie d’en savoir plus sur lui, de savoir si il a déjà ressenti des sentiments, de savoir si il est vraiment humain , si il n’est pas un « étranger ».
Ce livre nous fait nous poser de vraies questions comme « existe-t-il des gens comme le narrateur » ou « est-il possible de ne jamais ressentir de sentiment ?»
J’ai bien aimé ce livre car il était facile à lire et l’histoire est fascinante même si j’ai trouvé la fin peu longue. Je trouve dommage que Camus n’a pas plus développé le personnage de M. Meursault : on a vraiment envie de savoir le passé de ce personnage, de savoir si il a été traumatisé et si c’est pour cela qu’il ne ressent plus de sentiment ou alors si il est né comme ça. 
Chloé Hessmann

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