samedi 26 février 2011

J’ai lu « ÇA T'APPRENDRA A VIVRE » de Jeanne Benameur.


Catarina a lu pour vous un livre de Jeanne Benameur : une série de portraits et d'interrogations sur soi...
Jeanne Benameur est un écrivain français. Elle est née en 1952 en Algérie
d’un père Tunisien et d’une mère Italienne .
Elle arrive en France des l’âge de 5 ans, sa famille s’installe à la Rochelle.
Ses origines (Algérienne, italienne et française) sont sources de son inspiration même si elle écrit le récit en français. Elle était professeur de lettres, jusqu’à 2001. Elle a reçu en 2001 le Prix Unicef pour son roman « Les Demeurées ».
En 1958, c’est la guerre d’Algérie… Un père, une mère et quatre enfants sont noués par le silence. Le père c’est un arabe, un directeur de prison, la mère une belle Italienne aux yeux bleus.
En Algérie, il y a des « à moitié » des « demis », ni français, ni Arabes. Quand elle découvre qu’ils sont des « demi », elle se demandera quand ils seront entiers ? C’est la question qu’elle se pose .
En France, les exilés qui ne trouveront pas leur place, ils ne sauront pas « vivre comme les autres ». En résumé, Jeanne Benameur raconte sa petite enfance assez difficiles car elle devait s’exiler souvent. Dans ce récit elle raconte les silences et les mensonges d’une famille.
Quand elle dit : « on n’a jamais rien pu faire comme tout le monde », elle montre ici qu’elle n’est pas très heureuse, qu’elle aimerait être plus libre ..
Ce que j’en pense
Je n’est pas vraiment aimé ce livre ..
Cependant, il y a quelques paragraphes que j’ai beaucoup appréciés. Ce livre est drôle et intelligent mais ce n’est pas pour moi . J’étais un peu perdue, car il y avait beaucoup de chapitres et ça changer toujours de sujet comme si c’était un journal intime . Jeanne Benameur raconte son enfance avec son père sa mère ses sœurs son frère ..
Moi je pense quelle cherche a être elle-même mais je trouve dommage que ça ne soit pas assez expliqué ! Et il n’y a pas beaucoup de dialogue…
Mon personnage préféré, c’est la mère, la mère aux yeux bleus. J’aime ce chapitre : « Maman dans mon lit ». Puis j’aime aussi le chapitre de « La secrétaire » : passage assez drôle . Quand elle crie « sauvez-moi » , « sauvez-moi » ! Alors qu’elle n’a presque rien, qu’elle sest juste coupée !
Catarina Cerqueira 3°1

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