lundi 21 février 2011
Martin Eden, par Sullivan
Cette fois, c'est Sullivan qui a lu le livre de Jack London.
J'ai lu « Martin Eden »de Jack London, publié aux éditions 10-18.Jack London était un écrivain américain né le 12 janvier 1876 à San Francisco et mort le 22 novembre 1916 à Glen Ellen,(Californie). Il écrivait des thèmes bien précis sur l'aventure et la nature sauvage. Il a écrit plus de 50 nouvelles et romans,il écrit aussi des livres sur sa propre vie, sa misère et le socialisme comme le livre que je vais vous présenter. La mère de Jack London était Flora Welleman et son père était l'astrologue William Chaney. Ils habitaient au numéro 615 Third Street mais ce lieu fut détruit par un séisme. Le père de Jack London aurait abandonné Flora Welleman quelques mois avant qu'elle accouche ,et l'aurait chassée avant de partir parce qu'elle refusait l'avortement. Elle a tenté de se suicider plusieurs fois. Puis elle attrapa une grave maladie qui l'empêcha de s'occuper de son fils. Une nourrice du nom de Virigina Alenzo fut nommée pour la remplacer et finit par l'adopter. La vie de Jack est misérable et à 15 ans il commence une vie d' errance. Il a fait un tas de métiers pour survivre. Jack est sans éducation et sans culture , il s'ouvre l'esprit avec les livres. Son premier mariage est avec Élisabeth Maddern le 7 avril 1900. Ses expériences ouvrières et ses lectures lui ont donné une orientation politique socialiste. Il meurt d'une maladie du sang le 22 novembre 1916 dont il souffrait depuis son voyage dans le pacifique.
Le livre commence par décrire le personnage principal qui est Martin. Jack commence par décrire ses habits et là, on comprend qu'il a une situation plutôt pauvre. C'est un homme très angoissé, tourmenté et rongé par la peur. Jack London décrit les manières des personnages, les objets et les moments passés avec la famille de la jeune fille que Martin aime. Par exemple, au début, il décrit le tableau du repas où Martin est très tendu et ne sait pas comment parler devant ces gens plus élevés que lui et qui avaient des idées bien définies. Le récit de cette autobiographie raconte comment Martin voulait s'intégrer dans le grand monde et la façon qu'il avait de s'acharner à se cultiver pour obtenir une certaine éducation pour plaire à une femme. Donc il se met à apprendre la grammaire, la conjugaison et lit des romans, des poèmes et des livres de politique à tendance socialiste. Mais comme il ne travaille pas , il commence à s'endetter et est obligé d'écrire des nouvelles ou des romans pour gagner sa vie . Mais malheureusement ils sont renvoyés et pas édités. Plus il se cultivait ,plus il se rapprochait de la fille qu'il aimait, Ruth. Mais vers la fin du livre Martin devient blanchisseur à Shelly Hot Springs où il rencontre Joe, c'est un travail pénible mais Martin est endetté et le travail ne lui fait pas peur. Quelques mois après, il revient à Auckland et il a une autre vision des choses, il lit des livres sur le socialisme et il devient socialiste et se fiance avec Ruth qui l'apprécie car il est devenu un grand homme.. Mais Ruth ne l'aime pas vraiment .Il devient ami avec le directeur du parti socialiste Brisenden qui décède peu après leur rencontre et alors Martin apparait dans les journaux comme un socialiste accompli, donc il se fâche avec le famille de Ruth qui demande à Martin de ne plus s'approcher d'elle car ils ne partagent pas ses idées. Donc plus tard il devient riche car il est reconnu comme un homme très cultivé, maintenant ses œuvres sont acceptées et il reçoit de plus en plus de chèques. Plus tard étant délaissé par sa femme bien aimée, Martin ne prit plus goût à la vie et décida de ne plus vivre.
Ce que j 'en pense
Ce que j'ai préféré dans ce livre, c'est les aventures qui arrive à Martin et comment il va les vivre et aussi ce qu'il va lui arriver. Par exemple, je ne m'attendais pas du tout à la blanchisserie et je me demandais aussi comment il allait faire pour conquérir le cœur de Ruth et comment il allait défendre ses idées. J'aime particulièrement la phrase de la fin qui porte à réfléchir sur tout le livre. C'est « Et au moment même où il sut, il cessa de le savoir. » Ce livre montre que même si on est pauvre on peut arriver à s'élever et à devenir riche par le courage et la volonté .
Par contre ce qui m'a déplu dans ce livre ce sont les descriptions longues mais il en faut pour tout comprendre, et aussi les dialogues trop longs mais à part cela le livre est excellent je me suis bien imprégné du livre qui m'a passionné.
Sullivan Démon, 3ème3
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